J’écris, mais j’écris tellement de chose, que parfois je m’oublie. La beauté des mots, nous offre tant de joie, tant de force aussi; mais,cruels ils le sont parfois ( oui je me répète, je le fais si souvent,hein!) Il y a en chacun de nous une part de nostalgie, de délire, de peine, de cruauté, de bonté; il suffit de chercher, pas trop loin pour certaines choses, si vous voyez ce que je veux dire… Ce que j’ai du mal à pardonner, c’est la forfanterie, cette facilité qu’on certain à s’approprier une nouvelle, à la faire sienne et à divagué dessus  en nommant un  tel, ou telle chose, en invoquant telle autre, bref en jouant avec ce que l’autre est en train de vivre. Focalisé en fait les autres sur sa propre personne, je déteste cela. Et vous?
y-l