• " On est volé à la Bourse comme on est tué à la guerre, par des gens qu'on ne voit pas."
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  • " Je me suis remis à la clarinette. C'est ce qui se rapproche le plus de l'Anglais."
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  • (1900-1977) poète.
    Une orange sur la table
    Ta robe sur le tapis
    Et toi dans mon lit
    Doux présent du présent
    Fraîcheur de la nuit
    Chaleur dans ma vie.
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  • (1725-1798) écrivain, diplomate et aventurier.
    Quand on est amoureux,
    Il suffit d'un rien pour être
    réduit au désespoir
    ou pour toucher le ciel
    d'un doigt.
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  • (1564-1616).
    Un amour effondré,
    reconstruit, croît plus fort,
    plus gracieux, plus grand
    qu'auparavant.

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  • Vingt ans à peine, rêves plein la têtes, jouissant pleinement de sa vie...un soir pourtant...il la perdit.
    Erwan Flok restera pour ses parents, le plus bel enfant au monde. Sa naissance fut pour eux un vrai miracle, Eva sa mère ne pouvait soit disant concevoir car, ses ovaires avaient été atteint par une vilaine maladie lorsqu'elle était jeune.Maurice quant à lui avait ses spermatozoïdes trop peu nombreux et très lents.



    Qu'importe,la nature entra en jeu et un soir de pleine lune rousse, Maurice donna à Eva ce qui était nécessaire pour procréé . Un mois plus tard, Eva criait de bonheur devant un test de grossesse qui lui apprenait quelle était enceinte. Quand Maurice rentra de son travail, il trouva devant le porche d'entrée, une banderole qui disait:" Ici dans huit mois viendra au monde l'enfant béni de Maurice et Eva Flok..."



    Maurice entra et se rua sur une Eva toute rose et fortement exciter.La nuit fut pleine de douceur, d'amour,de passion. Ivre de bonheur, ils s'endormirent comblés. Les mois passèrent et le couple s'aimait toujours autant. Quand vint le moment de la délivrance...Eva appela Maurice qui trop prit par sa dernière découverte,ne partit pas aussitôt . Il rejoignit sa femme après avoir passer  une heure sur son invention.


    Eva se tenait droite dans son lit, elle avait sur son beau visage une trace de pleur...ce qui rendit Maurice très inquiet.
    _Eva ma chérie as-tu toujours tes contractions?
    _Non Maurice, je n'en ai plus. son visage se ferma,une larme solitaire coula le long de sa joue.
    _C'est normal ça ma chérie?
    _Non Maurice ce n'est pas normal.
    _Dit moi ce qui se passe Eva, je suis si désolé d'avoir laisser mon travail prendre le pas sur la naissance de notre bébé, je t'en prie dis moi que vous allez bien tout les deux!


    _Eva baissa la tête, regarda Maurice puis dans un souffle elle lui dit:" Nous allons bien Maurice, notre fils est né, il y a cependant un léger problème et je n'y comprends rien du tout..."


    _Explique moi simplement chérie, un fils tu te rend compte,un fils oh Eva chérie quelle joie! Ou est 'il notre petit miracle? Je veux voir mon fils pourquoi n'est 'il pas ici avec toi dans la chambre? Tu m'as dit qu'il allait bien alors...explique moi,je dois tout savoir, nous ferons face je te le promet mon amour, nous resterons unis même s'il y a une grosse catastrophe,promis.

    _Attends Maurice, le problème est mineur, notre fils est complet de la tête aux pieds, il pèse trois kilos huit cent quarante gramme , mesure cinquante six centimètres, il est moitié-moitié ...Je comprends pas Maurice,je comprends pas mais je l'aime déjà tant que à tout te dire...je me fiche bien de ce qu'il va devenir, c'est mon enfant et le tient et comme tu viens de le dire...on fera front,unis jusqu'au bout de notre vie. Je t'aime Maurice.

    _Moi aussi mon amour, moi aussi, mais là...j'avoue que tu m'inquiète fortement, ou est notre fils?

    _Ils le nettoie, lui font ses premiers soins, et ils lui prennent du sang pour différentes analyses, là encore,je n'ai pas tout compris. tu devrais aller voir le médecin et tu m'expliqueras avec tes mots, je suis fatiguée, j'aimerai dormir un peu avant que notre bébé ne vienne pour la tétée...tu veux bien Maurice?

    Après un coup d'oeil inquiet envers son épouse, Maurice quitta la chambre 22. D'un bon pas, il se dirigea vers le couloir qui devait le mener vers les soignantes. Des bruits, des cris, des rires lui signalèrent qu'il était au bon endroit.

