• Le poids des ans…livre

     

    Première page
    Je suis à l’âge ou les envies, désirs, ne sont plus que de lointain souvenirs. J’ai vu beaucoup de chose dans ma vie et là à l’aube de mes jours, me revient une très troublante histoire. De mon propre aveux je ne conterai pas cette histoire, mais, une promesse et une promesse.

    Dans mon pays souffle l’été un vent brûlant qui nous empêche le jour durant de faire ce que nous devons faire. Alors nous avons appris à vivre la nuit, hommes et bêtes, nos maisons étaient de pailles et de boues séchées , quelques galets finissaient d’embellire certaines maisons.

    Nous avons un chef qui est aider de trois personnes. Le village a vu jusqu’à trois cent habitants , là c’était le plus vaste des villages et nous étions heureux. De l’avis de chacun la prospérité était avec nous, nous avions de beaux enfants et pas de malades.

    L’eau était propre, le puits était plein. Oui… c’est vrai on devait aller loin avec le troupeau pour le faire paître et nos légumes nous les faisions poussés dans les cavernes du nord. On se contentait de bien peu, mais, là encore, nous étions heureux, à la suite d’un changement de climat, tout se trouva… comment dire! Oui voila!


    ***************
    Nos habitudes de vie devaient encore changer, un vent froid, âpre venu des montagnes noires s’abattit  sur nous. Finis la chaleur, le froid mordant nos chairs, nous faisais grelotter.. Alors le chef Almeric et ses trois sages ( Elmar , Emlance et Alicart) nous réunir dans une des grottes ( la plus vaste en fait) et nous annonça que le vent d’été était finit.

    Et, que d’après l’un des sages ( Elmart je crois) nous allions devoir pour survivre changer de plateau et de lieu. Bien des questions se posèrent alors, mais le froid devenant plus fort des vieillards et des enfants moururent avant leur temps.

    Les petits avaient beaucoup de fièvre et le bétail s’étiolait, il nous fallait agir vite si nous voulions survivre.Emlance le deuxième sage choisit pour tous la direction et ce serait l’Ouest, mais, l’Ouest était déjà occupé par les Kamperies peuple nomade ayant de très grand troupeaux.

    Et surtout ils étaient très orgueilleux et habile  à la guerre.Notre chef Alméric envoya une petite troupe d’hommes, afin de discuter du prix avec le chef des Kamperies Belmarck3 ème du nom.

     

    ***************
    Un teigneux de la pire espèce, mais, un chef apprécier de son peuple, vigoureux à l’âge de huit ans il débusqua un karssig des montagnes. Animal redoutable, pesant 200 kilos et mesurant de la tête à la queue deux mètres et plus.

     

    Il tua l’animal, sans recevoir un seul coups de griffes. Quand il rentra au campement du soir, le roi Delbiq le fit asseoir à sa propre table dans sa tente.
    Deuxième pages
    . C’était là un grand honneur pour un enfant et pour sa famille. Depuis ce jour, il resta auprès du roi, grandissant en sagesse guerrière. Homme d’un mètre cinquante, (il était grand) car la moyenne est d’un mètre trente cinq pour les hommes et les femmes ( plus tard la taille changea, les hommes devinrent plus grands).

     

    Le roi était près de la tombe, n’ayant qu’une fille, il décida de la marié à Belmarck. Evahna dut épousé un homme qu’elle n’aimait pas, car bien que fort habile guerrier  Belmarck était laid.

    Son visage long, mince comme ses lèvres, ses yeux gris secs et froid  il ne sourit jamais, la peau de son visage est sombre pour un descendant de nomades.

     

    Evahna pensait qu’il n’était pas de sa race, alors elle fit tout ce qui était en son pouvoir pour ne pas donner d’enfant à Belmarck. Ce qui fit que celui-ci devint encore plus hargneux, méchant.

    *********
    Il s’entoura d’enfant et en fit sa petite police. Voyant cela Evahna fit la même chose, mais avec des filles de douze à quatorze ans.

    Trois de ces jeunes filles s’attachèrent à la jeune est belle reine. Mais toutes les filles recevaient la même éducation. Belmarck de son côté voyant qu’Evahna avait trois suivante parmi sa garde, choisit trois jeune est talentueux garçons de quinze ans.

     

    Ils étaient les plus beaux jeunes gens de toute la tribu et leur parent était fier de voir que leur fils arrivait à la première place auprès de ce grand roi. Belmarck ne fit pas de distinction jusqu’à ce jour ou les trois parvinrent à vaincre à eux seul tous les exercices et tous les pièges du roi.

