•  En passant il me jette un regard. Yeux marron, la tristesse bien marquée, me frappe de plein fouet.
    Je reprends mon petit bonhomme de chemin, mais… Le lendemain je refais le même parcours me disant que ce soir, il ne sera pas là avec cette tristesse au fond de son regard.
    Mais je le vois, assis là, il attend quoi? Je refais en sens inverse le parcours et il est toujours là.
    Je reste en retrait, je le fixe, il baisse ses yeux, cherchant à m’échapper il se détourne.
    Il ne sait pas à qui il a affaire… Je persiste, j’insiste, je le scrute, le foudroie de mon regard.
    Il ne bouge pas, faiblement il relève sa petite tête et se remet à espérer je le voie dans ses yeux.
    Je hausse les épaules et je reprends ma route, prise d’un doute je me retourne… Il est resté, là-bas, seul avec sa tristesse, pourquoi?
    je le hèle, l’interpelle, je le siffle, ( eh oui, j’ose.) Il reste, mais son petit bout de queue à frétillé, ben mince alors! Je rebrousse chemin assez perplexe, j’arrive devant lui, je lui parle et là je vois le pourquoi et le comment.
    Attaché… Attaché par et avec une si fine cordelette que mon regard ne l’avait pas vu.
    Je peste contre moi même, je vois au fond de son regard l’amour qu’il a déjà pour moi, alors… je cherche à défaire cette cordelette et horreur je vois la marque de ses efforts pour fuir ce qui lui déchire la chair.
    Alors ma fureur grandit et je fulmine contre ceux qui ont fait cela. J’arrive enfin à enlever cette horreur, mais, sans force il s’effondre.
    Le prenant dans mes bras, pauvre chose si faible, si légère et si pleine de… puces, beurkkkk.
    C’est avec beaucoup de douleur que je l’ai conduis chez le vétérinaire, ne voulant pas écouté son diagnostic, je me ferme les oreilles et ressors avec mon poilu tout miteux, galeux.
    un  ans plus tard, le vétérinaire ne l’a pas reconnu, non! ce n’est pas la bestiole miteuse que vous m’avez amener il y a de cela un an?

    -Si fait, c’est bien le même.
    -Comme quoi hein! Juste de l’amour et un coin pour dormir, il a un bon tonus votre chien Milène, bravo à vous.


    – Merci, mais, moi je n’ai rien fais, c’est lui qui s’est battu pour survivre, pour continuer à vivre
    .- N’empêche que sans vous!

    Au plus profond de son regard .

    - Oui, sans moi… et sans vous tous et toutes, n’oubliez pas, un animal n’est pas un jouet…
    Y-L