    Il regarda à travers les vitre, vit trois poupons dodus, deux infirmières ou aides soignantes étaient là pour s occupés des petits. Il sourit et chercha de son regard d'aigle son fils. Ne le trouvant pas, il frappa doucement contre la vitre. L'une des jeunes femmes sortie de la nurse rie et vint à sa rencontre.

    _Monsieur, que puis-je faire pour vous?
    _Monsieur Flok,je cherche mon fils, ou est 'il?
    _Oh Monsieur Flok,oui...venez donc avec moi, le Dr Handel veut vous voir, n'aillez crainte il n'y a rien de terrible,juste un contretemps.

    Maurice plus qu'inquiet commença à transpirer, sa gorge se serrée, ses yeux se firent larmoyant et l'angoisse sourde emplit son coeur.
    Après une traversée de couloirs, de bruits, de cris, de galopades , ils arrivèrent devant une pièce qui ressemblait plus à un cagibi...qu'à autre chose, Maurice se trouva devant deux femmes et un très jeune homme.

    L'infirmière ou aide soignante, s'adressa (évidemment) au jeune homme.
    _Docteur Handel, Monsieur Flok désire vous voir!
    _Hein! Ben non pensa Maurice, c'est elle qui...il ne dit rien et attendit de voir ce que ce jeune docteur avait à lui dire.

    _Ah oui, le petit Flok, bien venez donc dans mon bureau nous y serons plus à l'aise, ce que j'ai à vous apprendre, va j'en suis sûr bien vous surprendre et sachez-le...il n'y a pas eu d'échange.
    Quoi? De quoi parle t'il lui? Maurice commençait à voir rouge, son cou se gonfla, ses joues devinrent livide et son regard passa du bleu sombre au noir froid.

    _Docteur Handel, ma patience vient d'atteindre un point de non retour, dites-moi maintenant ce que mon fils a sinon!
    Le jeune médecin se retourna et prit conscience que l'homme face à lui devenait dangereux. Il s'arrêta, regarda autour de lui et dans un souffle demanda:" Monsieur Flok sans vouloir vous vexez, avez-vous dans vôtre famille des traces d'enfants métissés?

    _Hummm gronda Maurice,tout ça pour ça!
    _Oui, je suis moi-même métisse blanc...mon fils est 'il métissé?
    _Oui et votre épouse est fortement éprouvée par ce fait, n'est'elle donc pas au courant?




    _Si docteur, mais nous sommes unis depuis plus de seize ans, on oublie et ce petit qui est présent nous a tellement bouleversé que je l'avoue, j'ai omis de reparler de ce métissage.
    _Oh! Alors il n'y a aucun problème, votre fils est si beau que les femmes le prennent dans leurs bras et le câlinent depuis sa naissance, je ne sais si elles vous le rendrons...venez allons chercher votre bébé.



    Maurice le suivit et comme de fait,plusieurs femmes en blouse rose se passaient un nourrisson  comme on se passerait un ballon. Elles étaient toutes roses, elles gloussaient,murmuraient de petits mots doux à l'enfant qui ne semblait pas du tout déranger par ce brassage,embrassement et autres petites marques affectives.


    _Mesdames rit le docteur Handel, Monsieur Flok veut son fils, il est temps que ce petit retrouve sa mère pour la tétée. Laissez-donc Monsieur Flok prendre son enfant. Mesdames s'il vous plaît. Il durcit le ton afin qu'elles reviennent enfin à elles.
    _Votre fils semble les hypnotisés.Je vous plains Monsieur. Dès qu'il sera plus grand votre maison sera emplit de fillettes et de garçonnets prêts à devenir son meilleur ami...la poisse pour vous. Son rire accompagna ses paroles.

    Enfin Maurice récupéra son enfant. Dès que son regard se posa sur lui, il sut que plus jamais il ne serait malheureux...Avec des gestes délicats, il repartit vers la chambre 22, Eva l'accueillit avec la peur dans le regard.

    _Mon amour, souviens-toi je t'avais dit que j'étais issu d'un métissage...notre enfant est lui aussi un métisse,le rejetteras-tu?
    _Jamais, donne moi mon fils,il est grand temps qu'il tète.

    Ainsi débuta la vie de ce garçon qui avait un charme fou. Que se passa t'il donc pour que le pire arrive?
    Erwan que t'est 'il arrivé ce fameux soir?
    (  y.l.à suivre).

    1230 mots, 1 août 2019.
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  • La beauté provoque
    les voleurs plus que l'or.
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