6) Mais sa punition arrivait déjà, sous la forme épaisse et lourde du brouillard; alors, elle attendit que l’être prenne sa vraie forme pour lui parler. Mais ce jour là, cela ne se passa pas de la même façon. L’être resta sous sa forme d’ombre noire et sa voix était stridente, grinçante, comme si elle n’était pas seule…la peur envahit petit à petit l’esprit d’Anamahyrl. elle esseya d’écouter, mais les voix n’étaient pas claire, trop de bruit pour en comprendre le sens, alors Anamahyrl cria. – Que cela cesse immédiatement, je ne comprends pas ce que vous me dites… A la colère vint se joindre la stupeur, car, l’ombre noire se délitera et trois êtres d’une grande beauté se tenaient devant elle.- » Petite fille de sept printemps, enfant, tu as proféré une grande menace envers deux des tiens et envers des peuples entiers… que comptes tu faire pour réparer ce que ta colère a fait? Fille du vent, ton pouvoir est immense; il va te falloir être plus patiente, afin que ta colère ne devienne pas une arme , tu le sais, on te l’a déjà dit . Plus tu grandis et plus ton pouvoir devient fort. Il faut que tu te trouves quelqu’un qui puisse t’aider. Qu’il devienne ton gardien…- Une femme ce serai bien, car l’enfant a besoin de tendresse pour devenir ce qu’elle doit devenir. Si elle n’a pas de tendresse, son coeur va se fermer et le danger sera grand pour les hommes qui croiseront son futur chemin. – Oui Héria, comme toujours tu as raison, mais qui prendra en charge cette enfant si puissante, qui aura assez de force pour amoindrir sa puissance! Qui aura assez de coeur et de patience pour que cette enfant redevienne pour un temps une enfant? Les trois êtres discutèrent ainsi devant Anamarhyrl. Quand soudain, ils se turent et regardèrent avec crainte la petite fille qui le regard dans le vide se balançait d’avant en arrière la bave aux lèvres. Kamarilla, Kamarilla, Kamarilla, puis la petite tomba endormi. Les trois êtres se regardèrent et haussèrent leurs épaules. » Bien dit le plus vieux des trois, elle a fait son choix, nous reste plus qu’à trouvé Kamarilla… à la sortir de sa grotte et à la convaincre de revenir au camp sous la forme d’une druidesse, sorcière.
bonjour
en bonne curieuse , je passe sur ton blog
car j' aime aussi en découvrir de nouveau
bonne continuation et bonne imagination pour tes contes
kénavo