• Larmes.
    Elles tombes lentement,
    Coulant le long de nos joues.
    Larmes salées, tièdes, elles sont
    le reflets de nos coeurs.
    En joie ou en peines, elles
    inondent nos cols, trempent
    nos mouchoirs, nous font les
    yeux  et le nez rouge.
    elles semblent ne jamais vouloir
    s’arrêter, salées, tièdes, elles sont
    ce qui soulage nos coeurs et nos
    peines. Elles tombent lentement,
    et pour un temps nous nous retrouvons
    apaîser.

    Y-LLarmes. dans poeme 6e3c872d-251x300

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  • ( 1745-1797.)
    Chanteuse Sud-Africaine.
    Je suis venue au monde avec trois choses,
    Et je les garderai jusqu’à ma mort:
    L’espoir, La détermination
    et la Chanson.

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  • Aucune autre, mon amour, ne dormira avec mes rêves.
    Tu iras, nous irons ensemble sur les eaux du temps.
    Aucune ne voyagera dans l’ombre avec moi, seulement toi,
    Pablo Neruda ( 1904-1973.) dans citation fee-lune-t toujours vivante, toujours Soleil, Toujours Lune.

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  • Les amoureux fervents et les savants austères
    Aiment également, dans leur mûre saison,
    Les chats puissants et doux, orgueil de la maison,
    Qui comme eux sont frileux et comme eux sédentaires.
    Amis de la science et de la volupté,
    Ils cherchent le silence et l’horreur des ténèbres;
    L’Erèbe les eût pris pour ses coursiers funèbres,
    S’ils pouvaient au servage incliner leur fierté.
    Ils prennent en songeant les nobles attitudes
    De grands sphinx allongés au fond des solitudes,
    Qui semblent s’endormir dans un rêve sans fin;
    Leurs reins féconds sont pleins d’étincelles magiques,
    Et des parcelles d’or, ainsi qu’un sable fin,
    Etoilent vaguement leurs prunelles mystiques.
    Baudelaire.

    Les chats. dans poeme img_1385-300x225

    Orion

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  • Paresseusement allongé sur le canapé,
    Il semble dormir à point fermés,
    Quel est le songe, qui d’un brusque
    mouvement le fait ainsi sursauter?
    Quel animal fabuleux.
    Il offre aux yeux
    les bruns et or de sa fourrure soyeuse.
    Ses pattes d’or se laissent découvrir
    Quand d’un brusque mouvement, les
    griffes sortent, après qui se montrent-elles
    si agrésives?
    Un petit lion en miniature, voila ce que tu es.
    Il ouvre un court instant ses paupières cherchant
    l’intrus qui l’exaspère.
    Ses yeux de vert ,d’or et
    de noir;
    Etrange mélange, il dérange quand
    de trop près l’on veut si noyer.
    Son regard me fuit, il me semble que l’intrus
    c’est moi, d’un mouvement de queue, il me
    fait savoir que son sommeil est précieux.
    chat, quand tu dors, le rêve te poursuit encor.
    Et moi je cherche en toi le mystère qui y vit.
    Y.LMon Chat. dans chats. IMG_0966-300x225

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  •  A peine éveillée je te cherche, noyée dans mon sommeil,
    je t’ai oublié, dans la nuit, dans la veille; mon coeur s’est
    trouvé séparer de ta lumière.
    J’ouvre les yeux et mon regard te cherche déjà.
    Tu es là, calme, serein.
    Mon coeur oubli alors les cauchemars, la nuit noire.
    Tous va bien mon amour, car tu es là près de moi.
    Je m’enroule contre toi, contre ton corps si chaud.
    Je perçois les battements de ton coeur, tu ouvres les
    yeux et un petit sourire éclaire ton visage.
    Tu soupire, je ris, je suis bien.
    Y.LA Peine éveillée. dans poeme a2773fbe

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  •   A l’ombre de ton coeur, à l’ombre de ta vie,
    Je pleure ma misère, j’étouffe sans bruit.
    Le monde éphémère trompe mon ennui.
    Le bruit des sirènes, la grisaille de la nuit
    cache mes soucis.
    J’expire, je respire, sans aucune envie.
    Je me tourne et me re tourne, mais ne fais
    aucun bruit.
    La peine, le vide, sont les pages de ma vie,
    car à l’ombre de ton coeur, je pleure sans
    bruit.
    Y. LA l'ombre de ton coeur. dans poeme 3a7f0e0c1-300x206

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