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Du rouge au vert tout le jaune se meurt
Quand chantent les aras dans les forêts natales
Abatis de pihis
Il y a un poème à faire sur l'oiseau qui n'a qu'une aile
Nous l'enverrons en message téléphonique
Traumatisme géant
Il fait couler les yeux
Voila une jolie fille parmi les jeunes Turinaises
Le pauvre jeune homme se mouchait dans sa cravate blanche
Tu soulèveras le rideau
Et maintenant voila que s'ouvre la fenêtre
Araignées quand les mains tissaient la lumière
Beauté pâleur insondables violets
Nous tenterons en vain de prendre du repos
On commencera à minuit
Quand on a le temps on a la liberté
Bigornaux Lotte multiples Soleils et l'Oursin du couchant
Une vieille paire de chaussures jaunes devant la fenêtre
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Bonjour tout ce que j'aime!
tu dors?
je meurs d'envie d'ouvrir ta porte
et tes rideaux, de me précipiter dans ton lit
et de t'y embrasser jusqu'à mourir.
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Quel matin merveilleux!
Toutes les cloches sonnent.
Le ciel est d'or et bleu et pur.
J'ai ta lettre devant moi.
Mon premier baiser est pour toi,
ma chère âme,
ma bien aimée.
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Ce merveilleux comèdien aimait raconter
cette anecdote authentique.
En compagni de Michèle Morgan,
il tournait un film aux environs de Vichy.
Un matin, tôt, toute l'équipe dut se rendre
avec mille difficultés
au bord d'un petit torrent pour
y tourner une scène capitale.
On s'apprêtait à filmer quand
une bravr paysanne vint à passer
par là; intriguée,
elle demanda:
- Qu'est-ce que vous faîtes là?
-Du cinèma! répondit gentiment Bourvil.
-Du cinéma? s'étonna la paysanne.
Ici?
Et à sept heures du matin?
Vous aurez personne...
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Je pleure, et mes larmes,n'ont plus de saveurs,
elles glissent lentement sur mes joues,perles
blanches de l'Afrique qui se meurt.
Mon pays n'est que douceur, beauté tranquille
à la douce torpeur.
Mon Afrique reste sauvage et qui ne la respecte
pas s'en souvient dans sa chair et dans son coeur.
Homme d'ailleurs ne vient plus détruire notre
bonheur. Je veux garder mon pays pour mes enfants.
Je pleure, et mes larmes n'ont plus de saveurs.
Je garde pourtant l'espoir et mon Honneur.
Y.L
no
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" Quand on ne travaillera plus
le lendemain des jours de repos,
la fatigue sera vaincue.
Alphonse Allais.
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Point de soufrance en mon coeur,
Car en ce jour,tu es né.
Petit être de chair et de sang,
continuité dans l'espace temps,
regards nouveaux
que tu poses sur toutes choses.
Petite pose, puis de nouveau,
la recherche .
Point de souffrance en ce jour,
mon tout petit;
car le lien de ta vie se
résume au lien de ma vie.
Aujourd'hui petit, demain immense.
Que te dire mon petit ange...
Tiens, cela...
que tant que mon coeur vivra
je serai là pour toi.
A mon petit qui à aujourd'hui 16 mois.
Y-L
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