• Ils étaient là assis à papoter de tout et de rien. Je me demandais bien sur quels genoux grimper. la dernière fois, j'avais manqué de jugeote. Pourtant, ces genoux là étaient extrêmement tentant. Bien large, bien gros, confortable quoi...mais si ballottant, mouvant, se creusant, j'étais vraiment mal installé.Alors...je me suis accroché. Tous ce que je voulais moi c'était dormir bien au chaud.

    La réaction? Elle fut brutale. D'un instant presque agréable, Je fus bousculé et je me retrouvais au froid par terre... Aujourd'hui, j'ai trouvé ma proie, ces genoux là sont si tentant  qu'alors là, je me tâtais, j'y vais...j'y vais pas!

    Il me semble en plus voir un coussin. Mes yeux me feraient 'ils voir une sorte de mirage? Oh et puis zut. Je m'élance on ne sait jamais dès fois qu'un autre soit comme moi à la recherche de genoux conciliant. Oh joie, fatigué, oh bonheur, un coussin moelleux, doux sentant l'herbe tous juste coupée,poser il y a peu sur un coin d'herbes à chats mon pêché mignon.


    Je me détends, façonne avec mes petites pa pattes mon nid
    je le veux presque creux, il me faut sentir ces genoux si accueillant.Ils sont seuls,ils regardent le temps qui passe, légèrement au soleil printanier sous un joli cerisier en fleur...ils n'ont besoin de rien d'autre ou juste un peu de moi qui sait!


    D'autres arrivent, je me tends...tous va bien ces genoux restent bien assis. Je commence ma toilette. Je suis assez haut, j'aperçois beaucoup de choses mais, elles n'ont aucune importance pour moi. Je baille, enfin je m'installe,mes yeux se ferment tous seuls. Des rires, des cris, des lumières j'ouvre un oeil paresseux-ben dis donc! il y en a des genoux debout..


    Pourquoi donc ces lumières, ces clics, un rire, je me lève, m'étire, m'assois. Je les regarde bien en face. Mes genoux n'ont pas bougés. J'aimerai bien que ces intrus nous laisse enfin seul...j'ai encore du sommeil en retard moi!


    Une main leste attrape le coussin et devant mon air ahuri, des rires retentissent encore plus. Oh mais non, quel manque de savoir vive alors!, je regarde mes genoux toujours assis-quelques tâches blanchâtres, des oiseaux se sont installés sur les bras, bah je suis prêteur moi tant qu'ils me laissent mes genoux.


    Les autres genoux s'en vont et le mien? non, eux, ils ne bougent pas, je les renifle, me frotte contre eux. Euh c'est vraiment froid,pour sûr,il n'y a plus de soleil. La nuit noire n'est pas loin pourtant ils ne bougent pas. Inquiet quand même,je les scrutes puis poussant un petit miaulement je leur dit:" Demain je reviens demain".


    Foie de chat une place comme celle-là, c'est un choix de roi. Les oiseaux et moi on partagera la place mais pas de chat...parce que "chat" c'est à moi na!y.l.
    Sur une idée de Pascal Perrat.
    469 mots 18 mars 21.
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  • Le facteur sonna à la porte. Elle l'ouvrit, il sourcilla.
    _Ne faites pas attention dit 'elle, y a de la haine un peu partout, je suis en train de ramasser ce qui reste de mes dessous.
    _Ah! Euh, Madame Vlank, un pli en recommander vous le prenez?


    _Hummm! De qui ce pli?
    De l’Étude de Fouilkard.
    Elle rugit de colère, tempêta, pesta, pris à part le pauvre facteur , qui ouvrait grand ses mirettes. Complètement abasourdi par la scène qui se déroulait devant lui.


    _Regardez! Regardez ça, ça vous dit quoi à vous Monsieur Creuq?
    _Ben Madame, c'est pas ce qu'il vous faut pour sûr!
    _Comme je suis d'accord avec vous M.Creuq si vous saviez, regardez ça! Mais entrez donc M. Creuq et regardez!


    Elle postillonna, lui tendit une photo... le rouge aux joues, fébrile, tremblante des pieds à la tête.  L'interrieur ressemblait à un champ de mine. Le canapé était sens-dessus, dessous, percé ici et là, les coussins éventrés, de la bourre blanche partout sur le sol.

    Le beau tapis berbère avait subi le même sort. Une odeur nauséabonde emplit ses narines, des chaussures de marque jonchées le sol en piteux états. Du linge, des dessous féminins étaient déchirés, mâchouillés, gluants d'une drôle de matière.

    Échevelée, les nerfs à vifs la jeune femme semblait sur le point de pleurer. Il regarda effaré la photo qu'elle lui tendait. Un homme de belle prestance, un mètre quatre vingt environ, soixante quinze kilos au bas mot tenait dans ses bras un magnifique Chiwawa à long poils.

