La femme africaine n’est ni une copie de l’homme, ni une esclave.
Elle ne ressent pas le besoin d’imiter les hommes pour définir sa
personnalité. de son travail et de son comportement se dégagent
son propre génie, sa propre âme, ses amours, son langage.
Elle ne s’est pas laissée coloniser par les hommes ni par le prestige
du monde masculin.
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En mars 2010, l’Agence Française de Sécurité Sanitaire de l’environnement ( AFsset) a publié les résultats d’une étude très attendue sur les nanoparticules. Son objectif: évaluer les risques engendrés par quatre produits, déjà en vente, incluant ces composés: une chaussette antibactérienne, du ciment autonettoyant, du lait solaire et de la silice alimentaire. Ces produits ont été choisis pour leur degré d’exposition humaine ( cutané, inhalation, ingestion) et leur possible dispersion environnementale. Verdict du rapport: » le manque de données ne permet pas d’estimer le risque associé. Ce risque ne peut être exclu ». En conclusion, l’AFsset préconise, primo, de poursuivre les recherches sur les risques potentiels. C’est en cours… Deuxio, d’appliquer le principe de précaution et l’étiquetage systématique des produits nanocomposés, en attendant d’en savoir plus! Pas de nouvelles à ce jour…
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Né à Valenciennes à la fin de 1684. Jean Antoine Watteau ( ou Wateau) est un des premiers représentants du style pictural le rococio. Après avoir été placé jeune près d’un peintre qui faisait des décors ce théâtre, il part à Paris et apprend à copier les tableaux hollandais dès le tout début du XVIIIe siècle. Puis il rencontres Claude Gillot ( 1673-1722), spécialisé dans la peinture sur la commedia dell’arte et Watteau en fait le principal sujet de son Pierrot ( peint en 1719) l’une de ses toiles les plus célèbres reste Pélerinage à l’île de Cythère, peinte en 1917 et exposée au musée du Louvre, à Paris. Malheureusement pour liu, il ne profitera guère du succès que lui apportera cette toile peinte pour l’Académie royale de peinture. Antoine Watteau décède ç seulement 37 ans des suites d’une tuberculose.
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Poètes du vent.
Nous ne marqueront peut être pas notre temps.
Douce Omélie, vers accomplit, ou simple prose
prouvant que l’on ose… N’est-ce pas là le but de
tous poète…vivre et rire de ses rimes, qui si souvent
ne tiennent qu’à un fil!
Poètes du vent nous le sommes et qu’importe le nom
des hommes, qui de leur mots tissent le rêve
et chantent
les mots… les poètes sont si souvent emplit d’une telle
tristesse que seul les mots leur ôtent leurs maux.
Poètes du temps?
Seul le temps et les hommes le diront…
Moi! je ne suis que fille du vent, et vous?
Y-L
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Quand je joue avec ma chatte,
qui sait si elle passe son temps de moi
plus que je ne le fais d’elle?
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Viens mon chat, sur mon coeur amoureux;
Retiens les griffes de ta patte,
Et laisse moi plonger dans tes beaux yeux
Mêlés de métal et d’agate.
Lorsque mes doigts caressent à loisir
Ta tête et ton dos élastique,
Et que ma main s’enivre du plaisir
De palper ton corps électrique,
Je vois ma femme en esprit.
Son regard, comme le tien, aimable bête,
Profond et froid, coupe et fend comme un dard.
Et des pieds jusqu’à la tête,
Un air subtil, un dangereux parfum,
Nagent autour de son corps brun
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Les rêves sont les clés pour sortir de nous-mêmes,
Pour déjà se créer une autre vie, un autre ciel
Ou l’âme n’ait plus rien retenu du réel
Que les choses selon sa nuance et qu’elle aime:
Des cloches effeuillant leurs lourds pétales noirs
Dans l’âme qui s’allonge en canaux de silence.
Et des cygnes parés comme des reposoirs.
Ah! toute cette vie, en moi, qui recommence.
Une vie idéale en des décors élus
Ou tous les jours pareils ont des airs de dimanches,
Une vie extatique ou ne cheminent plus
Que des rêves, vêtus de mousselines blanches…
Or ces rêves triés ont de câlines voix,
Voix des cygnes, vois des cloches, voix de la lune,
qui chantonnent ensemble et ne forment plus qu’une
En qui l’âme s’exalte et s’apaise à la fois.
De même La Nature a fait comme notre âme
Et choisi, elle aussi, des bruits qu’elle amalgame,
Se berçant aux frissons des arbres en rideau,
Lotionnant sa plaie aux rumeurs des écluses…
Voix chorale qui sait, pour ses peines confuses,
Unifier des bruits de feuillage et d’eau!
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