• Elle marche tout en beauté, comme la nuit
    Des climats sans nuage et des cieux étoilés;
    Et le plus pur de la clarté e de l'ombre
    Se rassemble dans son aspect et dans ses yeux,
    Prenant le velouté de la tendre lumière
    Que refuse le ciel au jour éblouissant.

    Une nuance en plus, un seul rayon en moins,
    Gâteraient à demi la grâce incomparable
    Qui vient flotter dessus chaque tresse d'ébène,
    Ou sur ses traits se pose avec légèreté;
    Là, des pensées d'une douceur sereine expriment
    La pureté, la tendresse de leur demeure.


    Et parant cette joue, parant aussi ce front
    Si calme et si doux,pourtant si éloquents,
    Le sourire charmeur, les couleurs éclatantes,
    Ne parlent que de jours vécus dans la bonté,
    Esprit en paix avec toute chose ici-bas,
    Coeur dont l'amour traduit la profonde innocence!
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  • Qu'est ce que le temps? C'est aujourd'hui, hier et demain;
    C'est une chose qui vient, qui est, et qui fut,
    Le temps c'est comme les plumes et parfois comme les chaînes...
    nous  n'en avons point quand nous en avons le plus besoin.

    Pour les enfants c'est un tas touchant presqu'au soleil,
    mais l'âge lésine sur chaque heure;
    aucun homme ne peut l'achever, retirer et ployer,
    nul ne peut le rouler ou tromper.

    Il trottine doucement  en égrenant chaque seconde,
    qui ensuite font les minutes et celles-ci les heures,
    les heures s'accroissent en jours, les semaines font des mois
    et un beau jour tu te trouve comblé d'année.

    Le temps c'est une rivière qui ne peut s'arrêter, ni se reposer...
    il va tout droit au but_ et à la fin c'est le trépas.
    Ébahi tu demandes:" Comment cela s'est-il passé?
    ce n'est qu'hier pourtant que tout commença."
    René Kartheiser.
    poète Luxembourgeois né en 1926.
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  • Murmures:
    Je passe souvent devant vous, j’aime vous écouté,
    essayant de comprendre le sens de vos bruissements.
    Je reste là.

    Je repars sans avoir reçu plus d’information sur vous.
    Mais, je le sais, le bruissement à un sens
    que vous seuls pouvez comprendre,
    alors, je resterai là à vous écouté, et enfin,
    je me sentirai en paix.

    Je passe souvent devant vous, j’aime vous écouté.
    La pluie qui tombe de vos feuilles
    sans que jamais je ne soit mouillée…
    me procure une réelle sérénité.

    Peut-être est-ce pour cela que vous êtes là!
    Pour que ceux qui savent encore écoutés,
    vous entendent et perçoivent en vous
    le souffle du vivant.

    La danse de la pluie se fait entendre
    au moindre souffle du vent.
    Belle symphonie, en harmonie
    avec la terre qui nous entoure;


    écoutons les bruissements de nos arbres.
    Ils nous apportent la vraie sérénité,
    et, c’est gratuit.
    y-l.
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  • Torquato Tasso
    Dit Tasse
    Poète Italien
    (1544-1595.)
    Les bois se taisent et les fleuves
    Et la mer sans vagues repose;
    Dans leurs grottes, les vents connaissent paix et trêve
    Et au sein de la sombre nuit,
    La blanche lune a répandu son grand silence;
    Et nous deux, nous tenons cachées
    Nos suavités amoureuses;
    Qu'Amour ne parle ni ne souffle,
    Muets soient nos baisers et muets nos soupirs.
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  • Laisse ma main lentement caressé ta peau de velours.

    Laisse mon souffle descendre le long de ton flan,
     Laisse cette douceur faire battre ton coeur.

    Laisse ma bouche se créé sont propre chemin.
    Descendre lentement et caressé  de ma langue
    se sillon parfait.

    Laisse mes mots te susurré ce que je veux te
    faire subir.

    Laisse enfin jaillir de ce corps que j'aime
    l'essence même de la vie.
    y.l

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  • Nos pensées abondent,
    Parfois elles sont furibondes
    Elles font parties du monde
    Ondes irréelles, intemporelles

    Elles comblent ce que l'on oublie
    Elles reviennent et de nouveau
    comblent nos coeurs engourdis.
    Booguie.
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  • Je laisse la trame de mon âme jouer avec les mots sans âmes.
    Point de regret pour les damnés.
    Que de peur en ces longs jours,
    ils ont donné à ceux qui bien que brisés,
    n'ont pas jetés leur âmes, goûtant sans relâche cette douceur
    des mots qui en me charmant, apaisent mon âme.

    Loin dans mon passé, le chant puissant des mots
    ont éclairé le lourds et long chemin des damnés.
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