" Oui dès l'instant que je vous vis,
Beauté féroce, vous me plûtes
De l'amour qu'en vos yeux je pris
Sur-le-champ vous vous aperçûtes
Ah! fallait-il que vous me plussiez
Qu'ingénument je vous le dise
Qu'avec orgueil vous vous tussiez
Fallait-il que je vous aimasse
Que vous me désespérassiez
Et qu'enfin je m'opiniâtrasse
Et que je vous idolâtrasse
Pour que vous m'assassinassiez.
Alphonse Allais.

( Quel ennui!)
Trompé la vie-trompé l'ennui
S'enfuir pour mieux refaire le temps
Se dire que rien dans la vie ne peut
rompre l'envi-rompre l'ennui.
Rire, rire de rien , de tout...de toi, de moi
de notre vision du monde qui nous entoure-
Nous ouvre à l'infini cet espace de vie.
Trompé la vie-Trompé l'ennui.
Se trompé soi-même, ne jamais dire je t'aime
Laisser l'autre,
se lasser
-puis d'un regard se voir tel que l'on est vraiment.
S'affirmer, se lancer, se révolter, puis lentement,
simplement se retrouver, se reposer.
trompé la vie-Trompé l'ennui
Se souvenir qu'à deux on est bien mieux.
Toi sans moi-Moi sans toi...
C'est simplement trompé la vie.
Y-L

O forte et douce comme le vin
Pareille au soleil des fenêtres
Tu me rends la caresse d'être
Tu me rends la soif et la faim
De vivre encore et de connaître
Notre histoire jusqu'à la fin.

Je suis venue de l'océan, pour vous parlez de mes enfants
Cent fois ils vous ont demandés de l'aide,
Cent fois ils sont venus pleurer à vos pieds.
Ils vous nourrissent, ils vous offrent une place
dans leur habitat, ils nagent avec vous et ils vous
soignent.
Je suis venue de l'océan pour vous parlez de mes enfants.
Ils souffrent, ils étouffent, vous en voulez toujours plus,
Il n'y a pour eux plus beaucoup de place, la mer leur nourice
ce meurt petit à petit, et pour finir, eux aussi mourront.
Oh! il est vrai que vous avez vos propres parc à poissons
Comment les appelez-vous? Ah oui! (Aquacultures)
Savez-vous de quoi sont nourrit ces poissons là?
Une grande part de cette alimentation indigne finie dans
nos océans les polluants encore plus.
Je viens ici vous parlez de mes enfants, ils sont au bords
de l'extinction, Alors aujourd'hui...
Je suis venue vous parlez de vos enfants...
y-l

De mes cahiers noircis...
De mes pages gribouillées,
De mes idées jetés à même
sans y penser...
Qu'en reste t-il?
Petits tas mis au rebut,
Souvenirs désenchantés...
C'est le clavier qui aujourd'hui
me sert à gribouillé ces mots
Qui fourmillent et ne me laissent
pas en paix.
De mes cahiers noircis de mots
 jetés pèle -mêle, tranche de vie
partagée avec moi-même....
j'en retire un beau souvenir.
De mes cahiers noircis....
Y-L

Parce que je n'ose m'approcher de toi
tu te gausse , petit bouton de rose
à peine éclose.
Ton doux parfum m'enivre...
J'ai cherché et ce pendant longtemps
cette douce fragrance qui est tienne.

Petit bouton de rose, mon nez explose
tant de douceur tant de divine saveur...
Je n'ose y croire et pourtant tu t'exposes...
Toi le petit bouton de rose.
 Mes sens ravis, aujourd'hui conquis
ne veulent pour rien au monde
Perdre cet amour de la vie.
y-l

En chacun de nous existe un endroit
ou l'on aime s'y ressourcé.
Cet endroit si particulier reste caché,
car il se trouve à l'abri des regards ennemis.
Propres, sans violences, sans bruits.
Les mélodies y sont douces harmonies .
Ceux que l'on aime ont  leur place
Cet endroit regorge d'animaux extraordinaires
mille et une fleurs toutes plus exquises,
plus parfumées,plus blanche, rose, bleue, violette, nacrée
emplie de rosée et brillante au soleil de l'été.
Cet endroit, reste en nous
équilibre presque parfait ou le rire chasse
la cruelle réalité.
y-l