• Andramiel

     Chapitre premier
    Me voila ,de nouveau à la recherche d’un enfant ou d’un esprit qui emplira l’âme et le corps d’un enfant afin de sauver le peuple  d’Ankadial. Quelle manie ont-ils tous, ils vivent en pays heureux de ce qu’ils ont; jusqu’au jour ou ils changent de chef. Parce que le vieux est mort et pour peu qu’il n’ai pas de descendance c’est pire! Quoi que là! pour un descendant il faut le dire vite, c’est une marmouille de six printemps avec un énorme et méchant caractère ( d’après ceux qui lui serve de serviteurs). Il paraît que tout est bon pour la petite, tant qu’elle l’affirme: tu te brûles c’est bon, tu te coupes c’est bon… tu pleures c’est bon et ainsi de suite. Comme elle aime toutes les armes, je ne vous explique pas le carnage. Ses amis d’arme en ont tout simplement peur; elle possède une dextérité des armes incroyable… Le vieux maître d’arme la voyant faire a voulu lui donner  les bases, après trois leçons; il a déclaré forfait. Il s’est platement excuser auprès du roi et dans le même temps a demandé à partir pour rejoindre ses fils en Baskiliève ( Terre basse). Etonné le roi lui en a demandé la raison… alors bien que  mal à l’aise ce bon Brekwic dit à son roi:

    -Ma Majesté, je vous sers depuis que vous êtes en âge de tenir un couteau. Je pense que mon enseignement à votre égards et à ces preux chevaliers venus vous épaulés, que je n’ai pas faillit à ma tâche?
    Le roi le regardant fixement de ses yeux fatigués lui dit:
    - Je te considère comme un ami à la main ferme qui a un jugement fiable et je n’ai jamais eu de regret d’avoir suivi ton enseignement. Entre nous la parole donnée avait une valeur,non?
    -Oh Oui!. Mon bon sire, oui!
    - Alors dis moi donc ce qui te mets dans cet états?
    - Majesté avez-vous déjà vu votre fille bretté?

    - Ma fille! Les armes à la main? Une épée qui plus est! Non mon brave, non…
    -Si sa majesté pouvait me suivre à la salle d’arme,sa majesté comprendra bien mieux que les mots les mieux expliqués.
    - Tu m’intrigues, oui tu m’intrigues Brekwic; allons donc voir ce qui peut à ce point mettre mon maître d’arme aussi mal à l’aise!
    Et c’est sous les rires et les sourires pincés des jeunes princes que la cour se rendit à la salle de garde; salle qui mène à la salle  des armes. Il devait y avoir combat d’hommes fort à l’intérieur tellement le fracas était fort.
    Chapitre deux
    Le roi dit en parlant très fort:
    -C’est au moins un titan qui se bat dans cette salle, il faut l’employé, l’obligé à devenir chevalier de notre royaume…un bretteur comme lui, pourrait mené nos hommes à la victoire!
    Brekwic poussa un énorme soupir et des larmes tombèrent de ses joues. Le roi le regarda étonné et il vit aussi ses suivant dans le même états.
    - » Eh bien dit-il d’un ton froid, que se passe t-il donc pour que vos visages soit si long devant ma Majesté?
    -Oh sire! Vous le savez, toutes paroles proférer de part votre Majesté devant la salle de combat doit devenir une réalité!
    - Oui, tel est mon plus cher désir et jamais je n’ai été déçu de cette façon de pensée. Allons mes amis, rendons visite à ce preux et faisons le chevalier… Et le roi poussa la porte à double battant. Il s’arrêta net , au milieu du cercle de vie, il y avait une petite silhouette et de chaque côtés des bretteurs plus grands qui assénaient des coups  avec violence contre le jeune du coeur. Tous restèrent médusés, car après quelques tours, quelques feintes, quelques cabrioles, celui du milieu se retrouva avec un seul des bretteurs.Et il n’avait pas l’air enchanté de se battre seul. un rire cristallin sortit de la bouche du jeune du milieu et le coeur du roi en fut torturé au plus profond de lui, une cassure venait de se faire. Sa vie s’en allait par cette cassure. Chancelant, Brekwic le retint pendant que le jeune bretteur qui n’avait rien vu, ni entendu, se jetait à l’assaut de son adversaire, l’acculant, le forçant dans ses derniers retranchements. Le jeune chevalier ne pu que mettre un genou en terre pour demandait grâce. Le coup d’épée porté sur son épaule aurai pu lui arracher la tête. C’est gémissant qu’il se traîna hors du cercle. Alors la rage au coeur le jeune du coeur lui dit:
    -  » Tu n’as pas portés tes coups, tu as cherché à me protéger, je t’ai forcé plusieurs fois, je t’ai même blessé dans ton orgueil…mais tu n’as rien fait…ou est ta chevalerie, chevalier? L’as tu oublier dans les bras de ton aimée? Dit lui que quand nos ennemis seront là qu’elle te redonne ta force, sinon elle sera morte ainsi que tous ses amis. Sorts de ce lieux, tu n’y as pas  là ta place en ce jour Guillaume de Bray, sorts de là, de ma vue.
    Chapitre trois...
    Le petit chevalier tout à sa rage, ne vit pas qu'on l'observait. Tapant des pieds, faisant des moulinets avec sa merveilleuse épée, il tournoyait, virevoltait, semblait même se soulevait du sol.
    Un drôle d'effet qu'il faisait ce petit chevalier, puis sa colère partie comme par enchantement. Il enleva le casque qui lui protégeait la tête et là le roi fit comme un pas, puis il tomba évanoui.


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