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  • Eh!  le gars, ne prends pas ça à la légère. Toute histoire à son fond de vérité lui dit Georgio.- Ouais et moi, j’ai la barbe blanche du père Simons. Ecoeurer par tant de stupidité, on le  laissa et chacun retourna à ses propres occupations. Sûr de son fait, le Flavio alla trouver le bourguemestre ( à cette époque celui-ci le lorgna comme- ci  le Flavio se moquait de lui), mais le Flavio était sérieux; et c’est avec son arrogance coutumière qu’il exigea que cette trouée lui soit vendu. Notre bon vieux Alfredo secoua sa petite tête et toujours aussi pragmatique tenta d’expliquer à ce Flavio qu’il commettait une bien grave erreur. Mais comme l’autre n’en démordait pas; il lui dit: – bon voila mon gars… la trouée elle est à personne tu comprends ça! Si tu veux, tu la prends… mais viens pas dire que les hommes  ne t’avaient pas prévenus. Flavio fixa de ses yeux cupides Alfredo et sans sourire lui réclama un certificat.- Eh! je te dis que ce bout de chemin, cette trouée n’appartient à personne et tu veux que je te donne un certificat? D’ou tu veux que je le sorte ce bout de papier hein!- Vous n’avez qu’à écrire sur votre carnet que la trouée appartient désormais à Flavio Gienty et me donnez le double. – Jeune gars, t’es un peu mou dans ta tête; mais bon, je vais te le donné ce papier, comme ça tu me foutras la paix. J’ai autre chose à faire moi que  tes fadaises délirantes m’empêche de faire. Flavio sourit d’un sourire narquois, ce qui mit Alfrédo de mauvaise humeur.- Puisque tu le prends ainsi le gars, tiens le voila ton bout de papier. En le lisant Flavio eut du mal à avalé sa salive, car Alfredo avait écrit: Ce vendredi à 9h30 ( on dit maintenant 15h30) Flavio Gienty à reçu de ma main le papier qui lui servira de certificat à sa demande, concernant la trouée au loup… désirant y mettre son troupeau entouré de barbelé, sachant que la trouée n’appartient à personne et refusant de prendre les avis des hommes comme mise en garde, je garde un double et exige sa signature et l’apposition lue et approuvé… afin qu’aucune plainte ne soit par la suite émise à mon encontre ou à l’encontre des autres. Il reconnait par ce certificat renoncer à toutes poursuites. Alfredo le regarda, lui tendit sa plume et lui dit: tu signes les deux. Flavio s’exécuta, le sourire mauvais et repartit vers le lieu dit la trouée en vue de prendre les mesures pour le barbelé. Dès lors plus aucuns hommes ne le salua, ni ne chercha à lui procuré de l’aide. Il dut se débrouiller seul car ceux d’en bas ne voulurent pas même pour un bon salaire venir mettre le barbelé au lieu dit la trouée au loup. Il traita les gens de débiles supersticieux, d’arriérer mentaux et plus encore. L’hiver passa, un bien rude hiver que celui-là. Le vieux Simons mourut de sa belle mort à l’âge de 82 ans. La Simonide y passa aussi à 92 ans. Maria la femme du boucher attrapa une cochonnerie sur les poumons et elle descendit dans la vallée afin de se faire soignée. Elle revint au printemps et à sa suite un gros troupeau de moutons noirs et blancs. On le regarda passé avec effarement, autant de bêtes dans la trouée; jamais il n’y aurai, jamais assez d’herbes pour tout ces moutons. Le Flavio était devenu fada. Maria nous raconta qu’elle l’avait vu discuté avec les hommes qui accompagnaient le troupeau, des français… et ils avaient accepté de conduire les bêtes là-haut et de les parquets là ou il y avait du barbelé. Flavio était content et avait fait à Maria un clin d’oeil, elle avait hochée la tête, mais, lui ne l’avait pas vu. Les hommes firent monter les bêtes. Six hommes pour un troupeau comme celui-là, du jamais vu ici… Maria nous raconta que le Flavio avait remis une grosse enveloppe grise au plus vieux et que celui-ci avait craché dans sa main et l’avait tendu au Flavio qui refusa offenser de la serrée. Ce qui ne se fait pas, refusé un top là comme ça! Le vieux avait craché par terre et marché dessus ( ce qui veut dire, que s’il arrive quelque chose au troupeau, c’est pas ses affaires). Avec les autres il avait suivi le chemin, puis le sentier, pour arriver enfin en vu du village. Le vieux ( Claude Frondet) était venu voir Alfredo et lui avait expliqué qu’il travaillait pour le compte de Flavio et qu’il voulait savoir ou il devait parqué ses bêtes; car il préférait repartir très vite et ne plus rien avoir à faire avec ce genre de gars. Alfredo fut étonner, car Flavio lui avait plus ou moins dit que des hommes gareraient son troupeau jusqu’à la prochaine saison. Mais, si ces hommes là partaient qui garderait  les moutons! à suivre.
    Y-L

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  •  

    Elle Revient… conte pour enfants sages

    Dans le vent de l’hiver, en un soir bien particulier, les vieux près du feu semblèrent frissonner plus que de coutume. Pas un bruit au dehors,le souffle du vent s’était tu, les enfants qui en cette heure dormaient eurent tous d’affreux cauchemars . Aucun homme n’osa sortir :

    alors une des femmes se dévoua tout en regardant ces valeureux guerriers  qui restaient le derrière assis sur une buche et faisait  semblant de ne rien entendre. Les vieilles lui dirent:" Petite ne va pas au dehors; c’est le jour ou les petits sortent de leur trou, n’y va pas; tu sais qu’on fermera et qu’on ouvrira plus la porte avant demain midi"!

    - Oui la vieille, je le sais, garde mon fils pour moi puisque mon homme n’est qu’un poltron et que son seigneur saura que celui qu’il nomme chevalier d’argent n’est qu’un pleutre. l’homme cracha par terre mais ne dit mot, furieuse la femme souleva la lourde porte et la referma derrière elle.