    Il regarda le monstre avachi sur les restes du canapé et sentit monter en lui une irrépressible envie de rire. La pauvre jeune femme lui reprit la photo des mains et implorante, elle lui demanda :" s'il vous plaît pouvez-vous m'aider à attacher Tornade afin que je l'emmène au chenil? Il détruit tout dans la maison, je n'en peux plus s'il vous plaît!


    _Bien sûr Madame , signez-vous ce pli?
    _Oh oui bien sûr! j'attends cela depuis cinq jours,il était temps! Bon maintenant le harnais, la laisse, mes chaussures oh non Tornade qu'as -tu encore fais à mes chaussures? elles sont foutues... ras le bol Tornade, j'en ai assez à la niche! Grognant, elle attache le jeune chien devant le regard interdit du pauvre facteur.


    Il se rendit compte que tout compte fait, elle n'avait aucunement besoin de lui. Elle le remercia pour son aide, elle s'avança tout en tirant sur la laisse et en appelant le jeune chien. Allez Tornade viens! Allez viens donc, tu vas être bien! Tornade dû trouver l'idée de sa maîtresse fort inintéressante car, d'un bond il partit si vite qu'elle se retrouva à terre.


    Tirer par la force du jeune Saint-Bernard tous fou.Un mètre soixante cinq pour cinquante kilos toute mouillée. Le vol plané ne loupa pas, le facteur ne résista pas, le fou rire le prit...Il ne put se retenir, éclata d'un rre tonitruant alors que la pauvre femme hurlait des imprécations fort peu distingués à l'encontre de son mari.


    Voyant que le chien revenait au galop vers le salon, le facteur toujours riant aux larmes, barra le passage au jeune fougueux. Il stoppa des quatre pattes et la chose suivante, fut inévitable. Madame Vlank fut à son tour freiné par le derrière du fier animal.

    Son hurlement fit jappé le pauvre jeunot, il se retourna et d'une belle langue bien baveuse, il s'empressa de lui laver le visage et tout ce qu'il pouvait. Ecoeurée , humiliée, à bout de nerf, elle hurla encore.

    Le rire du facteur fut la goutte de trop, elle balança d'un geste rageur la laisse en plein visage de celui-ci puis, se redressa furibarde mais devant l'hilarité de l'homme...elle perdit pieds.


    A son tour, elle explosa de rire, le chien se coucha, mâchouilla sa laisse avec entrain.
    _Pardon Madame Vlank mais, avouée que votre mari à l'air d'un sot avec ce tout petit animal dans les bras non?
    _Oh que oui et moi, je suis la dinde que le gros balourd veut boulotté.Merci M. Creuq votre rire m'a remis en place ...j'en avais bien besoin croyez- moi, mon mari va me le payer, son humiliation sera au-dessus de la mienne.

    Ah le bougre d'âne, un Chiwawa pour un grand échalas, sa photo va faire le tour du monde via inter-net...Nos amis vont trouver cela désopilant, grand merci à vous M. Creuq.
    _De rien Mm. Vlank, de rien tout le plaisir fut pour moi.
    Elle lui tendit la main qu'il serra doucement oubliant que la bave du chien était encore toute fraîche.


    Ce jour là , le pauvre facteur eut tellement mal aux zygomatiques et au ventre qu'il dût interrompre sa journée... Un confrère était chez lui présentant des calendriers à sa femme et celle-ci toute fier lui montra son choix...


    Elle qui avait toujours du mal à choisir, ce jour là, son choix fit beaucoup de mal à son mari. Il se tint le ventre, pleurant, riant, gémissant, se tordant.
    _Pourquoi ris-tu ainsi Frank? Demanda sa femme. Il lui montra le calendrier. Elle dit:" Quoi! Tu n'aimes pas les Saint-Bernard?" Il se roula par terre sous les yeux effarés de Sandrine et de son collègue.

    Au bout d'un long moment, très long moment de calvaire...Il réussis enfin à expliquer la situation de Madame Vlank, il n'aurai pas dû.
    Les deux autres visualisèrent la scène et éclatèrent de rire à leur tour...pauvre facteur et pauvre Mm Vlank.


    Il y a des jours comme ça! Cette petite histoire l'accompagna longtemps, ce genre là, ça marque un homme...il est vrai que l'image me plaît bien à moi aussi!y.l.
    Sur une idée de Pascal Perrat.
    931 mots 24 avril 20.

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  • Madame, monsieur, dans un premier courrier, je vous signalais que mon aspirateur robot s'était entiché d'une lampe de chevet et ne cessait de se...frottait contre celle-ci à chaque fois que mon majordome passait chaque matin mon Métalicat 2000 dans ma chambre.

