La Cappadoce est une région de la Turquie qui fut longtemps volcanique. Les matériaux projetés par les éruptions entre-10 millions et- 2 millions d’années avant notre ère constituent son sol actuel.  Ainsi, au fil des siècles, les cendres et les boues ont formé une couche de pierre très tendre, le tuff, recouverte d’une croûte solide de lave basaltique. Plus tard, le gel a lézardé la couche de basalte. L’eau et le vent ont alors peu à peu désagrégé la pierre tendre. Seuls quelques blocs de tuff plus dur ont résisté, formant des cônes coiffés d’un chapeau de basalte. Mais ces édifices demeurent fragile; l’érosion amincit chaque année u, peu plus le pied de ces étranges champignons.

 Voltigeuses hors pair, les libellules les plus grosses peuvent atteindre les 60km à l’heure. Elles planent, changent brusquement de direction, pratiquent des virages sur l’aile, stationnent dans les airs. Elles sont même capables de voler en marche arrière. L’insecte réalise ses acrobaties aériennes à l’aide de ses quatre ailes transparentes et nervurées, qui battent indépendamment les unes des autres. De plus, leur organisme peut supporter de grande accélérations. En l’absence de vaisseaux sanguins, le sang remplit tout leur corps et ce rembourrage liquide compense la pression  de l’air.
30 millions d’amis.
photo de…www.inachisio.com

 L’été au Haras national du Pin baptisé le  » Versailles du cheval ».
Le Haras est installé au coeur d’un écrin de verdure de plus de 1100 hectares, dans de magnifique bâtiments construits au XVIIIe siècle. Durant l’été, il ouvre ses portes tous les jours afin de permettre de découvrir le fonctionnement d’un Haras national, ses étalons et tout l’univers du cheval. De nombreuses manifestations sont prévues pour toutes la famille, afin de découvrir la beauté du cheval, emblème du département de l’Orne. Compétitions internationales: 6/8 juillet concourt de saut d’obstacle international avec les meilleurs cavaliers européens. 12/15 juillet, les rendez-vous de l’attelage; grande variété d’épreuves du cross sportif à l’extrême à l’attelage de tradition. www.haras-national-du-pin.com

 En Thaïlande on nomme  » Phi » certains esprits maléfiques. L’un deux, le  » Phi Kaseu » a la propriété  d’occuper le corps d’un être humain vivant et de se transmettre aux descendants de ce dernier. Il n’est pas rare de trouver à Siam des villages ou hameaux, auxquels on a donné les noms de  » Phi », sans doute pour perpétuer la mémoire de quelque événement mystérieux qui s’y serait passé autrefois. Ainsi, non loin de Chantaboum sur la côte est du  golfe de Siam, existe un petit village appelé  » Ao Kaseu ». La tradition rapporte que de leur pagode les talapoins voyaient souvent venir dans le cimetière une vieille femme. Un jour, il la suivirent et remarquèrent qu’elle arrachait les entrailles des cadavres pour les dévorer. Ils en firent par au  » Somphan », leur supérieur. Celui-ci ne douta pas que cette femme dût être une possédée du  » Phi Kaseu ». Il leur enjoignit en conséquence de veiller et de la lui amener pour être interrogée. Les bronzes attendirent vainement trois à quatre jours; ils ne la virent pas venir. Intrigués, ils se rendirent dans la maison qu’habitait la vieille, et à leur grande surprise celle-ci leur apprit qu’elle avait eu connaissance de leur intention de la saisir, et qu’elle ferait en sorte de n’être pas prise. Plus tard elle tomba malade, et sentant sa fin approcher, elle réunit autour d’elle tous ses descendants. Parmi ses petites filles, elle en remarqua une qu’elle appela tout près d’elle pour qu’elle lui léguât un héritage de famille. Dès que la jeune fille fut près du lit, la vieille prit un peu de salive avec son pouce et l’appliqua sur la bouche de sa petite fille qui devint  » Kaseu » à partir de ce jour là. Depuis cette époque le village a reçu le nom de  » Ao Kaseu » qu’il porte encore et qui signifie  » saisir la Kaseu »