    Elle s’avança le long de la cour, reniflant le manque d’air. Les chiens étaient couchés sous les blocs de pierre, pas un ne fit de bruit. Une jeune chatte vint se frotter contre les jambes de la jeune femme. Cette boule de chaleur fit du bien à cette femme pleine de courage, la nuit était particulière et tant elle l’était qu’elle ne refusa pas la présence de la chatte.

    Hors au village,il n’y a aucun chat. Les chats sont animaux de mauvaises vibrations. Arluif l’a dit à tout le village et depuis tous les chats sont chasser des abords du village. Malnia, la chatte et sa chaleur contre elle se dirigea vers la source du bruit. Le bruit était très inquiétant pour une femme seule dans le noir.

    Elle n’avait pas pensée à emmener une torche et ses pas n’étaient pas assurés. Parlant avec douceur avec l’animal elle continua son chemin, et, ce chemin elle l’avait compris la conduisait vers le site des morts. Par -pitié dit-elle, par-pitié; ne me faites pas de mal, j’ai un enfant je suis jeune et je resterais votre amie.

    Continuant ainsi son monologue , Malnia, caressa la petite bête qui ronronna, ho! quel doux son que voila, pourquoi nous priver de votre présence, vous êtes si adorables et sans peur, vois les chiens comme leurs maîtres couchaient dans la paille ou sous le roc, sans oser bouger !-

    Elle Revient… conte pour enfants sages

    Tu en penses quoi toi, petite bête intelligente? Avançant toujours elle arriva à la sortie du village et là le courage lui manqua, mais la petite chatte sauta de ses mains et la regardant continua à avancer. La chatte attendit… Puis la petite bête se mit à courir et Malnia courut elle aussi, dans le noir elle chuta à deux reprises,mais son coeur vaillant l’incita à se relevé pour sauver l’animal.

    Puis le silence se fit plus pesant. Une clairière, et, là, un nombre incroyable de chats de toutes tailles. Et c’est ainsi que Malnia comprit qu’elle vivait la légende de la chatte reine des bois. Assise sur un énorme tronc d’arbre, la chatte blanche semblait l’attendre et la fixait de ses yeux d’ambre.

    -Tu es venue, toi et toi seule pourquoi?
    - J’ai entendue les pleurs des enfants des bois alors je devais faire quelque chose…
    - Les autres n’ont-ils rien entendu?-
    Si, bien sûr que si, mais ils ont peur de la légende…

     

    - Toi, non!
    - Oh si! si j’ai eu peur de venir seule, mais il fallait que je vois si je pouvais aider les petits, tu comprends?

    - Je comprends surtout que ceux qui ont inventés cette légende sont toujours aussi stupide. Demain tu iras vers la vallée de l’aube et du soleil qui se touche; tu y verras notre roi. Lui te donnera la potion pour que tu puisses parlée le langage des chats et ainsi tu pourras nous aider, mais tu devras garder ce secret jusqu’à la fin de ta vie.

    Malnia le promit et elle pu voir de ces yeux le roi des chat, immense chat plus gros qu’un tigre, plus puissant que deux boeufs, plus rusé que cent renards et plus vif que le plus grand des loups de la steppe.
    Malnia vécut de bien longues années auprès des hommes et des animaux, ayant la connaissance de beaucoup d’herbes qui soignent, mais les hommes en eurent peur le jour ou elle rentra au village; alors elle prit son fils et s’en alla un peu plus loin vivre dans une belle et vaste grotte.

     

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  •  Je suis d’un autre temps. D’une époque ou les grands vaisseaux voguaient  sur les mers avec intrépidités. De ce temps ou la vie d’un homme était suspendu aux lèvres de son capitaine. J’en connus plusieurs et pour dire vrai, je ne garde aucun  souvenirs, bons ou mauvais de ma vie de mousse. Mais je vais vous parler du temps ou sur le vaisseau  du capitaine Onkey,  je crus ma dernière heure arrivé.

    Il n’était pas le plus fringuant des vaisseaux, non, au contraire, avec sa voilure déchirée de part et d’autre, il ressemblait plutôt à l’un de ces vaisseaux fantômes dont les marins à quai  aimaient tant nous raconté l’histoire. A cette époque là, je vivais avec mon père, marin de métier à quai. Il déchargeait les cargaisons. Il me faisait rêvé le soir quand après une dure journée, il rentrait dans notre misérable demeure.

