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osebo-moaka dans
citation,proverbe le
7 Février 2019 à 09:12
"Je me croirais le plus heureux des mortels si je pouvais faire que les hommes puissent se guérir de leurs préjugés.
J'appelle ici préjugés non pas ce qui fait qu'on ignore certaines choses, mais ce qui fait qu'on s'ignore soit même."
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Par
osebo-moaka dans
poésie le
7 Février 2019 à 09:13
Elle marche tout en beauté, comme la nuit
Des climats sans nuage et des cieux étoilés;
Et le plus pur de la clarté e de l'ombre
Se rassemble dans son aspect et dans ses yeux,
Prenant le velouté de la tendre lumière
Que refuse le ciel au jour éblouissant.
Une nuance en plus, un seul rayon en moins,
Gâteraient à demi la grâce incomparable
Qui vient flotter dessus chaque tresse d'ébène,
Ou sur ses traits se pose avec légèreté;
Là, des pensées d'une douceur sereine expriment
La pureté, la tendresse de leur demeure.
Et parant cette joue, parant aussi ce front
Si calme et si doux,pourtant si éloquents,
Le sourire charmeur, les couleurs éclatantes,
Ne parlent que de jours vécus dans la bonté,
Esprit en paix avec toute chose ici-bas,
Coeur dont l'amour traduit la profonde innocence!
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osebo-moaka dans
poésie le
7 Février 2019 à 09:15
Qu'est ce que le temps? C'est aujourd'hui, hier et demain;
C'est une chose qui vient, qui est, et qui fut,
Le temps c'est comme les plumes et parfois comme les chaînes...
nous n'en avons point quand nous en avons le plus besoin.
Pour les enfants c'est un tas touchant presqu'au soleil,
mais l'âge lésine sur chaque heure;
aucun homme ne peut l'achever, retirer et ployer,
nul ne peut le rouler ou tromper.
Il trottine doucement en égrenant chaque seconde,
qui ensuite font les minutes et celles-ci les heures,
les heures s'accroissent en jours, les semaines font des mois
et un beau jour tu te trouve comblé d'année.
Le temps c'est une rivière qui ne peut s'arrêter, ni se reposer...
il va tout droit au but_ et à la fin c'est le trépas.
Ébahi tu demandes:" Comment cela s'est-il passé?
ce n'est qu'hier pourtant que tout commença."
René Kartheiser.
poète Luxembourgeois né en 1926.
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osebo-moaka dans
poésie le
7 Février 2019 à 09:17
Murmures:
Je passe souvent devant vous, j’aime vous écouté,
essayant de comprendre le sens de vos bruissements.
Je reste là.
Je repars sans avoir reçu plus d’information sur vous.
Mais, je le sais, le bruissement à un sens
que vous seuls pouvez comprendre,
alors, je resterai là à vous écouté, et enfin,
je me sentirai en paix.
Je passe souvent devant vous, j’aime vous écouté.
La pluie qui tombe de vos feuilles
sans que jamais je ne soit mouillée…
me procure une réelle sérénité.
Peut-être est-ce pour cela que vous êtes là!
Pour que ceux qui savent encore écoutés,
vous entendent et perçoivent en vous
le souffle du vivant.
La danse de la pluie se fait entendre
au moindre souffle du vent.
Belle symphonie, en harmonie
avec la terre qui nous entoure;
écoutons les bruissements de nos arbres.
Ils nous apportent la vraie sérénité,
et, c’est gratuit.
y-l.
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