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Par osebo-moaka le 9 Août 2013 à 13:57
Larmes.
Elles tombes lentement,
Coulant le long de nos joues.
Larmes salées, tièdes, elles sont
le reflets de nos coeurs.
En joie ou en peines, elles
inondent nos cols, trempent
nos mouchoirs, nous font les
yeux et le nez rouge.
elles semblent ne jamais vouloir
s’arrêter, salées, tièdes, elles sont
ce qui soulage nos coeurs et nos
peines. Elles tombent lentement,
et pour un temps nous nous retrouvons
apaîser.
Y-L
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Par osebo-moaka le 9 Août 2013 à 14:13
( 1745-1797.)
Chanteuse Sud-Africaine.
Je suis venue au monde avec trois choses,
Et je les garderai jusqu’à ma mort:
L’espoir, La détermination et la Chanson.
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Par osebo-moaka le 9 Août 2013 à 14:39
Aucune autre, mon amour, ne dormira avec mes rêves.
Tu iras, nous irons ensemble sur les eaux du temps.
Aucune ne voyagera dans l’ombre avec moi, seulement toi,
toujours vivante, toujours Soleil, Toujours Lune.
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Par osebo-moaka le 9 Août 2013 à 14:42
Les amoureux fervents et les savants austères
Aiment également, dans leur mûre saison,
Les chats puissants et doux, orgueil de la maison,
Qui comme eux sont frileux et comme eux sédentaires.
Amis de la science et de la volupté,
Ils cherchent le silence et l’horreur des ténèbres;
L’Erèbe les eût pris pour ses coursiers funèbres,
S’ils pouvaient au servage incliner leur fierté.
Ils prennent en songeant les nobles attitudes
De grands sphinx allongés au fond des solitudes,
Qui semblent s’endormir dans un rêve sans fin;
Leurs reins féconds sont pleins d’étincelles magiques,
Et des parcelles d’or, ainsi qu’un sable fin,
Etoilent vaguement leurs prunelles mystiques.
Baudelaire.
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Par osebo-moaka le 9 Août 2013 à 17:04
Paresseusement allongé sur le canapé,
Il semble dormir à point fermés,
Quel est le songe, qui d’un brusque
mouvement le fait ainsi sursauter?
Quel animal fabuleux.
Il offre aux yeux
les bruns et or de sa fourrure soyeuse.
Ses pattes d’or se laissent découvrir
Quand d’un brusque mouvement, les
griffes sortent, après qui se montrent-elles
si agrésives?
Un petit lion en miniature, voila ce que tu es.
Il ouvre un court instant ses paupières cherchant
l’intrus qui l’exaspère.
Ses yeux de vert ,d’or et
de noir;
Etrange mélange, il dérange quand
de trop près l’on veut si noyer.
Son regard me fuit, il me semble que l’intrus
c’est moi, d’un mouvement de queue, il me
fait savoir que son sommeil est précieux.
chat, quand tu dors, le rêve te poursuit encor.
Et moi je cherche en toi le mystère qui y vit.
Y.L
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Par osebo-moaka le 9 Août 2013 à 18:32
A peine éveillée je te cherche, noyée dans mon sommeil,
je t’ai oublié, dans la nuit, dans la veille; mon coeur s’est
trouvé séparer de ta lumière.
J’ouvre les yeux et mon regard te cherche déjà.
Tu es là, calme, serein.
Mon coeur oubli alors les cauchemars, la nuit noire.
Tous va bien mon amour, car tu es là près de moi.
Je m’enroule contre toi, contre ton corps si chaud.
Je perçois les battements de ton coeur, tu ouvres les
yeux et un petit sourire éclaire ton visage.
Tu soupire, je ris, je suis bien.
Y.L
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Par osebo-moaka le 9 Août 2013 à 18:33
A l’ombre de ton coeur, à l’ombre de ta vie,
Je pleure ma misère, j’étouffe sans bruit.
Le monde éphémère trompe mon ennui.
Le bruit des sirènes, la grisaille de la nuit
cache mes soucis.
J’expire, je respire, sans aucune envie.
Je me tourne et me re tourne, mais ne fais
aucun bruit.
La peine, le vide, sont les pages de ma vie,
car à l’ombre de ton coeur, je pleure sans
bruit.
Y. L
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