    Ce soir là, il me décrivit l’immense voilier qui venait d’accosté. Blanc de voile, frais de mise, un grand capitaine à son bord. Il revenait des îles ou ses cales pleines à craquées n’attendaient plus que les bras vaillants des marins de quai pour être décharger. Sa figure de proue ressemblait à une femme d’une très grande beauté. L’acajou de son bois faisait rêver le plus vieux des marins, Lesquabille. Mon père me raconta ce que Lesquabille lui avait dit de ce magnifique vaisseau, de son histoire, vraie pour une fois.

    L’armateur un baron sur le retour avait commandé ce vaisseau à un ancien compagnon. Ledit compagnon alla chercher très loin le bois dont était fait le vaisseau. Il en était revenu avec la fièvre et en était mort trois semaines plus tard. Son fils, reprit la commande et plusieurs travailleurs furent soit blesser gravement, soit y trouvèrent la mort de façon tragique.Lesquarbille, raconta que le fils de Martin fit triplé le prix de ce fameux vaisseau. Prix qui fut accepter par le vieux baron de l’Estamine.

    Vieille fortune d’Amérique du Nord.Mon père disait souvent navire, d’autres que lui disaient vaisseaux, l’un comme l’autre ce vale. Pour en revenir à l’histoire, dès que le vaisseau fut baptisé Le Santa Maria ( du prénom de la fille du baron l’Estamine) et  mis à l’eau; l’étrange langueur de celui-ci lui valut le surnom de bascasse… Les marins  ne l’aimait pas et quand une violente tempête se fit au large de la côte du naufrageur, les marins comprirent que le vaisseau ne les aimaient pas. Le beau capitaine eut beau leur dire que ce n’était que superstition,rien n’y fit. A la première escale la plupart des marins quittèrent le vaisseau en le maudissant de toutes leurs forces. Mais, comme il est souvent, d’autres marins moins peureux ou moins superstitieux acceptèrent de monter à bord pour une très longue et périlleuse route. 

    Et c’est à partir du second voyage que François Miesque, premier capitaine du magnifique vaisseau le Santa Maria regretta tout le long de sa misérable vie d’avoir connu ce vaisseau. Le premier voyage se passa bien et c’est les cale pleine à craquée que le vaisseau revint vers son lieu d’amarrage; puis Miesque accepta un second voyage et là… Trois mois, jours pour jours, le temps devint des plus instable et le vaisseau montra des signes de fatigue. Le beau bois d’acajou n’était pas assez sec. Le vaisseau  mit à la gite, la première lame de fond envoya par dessus bord une dizaine de marins.

    La seconde fit tournée le vaisseau de la proue à la poupe sans que le segond y puisse grand chose. Il avait beau s’époumoné, les marins ne voulaient pas monté en haut des mats.Jarvis le petit mousse, sans montré la frousse qui lui tenaillait  le ventre, grimpa en haut du mat principal et affala la voile. Le capitaine lui demanda par signe de continué… Jarvis hocha la tête et claquant des dents se hissa tant bien que mal jusqu’au deuxième mats… et grâce aux filets affala la deuxième voile. Jarvis voulut faire la même chose pour le troisième mats mais le vaisseau tangua violemment, pris dans le filin, Jarvis sentit sa jambe faire un tour presque complet.


    Le crac, sonore, fut entendu par l’un des marins resté en bas qui se tenait au mat du mieux qu’il le pouvait. Un cri rauque échappa de la gorge de Jarvis.
     »- Tiens bon petit j’arrive… » le marin Hector (dit la patte folle) voulut monter à la rescousse du petit, mais, le capitaine l’en empêcha.-
      » Oh Hector! tu crois que tu vas pouvoir grimper si haut avec ta patte folle?- Ben capitaine! si j’y vais pas, le petit risque de tombé d’un moment à l’autre avec cette houle….
    – tu es brave Hector, j’en reviens pas… regarde les autres! tous de vaillants marins, mais,pas un ne bouge…Z’ont peur capitaine, l’vaisseau l’est pas bien vous savez…
    - Ne dis donc pas de bêtise, c’est un vaisseau un peu trop neuf ( et, ce faisant le capitaine regardait Hector les yeux exorbités, Hector comprit et n’ajouta rien).

