• Guillaume Apollinaire. ( Les fenêtres).

    Du rouge au vert tout le jaune se meurt
    Quand chantent les aras dans les forêts natales
    Abatis de pihis
    Il y a un poème à faire sur l'oiseau qui n'a qu'une aile
    Nous l'enverrons en message téléphonique
    Traumatisme géant
    Il fait couler les yeux
    Voila une jolie fille parmi les jeunes Turinaises
    Le pauvre jeune homme se mouchait dans sa cravate blanche
    Tu soulèveras le rideau
    Et maintenant voila que s'ouvre la fenêtre
    Araignées quand les mains tissaient la lumière
    Beauté pâleur insondables violets
    Nous tenterons en vain de prendre du repos
    On commencera à minuit
    Quand on a le temps on a la liberté
    Bigornaux Lotte multiples Soleils et l'Oursin du couchant
    Une vieille paire de chaussures jaunes devant la fenêtre
    « I Ching.Le Marquis de Coigny au Duc de Lauzun,1794. »
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