• La fin de mon rêve.

     

    Notre voyage de noce s’était passé d’une des plus agréable façon,
    d’un lieu à l’autre la beauté des endroits me comblait de plaisir.
    Un soir Eric me dit:
     » Chérie demain je t’emmène chez une vieille amie que tu aimeras de suite si tu ne fais pas attention à ses petites manies.
    - » Oh Eric, je serais ravie de rencontrer une de tes connaissances,
    tu as si peu de famille et encore moins d’amis.
    Ce sera vraiment un grand honneur ».
    ,
    Nous venions de tourner le chemin qui nous mènerais chez Violette,
    quand mon coeur fit un bond dans ma poitrine,
    une espèce de saut comme s’il voulait s’éloigner de moi,
    drôle
    aquarelleannecy1800.jpgd’impression.
    une belle maison digne d’une aquarelle
    . Puis nous fûmes inviter à entré et une jeune fille nous servi un rapide repas,
    nous signalant que violette était absente cette nuit,
    qu’il valait mieux dormir et éviter de se promener dans le jardin ou dans la forêt
    et que d’abords la porte sera fermée à clé,
    et que cette clé nikial l’emportait avec elle;
    ce qu’elle fit d’ailleurs, nous fûmes seul Eric et moi,
    pour encore une très douce et langoureuse nuit d’amour,
    ben,non, on ne sortit pas et même si le bruit nous gèna un peu,
    Eric me le fit très vite oublié.
    Comblé l’un comme l’autre le sommeil nous pris dans les bras l’un de l’autre
    enlacée ...
    nous étions enlacée, doux bonheur.
    Quand avec notre charmante hôtesse,
    nous prîmes place sur ses délicieux sofa couleur yellow comme elle aimait à le
    dire en souriant; nous étions alors certains d’avoir le droit de boire son incroyable sirop à base de cocoa.
    ( on lui en à demander la composition, mais à part le sucre l’eau et le citron,
    l’autre ingrédient magique ne nous fût pas communiquer, voyez le genre!)
    .Nous venions de nous lever, jeune marié, rien je vous l’avoue ( en rougissant tout de même) ne nous attendait,
    sauf notre charmante hôtesse violette.Ravie de nous savoir éveillés elle nous avait préparé un délicieux petit déjeuné à base de sirop de cocoa, (d’un bon jus celui -là de pomme, d’un thé et d’un bon café pour Erirc mon époux).
    Et d’une platée de pancakes; de loin la radio mise en sourdine me fit frissonné, une étrange musique passé sur les ondes. Violette me regardant avec fixité sembla sortir de sa transe et alla éteindre le poste avec vigueur.
    Lorsqu’elle se tourna vers moi, son regard était dur, froid, pourquoi? Eric ne sembla pas perturber  par le changement de personnalité de Violette; il me serra juste la main, geste rassurant. Je bus mon thé, pris un pancake un peu trop cuit,
    puis je goûté au fameux sirop, bon, je le déconseille, même si votre hôtesse est très compétente.Notre départ était fixé pour 15 heures,heures local, alors Violette nous invita à visité sa grande propriété. La journée était belle,
    mais un châle  sur mes épaules me rendis le sourire, Eric pensa à moi à ce moment là, j’en suis sûr maintenant. Avec joie il sortit comme un jeune homme ivre et il se dirigea vers le jardin qui lui se trouvait près d’une grande forêt.
    Un avion nous survola, signe que l’aéroport n’était pas bien loin, mais le sourire de violette me glaça les os.Sur une grande plaque juste repeinte d’une peinture ancienne, on pouvait lire ceci: sous cette plaque, repose les os de Sir Edouard III du nom, rejeté par les siens.
    Que Dieu lui prête vie.Amen.Eric devint blanc comme le torchon que tenait dans ses mains fines violette. Puis il sembla sourire, et…il tomba sans qu’ un souffle ne sorte de sa bouche.
    -Violette éclata de rire, un rire atroce, mauvais mais plein de joie mélangée.
    Aujourd’hui je suis libre, le dernier des Edouard est mort.
    -Edouard quel EDOUARD, MON EPOUX SE NOMME ERIC DE VILLEFAIS.
    -Ma pauvre petite,il vous a fait croire cela!
    -Quoi! Que m’a t-il fait croire?, je ne comprends plus rien, que dois-je faire?
    -Oh mon enfant, vous aussi vous êtes libre, plus rien ne vous attache à votre fantôme. Désormais, vous êtes femme libre de vivre une vraie vie, alors profitez en
    .-Femme libre?
    femme de fantôme! quel fantôme, cette femme est folle à lier.
    Elle allait le lui dire:
    quand se retournant elle se rendit compte que plus rien n’existait en cet endroit! Plus de vieille maison avec son escalier de bois, plus de fleurs dans les petites balconnières,plus d’allées menant au vieux jardin, plus de puits avec sa margelle, au fond juste une immense forêt qui commença à lui faire peur. Un bruit la fit sursauter.
    Eric venait lui apporté un verre de sirop glacée.
    -Oh mon amour, tu t’es encore endormie , et le soleil est plutôt fort en cette saison.
    Violette de loin les surveiller et son sourire faisait peur, vraiment très peur.

     

    viens donc sous le vieux chêne y prendre le frais.
    Violette nous prépare un lapin aux pruneaux et au vin blanc…
    Blanche, Manuella se tenant au bras de son époux se dit que
    le cauchemar avait un reflet avec sa réalité.
    -Tu sais chérie il y a dans cette maison

    ,une pièce ou personne ne doit aller,
    tu comprends n’est ce pas?
    -Tu veux dire une pièce particulière genre souvenir à ne pas dérangés?
    -Oh Manuella je savais que tu comprendrais, viens,violette nous fait signe,
    le repas est prêt, nous partirons dès demain ma douce, c’est promis.
    .Mais jamais Manuella ne prit l’avion,
    elle trouva la pièce et que pensez vous de cela!
    ilya4ans2678408.jpg
    Y-L

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