    Comprenez bien que cela m'indispose énormément. Voyez vous-même par mes mots, faites vous une image...Corentin ( mon majordome depuis 10 ans) me fit la remarque suivante le lendemain de l'achat de ce Métalicat 2000.

    _Madame, j'ose espéré que ce soit une habille plaisanterie de  la part de Madame! Si cela n'est pas le cas, je dois vous dire que cet appareil est défectueux.
    _Pourquoi donc Corentin?
    _Que Madame me pardonne par avance, mais pourriez-vous m'accompagnez, je dois montrer à Madame mon propos!
    _Certes Corentin certes...avouez tout de même que votre comportement n'inspire pas ...comment dire ...confiance!
    _Madame, mon propos et tous ce qu'il y a de plus correct. Madame me connaît bien, non!
    _Il est bien entendu que ma confiance vous est acquise Corentin. Soit, je vous suis.


    Et voila qu'il se positionne afin de mettre en mouvement ce fabuleux Métalicat 2000 dont mes chères amies m'ont ventés les mérites. Or chose fort étonnante, ce Métalicat  c'est avec brusquerie diriger en traînant presque Corentin vers l'une de mes tables de chevet...certes elle est ancienne, elle possède un charme avenant mais quand même!


    De voir ce tas de feraille lui faire des comment dire...papouilles? mamours? gouzi-gouzi? bref vous décrire la chose n'est pas aisé. Puis mon étonnement fut encore plus grand quant enfin je réalisé que c'est avec cette lampe très très ancienne que ce Métalicat voulait...faire plus ample connaissance.



    Vous me direz que l'appareil a pu avoir un léger disfonctionnement du fait du transport. J'aurai pu y croire mais, de jour en jour, Corentin a bien du mal à se faire obéir ( le mot n'est pas trop fort) du Métalicat...il ne veut brossé, lustré, aspiré que l'endroit ou repose cette fichue lampe ancienne.



    Pour le contrer, Corentin eut la bonne idée de déplacé cette petite chose fragile ainsi la pièce pu être faite mais le lendemain, ce fut chose plus difficile à chaque fois que Corentin déplacé la petite chose, Métalicat grondait furieusement, toussait et il rejetait la poussière accumulée .


    Si vous voyez ma pauvre moquette blanche, c'est une pure horreur, je vous avise de la situation et vous invite à venir voir par vous-même cette étonnante, exécrable, incompréhensible et inavouable résultat.


    Je tiens a savoir si par un concours de circonstance étrange ,votre Métalicat ne serait pas un objet recyclé ...puisqu'il possède tout autour de lui ce bois si précieux ( bois de rose dont est pourvu ma superbe lampe de chevet. Mon arrière, arrière grand-tante l'avait hérité de sa mère qui elle-même l'avait hérité de sa mère légèrement farfelue...)


    Elles étaient deux,par un malheureux hasard, l'une d'elle fut perdue. Depuis que je possède celle-ci, il m'est impossible de posé sur la table de chevet ne serais-ce qu'un vase. Pourtant cette lampe et ce depuis que Corentin passe Métalicat dans ma chambre,est de plus en plus belle, son bois de rose est de plus en plus rose, c'est impensable et pourtant vrai!
    Je vous pose donc la question et j'attends votre réponse. Avec mon respect le plus sincère. Madame de la Franchevilière?


    Réponse:

    Madame
    En effet l'appareil que l'on vous à livre par erreur, est défectueux et ce depuis le début.Vous me dites qu'il répond à votre lampe de chevet...vous m'en voyez ravi et vous recommande de le garder auprès de comment dire...moitié...
    Nous ne pouvons le reprendre et vous exprimons par cette présente nos meilleurs sentiments.
    Fabrique Ancienne et Nouvelle..Jacques Cal pour mieux vous servir.
    FAN @.fr.

    Retour de courriel de Madame.


    Monsieur suite à votre courriel, je tiens à vous préciser que Métalicat se trouve en ce moment même au grenier en compagnie de ma très chère lampe ancienne, ainsi Corentin ne souffre plus de affres de cet étrange appareil. Une étrange et fabuleuse histoire que celle-ci à je l'avoue attirer une foule immense...ainsi, je me trouve avec un beau bénéfice, mon domaine sera ainsi préservé. J'ai recommandé à mes amies vôtre entreprise et vous souhaite longue vie. Sincèrement, Madame de la Franchevilière.
    y.l
    Sur une idée de Pasacal perrat.

    26 juin 20,698 mots.
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  • qu'on trouve habituellement sur les plages. Cet être statufié, les bras croisés, face au large, attendant on ne sait quoi...
    Mille huit cent quatre-vingt sept, l'année de tous mes  maux.Je connaissais un vieux sculpteur, Jacques qu'il aimait que je l'appel. 