 Les Levantins en leur légende
Disent qu’un certain rat , las des soins d’ici-bas,
Dans un fromage de Hollande
Se retira loin du tracas.
La solitude était profonde,
S’étendant partout à la ronde.
Notre ermite nouveau subsistait là dedans.
Il fit tant de pieds et de dents,
Qu’en peu de jours il eut au fond de l’ermitage
Le vivre et le couvert: que faut-il d’avantage?
Il devint gros et gras: Dieu prodigue ses biens
A ceux qui font voeux d’être siens.
Un jour, au dévot personnage
Des députés du peuple rat
S’en vinrent demander quelque aumône légère:
Ils allaient en terre étrangère
Chercher quelque secours contre le peuple chat;
Ratopolis était bloquée:
On les avait contraints de partir sans argent,
Attendu l’état indigent
De la république attaquée.
Ils demandaient fort peu, certains que le secours
Serait prêt dans quatre ou cinq jours.
Mes amis, dit le solitaire,
Les choses d’ici-bas ne me regardent plus:
En quoi peut un pauvre reclus
Vous assister? que peut -il faire
Que de prier le Ciel qu’il Vous aide en ceci?
J’espère qu’il aura de vous quelque souci.
Ayant parlé de cette sorte,
Le nouveau saint ferma sa porte.
Jean de la Fontaine
Qui désigné-je, à votre avis,
Par ce rat si peu secourable?
Un moine? Non, mais un dervis:
Je suppose qu’un moine est toujours charitable.
( Dervis: Religieux Mahométan).
« Levantin, les peuples du levant, les Orientaux.
Ratopolis: nom plaisamment composé, qui signifie
ville des rats.)
Jean de la Fontaine.

 Raymond Moody et sa découverte.
Les NDE ( Near Death Experiences) ou expériences de mort imminente furent évoquée publiquement pour la première fois au milieu des années 1970, lorsque le médecin américain Raymond A. Moody publia son premier best-seller La Vie après  la Vie. Raymond Moody s’était intéressé à des témoignages et des rapports provenant de son environnement proche et voulut, en tant que médecin et philosophe, en apprendre plus sur ce phénomène. Au cours de ses recherches, il fut confronté à des personnes qui avaient été à la frontière entre la vie et la mort et avaient déjà été déclarées mortes au sens médical du terme. Les témoignages de NDE sont aujourd’hui étudiées et collectées partout dans le monde. Ces expériences vécues par des personnes déclarées cliniquement mortes sonr désormais prises au sérieux.: L’homme qui meurt entend le médecin constater son décès. Il commence alors à percevoir un bruit désagréable et se sent emporté avec une grande rapidité à travers un long et obscur tunnel. Après quoi, il se retrouve soudain hors de son corps physique sans toutefois quitter son environnement physique immédiat; il aperçoit son propre corps à distance, comme un spectateur. Il observe, de ce point de vue privilégié, les tentatives de réanimation dont son corps fait l’objet et il se trouve dans un état de forte tension émotionnelle. Après quelques instants, il se reprend et s’accoutume peu à peu à l’étrangeté de sa nouvelle situation. Il s’aperçoit qu’il continu de posséder un  » corps’, mais un corps différent.
Un allucinogène naturel pourrait tout expliquer…Vous en pensez-quoi?

 Ci-gît Zola qui ne fut rien.
Pas même cacadémicien.


 Si vous arrivez à me montrer quelque chose de plus bête qu’un proverbe, je vous fais immédiatement offrande d’un demi-kilogramme de cerises anglaises, denrée somptueuse pour la saison.

Ah! pourtant, je me trompe! Il y a quelque chose de plus bête qu’un proverbe: c’est deux proverbes. Et n’allez pas croire surtout que je réédite une plaisanterie surannée… Ce proverbe :  » Tel père, tel fils » est idiot; mais cet autre:  » a père avare, enfant prodigue » n’est pas moins bafouilleux.

Que dire des deux réunis? Autre exemple:  » La nuit porte conseil » et  » Ne remettez jamais au lendemain ce que vous pouvez faire la veille ». Comment voulez-vous qu’on s’y reconnaisse?

D’ailleurs à ce propos, j’ai pris un moyen terme; depuis ma plus tendre enfance ( ma mère vous le dira), j’ai toujours remis au surlendemain ce que j’aurai parfaitement pu faire l’avant-veille.

Et je m’en suis bien trouvé. Faites comme moi, ne vous pressez pas, et cela vous réussira.