    – Vous z’avez sûrement raison capitaine, bon on fait quoi, pour le petit!- J’y vais, moi, je vais y aller, c’est à moi d’aider Jarvis… Et le capitaine grimpa comme s’il avait fait cela depuis son plus jeune âge. Les marins en dessous étaient ébahis et frémissaient en sentant le vaisseau faire de brusque changement de cap. Les marins regardèrent le segond, qui, hurla sa colère contre le vaisseau.

    Alors contre toute attente le vaisseau cessa de bouger. Miesque arriva juste au moment ou Jarvis à bout de force allé lâchait la corde.-
      » Tiens bon petit, tiens bon, je suis là! »
    -Capitaine, le vaisseau…le vaisseau, il m’a empêché, il ne veut pas qu’on affale la troisième voile…il m’a dit qu’on coulerait si on affale la troisième voile, faut l’écouté capitaine, faut l’écouté.

    - Pauvre petit tu dois avoir bien mal et la douleur te fais déliré…
    - Non capitaine, cria Jarvis. Non, regardez vous même, là en bas à la poupe… Jetant un oeil, le capitaine fut horrifier. Le vaisseau était presque couché, seule la voile du troisième mat permettait à celui-ci de se maintenir, le vent qui en cessant sa folie et la mer qui redevenant sage montrait les dégâts subit. -

    Oh mon dieu, tu as raison…viens là petit on a du travail si on veut arriver vivant. Prenant Jarvis sur son dos et sentant le petit se raidir il lui parla doucement… On va y aller en douceur Jarvis, on descend. Accroche toi bien à moi et ne flanche pas…écoute moi Jarvis, écoute ma voix. Et tout en parlant le capitaine parvint à redescendre avec le petit. Des mains saisirent Jarvis et des cris de joies se firent entendre. Bravo, viva, petit tu es un as, bravo, hip hip hip hourra… Le capitaine mit fin brusquement à cette liesse.

    Les gars le vaisseau risque de coulé, on doit et vite fait vider la cale et cela le plus vite possible. On commence par les tonneaux de poudre, ceux de poissons, les malles de vêtements, les trois canons.Des voix s’élevèrent contre, car c’est la paie des marins ou leur prime qui s’envolerait avec tous ces tonneaux et autres.  » C’est ça, ou c’est la mort! Choisissez! » Alors d’une seule et même voix s’éleva le chant des marins. C’est avec une allure de chien battu qu’ils regagnèrent la côte la plus proche.

    Ce vaisseau resta très longtemps à quai, personne n’en voulait. Sa renommée avait parcourue plusieurs villes et villages. Des contes à dormir debout furent racontés dans les tavernes par de vieux marins, heureux de boire un coup gratis. Jarvis resta à son bord le plus longtemps possible, et c’est grâce à lui que le vaisseau repris vie; sous le nom de terreur des mers. Son nouveau capitaine ne croyait à rien et pas d’avantage à un vaisseau ayant une âme.
    Y-L


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  • Après la visite des femmes,
    visite que les hommes attendaient depuis si longtemps.
    Les hommes amenèrent avec eux le jeune et farouche
    Halfic, chef de guerre venu juste avec les anciens pour ne pas
    vexer ces hommes des temps anciens
    . Halfic était venu sur son
    destrier un superbe étalon des sables, un indomptable.
    Le jeune chef simagninai se morfondant sur les coussins
    des invités. Mais l'apparition des femmes, lui fit entrevoir
    une solution au conflit qui prenait de l'empleur.
    Les peuples étaient dans l'attente, ils souhaitaient la paix,
    aussi fortement que son jeune peuple.

    Mais parmi ces
    hommes forts, il y avait le plus redoutable guerrier qui soit
    venu au monde aux Terres des Vents. et pour l'heure sont
    ergard restait fermement braquer sur la plus belle des jeunes
    filles venues dansées.

    Alfic se montra fin stratège et rechercha
    la compagnie du père de la demoiselle, et avec une tactique
    digne d'un chef de guerre, il emmna le vieil homme à entrevoir
    d'un oeil interresser une futur alliance entre les deux peuples
    au sang chaud.
    Après la grande danse qui clotura la fin du
    spectacle, Alfic demanda la permission de faire sa cour à
    sa fille, le vieil homme pris Alfic par le bras, puis se levant
    et entrainant Alfic avec lui, Halmadur leva haut les deux bras.
    Tous les hommes présents, froncèrent les sourcils, signe évident
    de désacord.( à suivre) y-l

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  •  Comment faites-vous?
    Comment faites-vous, vos errances; ou vous mène t’elles, depuis combien de temps faîtes-vous cela?