    âgé de quatre-vingt deux ans, toute sa tête, des mains en or...je lui avais comté mon histoire, ma haine, mon déboire, ma chute vers le désespoir, la dérive illusoire, puis...le réveil sombre, emplit d'une certaine violence.


    Il m'avait écouté, ses yeux de porcelaine laiteux me fixant avec me semblait-il, de la bienveillance, avec une petite nuance de tendresse. Mes errances m’emmenèrent vers  mon point de chute que plus jamais, je ne quittais.

    La sous le regard immense de l'océan, j'appris tout d'elle, j'écoutais les longs discours de ces marins ivres de l'envies de repartir. Ils ne savaient pas nagés et pour cause ( en cas de naufrage, la mort, venait plus vite disaient-ils. Quel courage.)



    Le matin de très bonne heure, ils sortaient la pêche n'attendait pas. Les longues barges, lourdes, peinaient pour sortir du port. Celui-ci venait à peine de sortir de terre et de granit brute...Brest n'a jamais était facile. Mon coeur les accompagnait. La journée état soit longue, soit courte,mais toujours pleine de tracas.
     


    Je n'en pouvais plus alors le soir lorsque les barges rentraient au port, les femmes, les enfants heureux (ses) lançaient des cris de joies. La prise enlevé, les marins après le nettoyage, pouvaient quitté la barge fiers d'être rentrés vivants.

    Moi! Moi j'attendais debout sur mon rocher, perdu dans mes tristes pensées,priant pour que la dernière barge revienne . La joie quant au loin, je voyais cette vieille barge, qui tanguait tant et tant que cela, me donnait presque le mal de mer.
     

    Mon envie de prendre la mer était si grand, la puissance de ce désir lancinant m'empêchait de dormir. Mon besoin de découvrir des contrées forts éloignées faisait de mes nuits le cauchemar de ma vie.
    J'ai grâce à des prêts parcouru les océans,pourtant, mon coeur toujours me ramène à Brest.


    Et là, je regarde maintenant les pêcheurs ...revenants à bout de forces, forçant comme ceux de naguère sur les rames amenant la lourde barge à quai.
    Les marins , étaient fébriles, fatigués, énervés, ils lançaient les filins...mais personne n'était là pour les aider. Moi!  Mais Moi,  je ne pouvais plus les aider...Jacques a fait de moi un souvenir, un être à part, un être qui veille jour et nuit...attendant avec patience, crainte, joie le retour de ces enfants de pays. 


    Pourquoi fit-il cela? Sa réponse me surprit et en même temps, elle me ravit?
    _Parce que tu es le seul à être revenu, le seul maintenant à les attendre matin et soir...Ils le savent et sont confiant quant au loin , ils voient ta haute silhouette, leur coeur bat plus fort, leurs membres engourdis par le froid, par la douleur des rames lourdes qu'il faut pourtant plongés dans l'eau sombre d'une mer agitée, rejetant l'homme et sa violation de son ventre.


     Ces hommes qui prennent ses enfants, la rende triste, coléreuse et souvent , elle hurle, frappe, retient, relâche ses forces afin qu'ils viennent en elle puis, elle se calme ayant eu son content de vie. La mer n'est pas tendre, elle est  même l'esprit de l'eau le plus fort qu'il soit. Misérable sois-tu, toi qui te crois plus fort qu'elle, elle te le fera payer.


     Je le sais pour l'avoir vécu, la mer ne se laisse pas dépouillée sans se battre furieusement. Depuis que Jacques a fait de moi ce que je suis, je connais ses rages et sa force. Souvent elle me fouette de ses lames glacées me passant largement par-dessus la tête. Il a fallut me déplacé afin qu'elle ne batte plus contre moi, trop forte.


    Oui, je vous regarde perché sur mon socle de granit mais surtout, je regarde la mer droit devant et je pleure quand les hommes sont dit " perdus en mer" que de femmes, que d'enfants ce sont tenus tout contre moi répétant sans cesse les mêmes paroles..." dieu puissant, vierge Marie ramènes-moi mon époux, mon frère, mon enfant".


    Si j'étais encore vivant, je hurlerais de peine tant je le vis avec tous ceux qui courageux brave l'océan. Je reste tel un  vigile, j'attends le retour de mes enfants.
    y-l.

    Sur une idée de Pascal Perrat.
    1.6.19,717 mots.
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  • Si les gens ne voient pas à quel point les mathématiques sont simples, c'est qu'ils n'ont pas compris à quel point le monde est compliqué.
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  • _Mon mari et en creuventorium, on lui a fait un plumeau au thorax.
    _Mon mari est mort depuis deux mois, que dois-je faire pour le sortir de la caisse?
    _
    J'ai nourri mon enfant au sein sans arriver à joindre les deux bouts.
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  • " Il ne faut jamais gifler un sourd: il sent la gifle mais ne l'entend point."
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