Pouvoir d’un seul regard te donner le livre de ma mémoire.
Rêvé que le fond de mon âme reflète la beauté de l’histoire.
Parvenir à vivre la lente traversée d’un havre de paix.
Recueillir au fond du vase l’eau de vie de l’arbre sans âge.
Pouvoir d’un seul regard te livrer le sens du mot secret.
Rêvé que l’humanité se dévoile enfin libéré.
Parvenir aux rêves sacrés de l’enfance illuminé.
Recueillir les larmes de ton désespoir et les utilisés
pour en faire un collier d’étoiles brillantes à l’abri de ton
coeur.
Pouvoir enfin te tendre la main et te dire que demain sera
pour toi pour moi un monde ou l’amour vaincra l’horreur.
Pouvoir d’un seul regard te donner les clés du songe enchanté.
YL
-
Par osebo-moaka le 24 Octobre 2013 à 11:15
Le coeur du Mirliton battait aussi fort
que le bruit d’un canon.
Un capitaine des temps modernes.
Un gai luron fameux compagnon.
Dur avec la vie,elle le lui rendait
aussi.
En mouvement constant ne cherchant
pas les doux commentaires, sa ferveur
était réelle et discrète son amitié.
Ses recherches le menèrent vers des
amitiés jamais futiles.
Il aimait le partage et, surtout , il aimait
nous faire enragés. Des recherches il nous
en fit faire, et, certains(es) trouvèrent les
ruses de coyotte qu’il prenait pour des défis
personnels. Les méninges plus d’une fois
fumèrent, et ce bon compère riait sous cape
de nos pauvres définitions.
Le coeur du Mirliton s’est éteins
Nous reste les souvenirs , les mots et bourrades
laissés sur la toile du net et d’un blog.
Aller le Couk, avec tes pâtes au torchon tu
nous permets encore de faire des économies
de temps, tu vois on bavardera encore grâce
à cela. Chapeau coeur vaillant, moi je t’aimais
bien.Rions, car notre Mirliton à tout fait pour ça.
Pied de nez aller verry body….
YL
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Par osebo-moaka le 24 Octobre 2013 à 11:18
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Par osebo-moaka le 24 Octobre 2013 à 11:19
Comme l’aile d’un ange,
j’écris à l’encre blanche,
sur une feuille blanche.
Aile diaphane, fidèle à
sa trame, juste en filigrane
prose que j’ose et qui s’oppose
à moi-même, tant je doute du
bien fondé de l’écriture blanche…
Sortit du messager, l’écrit se
glisse sur le papier ne ménageant
les doigts et le poignet; l’aile blanche
d’un ange s’offre à la douce lueur nacrée,
juste une plume suffit pour l’écrit.
Encre blanche sur page blanche, rien ne
s’oppose à la prose.
Y.L
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Par osebo-moaka le 24 Octobre 2013 à 11:32
Pourquoi courber la tête?
ô femme! pourquoi courber la tête
Sous les sottes railleries du monde?
Sur cette terre, aucune créature
N’est aussi belle dans sa nature.
Chaque fois que l’homme s’est essayé
A faire un dieu de la beauté,
C’est de votre corps qu’il l’a vêtu.
Votre corps, chef-d’oeuvre de l’Eden.
Quand l’Eternel voulut, un jour,
Traduire en chair sa Beauté,
Il ne vous fit pas de boue comme Adam;
Après s’être lavé les mains,
Il vous modela toute belle, en disant:
» C’est d’elle que nous ferons » Notre mère. »
Louis Henrio.
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Par osebo-moaka le 28 Octobre 2013 à 16:18
J’ai appris à posé mon regard ailleurs.
J’ai appris à n’être pas trop présente
afin de ne pas importuner les autres.
J’ai appris que bien souvent on ne peut
se comprendre, car nous ne faisons
aucun effort.
J’ai appris que les êtres qui s’enflamme
le font souvent pour se protéger, ne sachant
comment répondre face à la violence.
J’ai appris qu’il fallait mieux être seule
et dans l’ombre pour ne pas être blesser.
Mais, je n’ai toujours pas appris à me méfier.
Y-L
3 commentaires -
Par osebo-moaka le 28 Octobre 2013 à 16:57
Mon Ange.
A peine ai-je écrit une lettre
que je me relève pour t'en écrire
une autre.
C'est ma seule vie réelle,
le reste est un rêve incompréhensible.
Il y a des moments, des nuits surtout, je crois
être avec toi et nos chances me gonflent l'âme et le corps.
Hier, j'ai osé " regarder" cet être que tu aimes et que
je crois indigne de ta beauté radieuse,
éclairée par le soleil et par la lune.
J'ai osé et j'ai vu que cet être était presque
digne de toi et de ton culte
et que le miracle de ton coeur
et de ton corps l'embellissait
et faisait une sorte de prestige.
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Par osebo-moaka le 28 Octobre 2013 à 16:59
Je t’aime beaucoup mon grand coeur;
et tout à l’heure, avant de laisser s’envoler
dans la rivière les morceaux de ta lettre,
lue et relue sur le pont pour y découvrir
de chers riens, voila que que je l’ai portée
à mes lèvres, y mettant un baiser comme
un jeune amoureux; il n’y a que toi pour
faire cela d’un vieux Monsieur qui s’était
retiré à la campagne pour y décidément vieillir.
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