    _Ooof, mes errances, m’emmènent ou elles le veules bien… un jour ici, un jour là.


    Demain ici-un lendemain là. Des jours, voir des mois, cela dépend… mais une chose est sûre…je ne peux y resté.

    C’est ainsi. J’ai essayé plusieurs fois et…je vous l’avoue, j’en ai eut à chaque fois la peur de ma vie. Dès que je reprenais mes esprits , alors, tout allait de nouveau bien.

    Sûr… Le lendemain , je me remettais en chasse; ma dernière ballade c’est déroulée dans un ancien cimetière, dans une ville assez grande- mais le cimetière par lui -même est très difficile à découvrir.

    Quand on sait que des gens aiment s’y promenaient, s’y ressourcer comme ils disent…car l’endroit est pu peuplé et très calme. Quand j’y travaille encore, l’endroit il est vrai apporte un semblant de plénitude,d’oeuvres accomplit, de travail bien fait bien ordonner.

     


    Dans cet endroit-là, les hommes et les femmes y sont à part égales. Ce qui est drôle, c’est que personne, ne se doute de l’horreur le plus vil se soit déroulé  en cet-endroit.

    Un jour, un courageux voudra savoir, voudra reconnaître que le mal à pour un temps sévit dans ce petit cimetière. Un endroit béni, bordés d’arbres, d’herbes douces, un endroit bien calme ou les oiseaux aiment chantés certain jours.Dans cet endroit, un homme célèbre ou deux mêmes y dorment de leur long sommeil, ils ont de la compagnies et ce depuis bien longtemps.

     

     

    Le feu Follet…

    Vous voulez savoir?
    Vous voulez connaître l’esprit du feu follet?
    Ce qu’il m’a fait découvrir?
    Y a T-il parmi vous un être fort?
    Y-L

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  •  

    Petite fée vient tout juste de s’éveiller, alanguie, engourdie, rêvant encore à moitié, elle laisse glissé le tapis de feuille argenté.
    -Ohhhhhh! Je viens de vivre un rêve éblouissant de beauté. Hum!! Qui donc à chanté, qui vient de m’éveiller? On  ne voit pas grand chose sous cette couverture de nuages. Bon, je vais  voir cela de plus près…

    Lutin malin tapis là dans le coin de la maisonnette, riait à gorge déployé.
    -Oh! C’est toi! Tu sais qu’il n’est pas encore l’heure pour moi d’éclairé le ciel en cette fin de journée…il reste encore une bonne journée, je ne suis pas en retard, pourquoi donc m’as tu réveiller?

    Gros lutin de la forêt passa sa tête par le trou, il manqua se faire mal tant sa tête était grosse

    _ Fée hurla t-il, ouvre plus grand ta porte…

    La petite fée à peine éveiller se mit à rire de bon coeur, alors tous les lutins s’éveillèrent les uns après les autres et voyant le plus gros d’entre eux coincé  ainsi; hurlèrent à leur tour de rire.

    Père de noel entendant ce vacarme se précipita vers la maisonnette. -Voyons,voyons, que se passe t-il donc ici? Qui a donc pris la décision d’éveiller l’étoile de noel?

    Lutin malin se cacha sous le lit de la petite fée encore toute engourdie. Père de noel la voyant ainsi craqua et son coeur s’ouvrit au bonheur de la futur nuit. -

    Oh! qu’importe après tout, venez, venez tous, allons pour cette année prendre un peu de liberté et laissons notre étoile allumé le ciel de sa douce clarté.

    Petite fée sourit et d’un simple mouvement se retrouva dans le firmament. Regardez ce soir, elle est là, c’est la première, elle brille pour vous, alors, n’oubliez pas de sourire car ce soir encore elle vous attendra.

    Laissez votre coeur s’ouvrir  à la beauté à l’amour et à la joie.
    Enfants de coeur, faites un voeux pour tous ceux que vous aimez.
    Avec tendresse la fée de noel.
    YL

    Petite fée. dans legende 234a9728

    petite fée de noel

     

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