Un bien étrange animal se cache parmi les rochers des côtes de la mer. Il s’agit de la bonellie ( Bonellia Viridis) dont le corps est vert foncé. La femelle de cette espèce mesure plus d’un mètre de long; son corps, gros comme une noix, se prolonge par une longue  trompe terminée par une expansion à palettes. C’est avec cet organe que la bonellie attire vers sa bouche les organismes marins dont elle se nourrit.
Et un tout petit mari!
L’individu jeune est à peine visible à l’oeil nu. il nage librement dans l’eau grâce à ses cils. A un moment donné, il s’immobilise sur le fond et devient alors une femelle telle qu’on vient de la décrire. Si en revanche, le jeune rencontre, avant de s’accrocher sur le sol, une femelle, il se fixe sur la trompe puis dans l’intestin de celle-ci, et, au-lieu de grandir, il se transforme en un mâle minuscule ( quelques millimètres)! Le mâle et la femelle sont tellement dissemblables que personne ne soupçonnerait qu’il s’agit de deux individus d’une même espèce. Pour comparaison: imaginez… un éléphant et une souris… La bonellie appartient à un petit groupe d’animaux apparentés aux annélides, celui des échiures.

Les  » Animaux-Mousse ».
Lorsqu’on se promène sur une plage de Méditerranée, on rencontre souvent, juste au bord de l’eau, des sortes de longues feuilles que les vagues ont abandonnées en tas. On  les appelle couramment des  » algues ». En réalité: il s’agit d’une herbe marine, la Posidonie. Si on les examines de près, on observe sur leur surface des taches blanches, qui ressemblent à des incrustations calcaires. A la loupe, ces formations révèlent une structure  » en réseau » évoquant de la fine dentelle. Il s’agit des carapaces de toute une colonie d’animaux. Chaque maille du filet est ce qui reste d’une petite cellule , de 1 mm de long, dans laquelle se trouvait un animal minuscule. On peut voir des colonies semblables sur les coquilles ou sur les rochers des récifs, comme dans le cas de la Rétépore . Ces diverses colonies, plus ou moins développées, forment une sorte de mousse: d’ou le nom de ces animaux, les bryozoaires ( qui signifie justement, en grec, animaux-mousse). Quand il est vivant, chaque individu de la colonie est constitué d’une partie dure, qui lui sert de loge d’habitation ( toutes les loges des différents individus, soudées entre elles, constituent le squelette de la colonie), et d’une partie molle. Cette dernière le zoïde, possède une couronne de tentacules qui attirent les micro-organismes dont l’animal se nourrit. Au moindre danger, les tentacules rentrent à l’intérieur de la loge d’habitation.

De nombreuses personnes pensent que le nom de cet alliage vient de  » aluminium dur », mais pas du tout. Ce nom provient de la ville allemande de Düren ou, en 1906, le chimiste Alfred Wilm découvrit cet alliage presque par hasard, à partir de l’aluminium. Wilm voulait étudier les effets de la trempe, c’est-à-dire une technique particulière de traitement déjà utilisée dans la production de l’acier qui consiste à chauffer fortement, puis à refroidir rapidement dans de l’eau un alliage d’aluminium contenant 3,5 % de cuivre et 0,5 % de magnésium, mais l’alliage ne durcit pas comme il l’espérait. Wilm recommença donc l’expérience quelques jours plus tard: il découvrit alors à sa grande surprise que l’alliage était devenu plus dur et plus résistant. Il comprit que l’alliage s’étant « reposé » pendant ces quelques jours après l’expérience, il avait alors subi quelques modifications dans sa structure moléculaire et que ses propriétés nouvelles venaient des modifications observées. Aujourd’hui on obtient le Duralumin en ajoutant à l’aluminium de petites quantités de cuivre, de magnésium et de manganèse; cet alliage fréquemment utilisé a les mêmes propriétés physiques que l’acier dont on se sert dans les constructions, mais il est beaucoup moins dense.

  Rhynchocéphales.
Un  » Dragon » miniature-il mesure 60 cm, s’avance: le long de sa nuque, de son dos et de sa queue court une crête épineuse; son dos et ses flancs sont recouverts de petites écailles granuleuses. Il porte, au sommet du cerveau, un troisième oeil très rudimentaire muni d’une lentille et d’une rétine atrophiées; il est capable de retenir sa respiration pendant au moins une heure. Apparu sur terre il y à environ 250 millions d’années,  ce fossile vivant…il vit encore aujourd’hui sur une île de la Nouvelle-Zélande. Est le Sphénodon.  

Préparer le Verger.
C’est le moment de détruire les vieilles souches, de bêcher le sol sous les arbres fruitiers, de stimuler les jeunes arbres par un engrais riche en azote et enlever les fruits momifiés qui peuvent encore s’y trouver suspendus. Terminer également la taille des arbres à pépins. Pour écheniller économiquement les arbres fruitiers, il suffit d’accrocher aux branches de petits morceaux d’étoffe de laine. Au bout de quelques jours, ceux-ci seront tout recroquevillés et remplis de petites chenilles venues y faire leur nid, à l’abri des intempéries.

guêpe XXL... garuda

Une guêpe quatre fois plus grosse qu’une guêpe ordinaire a été découverte l’été 2011 dans l’île de <<<<<<sulawesi.La « gurada » impressionne par  ses mensuration; elle affiche 6 cm de longueur et des mâchoires plus grandes que ses pattes!

Ou Eltingera elatior.
Origine: Inde et Malaisie.
Nous sommes deux à nous disputer la comparaison avec la porcelaine. Je suis la Rose de porcelaine, Eltingera elatior en Latin. Je suis une grande herbe d’environ 1 mètre, de la famille du gingembre ( la plante qui produit des racines parfumées). Je viens d’Inde et de Malaisie, mais je suis aussi très fréquente dans les îles du Pacifique. En Asie, on mange même mes fleurs lorsqu’elles sont en bouton. Ah, mes fleurs, justement parlons-en. C’est à elles que je dois mon surnom de rose de porcelaine

Eltingera elatior.

: les pétales sont épais et brillants, exactement comme du verre poli.