    Plusieurs jeunes gens furent blessés, mais, pas ces trois là. Aucune marque, leurs vêtements n’étaient pas déchirés, leur étalon était fringuant , pas de trace d’écume sanglante sur leur mors… Pareil qu’au matin alors que la journée fut des plus atroce pour des garçons de leur âge.


    *******

     

    Les voyant arrivés, le roi se porta au devant d’eux, la tribu rassemblée les regardait avec une certaine appréhension et quelque part de la peur. Mais, le roi, heureux se plaça devant les jeunes et leur dit
    : » Aujourd’hui vous vous êtes élevés au statut de prince du désert, et pour récompenser votre valeur, vous serez mes trois fidèles servants; et vous aurez la charge de votre groupe ».

     


    Les trois garçons sautèrent de leur cheval et mirent pied à terre. S’agenouillant devant leur roi, ils lui jurèrent fidélité en tous et ce jusqu’à la fin de leur vie. Les mères tremblèrent et les pères serrèrent le poing et regardèrent leur roi avec de la haine dans leurs yeux.

     

    Belmarck ordonna un festin  qui dura trois jours en l’honneur de ses trois fils.
    *********

    Troisième pages.
    La  vie continua ainsi, puis un soir très tard, le roi appela ses trois fils. Le garde les emmena devant la tente du roi et celui -ci vint soulever le rabat et les fit entrer.

    Il chassa le garde en lui disant qu’il l’appellerait plus tard, mais que pour le moment il pouvait allé s’allonger dans la paille et dormir. Le garde s’empressa de le faire car le roi changeait souvent d’avis depuis quelques jours. Se tournant vers les trois il les invita à venir s’asseoir sur les coussins royaux.

     

    Etonné les trois regardèrent le roi et c’est le plus grand des trois Mika qui prit la parole.- »  Mon roi, c’est un honneur que tu nous fais là, mais nous ne pouvons être assis à la même hauteur que notre roi; accorde nous la permission de nous asseoir à tes pieds…

     

    Le roi partit d’un grand rire

    -Ah mes enfants comme vous êtes intelligents, je vous accorde cela,oui! Venez, prenez place. Ce que firent les trois garçons.- »Dis moi Mika es tu le porte parole de tes frères?

     

    **********
    -

    Non mon roi, mais la bienséance parmi nous à fait que parlant plus facilement, je sois celui qui s’adresse à toi, mais, Alkir et Marlin sont capables de s’exprimer en toutes choses que leur commanderai leur roi…


    - Sage parole mon fils! Voila j’ai une mission à vous confier, j’ai encore perdu devant la reine et cela ne me convient pas…( les trois ne bronchèrent pas, mais les paroles du roi, étaient pour eux verdict de mort dans les années à venir, ils le savaient maintenant.)



    - Donc je veux que vous vous approchiez de ses trois suivantes, que vous les courtisiez;et, qu’elles deviennent vos maîtresses… c’est possible pour vous d’accomplir pour votre roi cette tâche?



    - Oui mon roi répondit Alkir, de cela nous pouvons nous en acquitté… de combien de temps disposons nous?

    - Ah, Alkin, eh bien… nous partirons bientôt pour les terres de l’est. Donc ce serait bien que d’ici-là, vous soyez au moins amies! Voir plus si possible!-
    *********


    Bien mon roi, dès demain, nous nous consacrerons à cette tâche avec prudence.

    -Oui! Oui, voila en vous je reconnais bien là mes fils, de la prudence. Soyez sur vos gardes afin que la reine ne découvre pas ce que vous voulez obtenir de ses suivantes.

     

    J’ai besoin de connaître les habitudes de ma reine. Là le roi  éclata d’un rire crispant pour les nerfs à vif des trois garçons qui soutenaient le regard enfiévré de leur roi. Elle me déteste et me fuit; mais, j’arriverais à mes fins.

     

    Oui! J’y parviendrai grâce à vous trois. Bien, il est temps pour vous de regagnez vos tentes. Les trois se levèrent, saluèrent leur roi et sortirent de la tente le visage aussi fermé qu’en jour de deuil.

     


    Ils ne parlèrent pas, ils se quittèrent sans un mots devant leur tente. Le roi les avait observé de la tente du garde et il fut satisfait de les voir si épris de  leur foi en leur roi.

    ***********


    Quatrième pages.

    Content de lui et heureux de savoir qu’un jour ces têtes là seraient à ses pieds, il partit se coucher avec ce sourire affreux au bord de ses lèvres.

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