• Le roi Victor Emmanuel d'Italie avait un sens particulier du protocole quand il s'agissait d'adresser des cadeaux personnels à ses maîtresses. Chaque année, il se laissait pousser l'ongle du gros orteil, le faisait vernir, incruster de pierres, et envoyer à la dernière ame en faveur dans sa vie.

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  • un des premiers livres qui traite de l'acupuncture, a été publié au IIIe siècle avant Jésus-Christ, et certains des passages datent même du XIIIe siècle avant Jésus-Christ, mais ce n'est qu'au XVIIe siècle que ce mot aurait été inventé par des jésuites partis en mission scientifique en Chine. Il est composé de deux mots latins: acus, " point" et punctura, " piqûre".


    En France, l'acupuncture a été introduite vers 1930 par Georges Soulié ( 1878-1955), membre du corps diplomatique et plusieurs fois consul. C'est à Péquin, lors d'une épidémie de choléra, qu'il découvrit ses bienfaits en observant la surprenante guérison de certains malades. Il s'y initia et commença à traduire les anciens traités chinois puis se mit lui-même à écrire un ouvrage de plus de mille pages sur le sujet.
     
     
     
    Les services hospitaliers français s'intéressèrent alors à ses recherches, et il put former quelques médecins à l'acupuncture. En Chine, plus de la moitié des médecins la pratiquent. Autrefois, on utilisait neuf aiguilles de formes et de tailles différentes, en cuivre ou en acier. Selon les déséquilibres du malade, on adopte parfois une autre façon de " puncture", petit frôlement ou coup de bistouri, aiguilles en étoile, droites ou obliques.
     
     
     
    Dans la médecine traditionnelle chinoise, l'énergie ( le chi) circule à travers douze méridiens principaux, qui vont de la tête aux pieds en passant par les membres et les viscères. Ceux-ci forment un circuit de part et d'autre de l'axe médian du corps.

     
    Pour favoriser la circulation des différents souffles animant le corps, on appose des aiguilles sur la peau en des points très précis. Selon les spécialistes, il y en aurait huit cents, que l'on pique ou presse, et parfois on ajoute même un moxa, petit cône de plantes médicinales que l'on fait brûler.
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  • Vins de Loire.
    Loire, Fleuve au doux parler, vallée sereine, coeur de la France! Les vins y sont subtils, agréables et divers. Une trinité d'abord: Anjou, Vouvray, Saumur. Et puis, les Pouilly, les Sancerre, le Chavignol, le Muscadet, le Chinon, le Bourgueil... Il ne faut pas confondre Pouilly et Pouilly. L'un est Bourguignon à quelquess kilomètres de Mâcon et fleurit sur un sol calcaire.

    C'est le Pouilly-Fuisé. L'autre naît à Pouilly-sur-Loire, à Tracy ou à Saint-Andelain, sur des coteaux également calcaires, son bouquet de pierre à fusil évoque les vins du Rhin ou le Muscadet.
    On le dit Pouilly-Fumé. Le Muscadet est natif de Loire Inférieure.
    C'est un blanc limpide, jamais acide et qui accompagne joliment les hors-d'oeuvre ou le brochet au beurre blanc.

    Un Sous-Muscadet de pays se nomme le Gros-Plant. Les Vouvray sont divers, corsés, parfumés, liquoreux, légers, fruités... Sept communes autour de Vouvray le produisent.
    Ils font " la bouche bien aise".
    Les vins de l'Orléanais, rouges élégants ou blancs fruités, sont de parfaits vins de table. Citons le Gris-Meunier, si vigoureux; l'Auvernat rouge et l'Auvernat blanc, le Rosé gris-meunier. Le roi des coteaux de Layon, enfin sur un sol de schistes friables, aux confins de la Touraine et de l'Anjou, voici le vin pineau, comme disait Rabelais, cet étonnant Quart de Chaume qui se boit frais mais non glacé, au dessert.


    Banyuls, Muscat, Frontignan. Cerbère, Banuyls, Port-Vendres et Collioure se partagent la gloire de ce vin doux naturel et qui rit dans votre verre: le banyuls. Il est vin apéritif  et de dessert.
    On doit le servir à la température normale et boire nature.
    Rabelais lorsqu'il était élève, puis professeur à la Faculté de Médecine de Montpellier fit connaissance avec le vin Muscat. Il l'aima.

     

    Le sol dans lequel il pousse, fait de calcaire et de gravier que le soleil méditerranéen échauffe, en fait un nectar liquoreux. Lunel et Rivesaltes, jadis en fournissaient d'excellents.
    Maraussan et surtout Frontignan sont les plus connus aujourd'hui.

     

     

    Mais déjà Voltaire écrivit de Ferney:" Je vous demande une grâce, c'est de me conserver la vie en m'envoyant un petit quartaut du meilleur vin de Frontignan".Vins de Savoie.
    Les rouges sont assez rares mais deux blancs méritent l'appellation contrôlée, le Seyssel et le Crépy. Le Sessel, au bouquet de violettes, est excellent dans sa cinquième année.


    Le Crépy, sec et léger, mûrit en bouteilles et fermente quelquefois.
    Citons encore les vins de Marestel, ceux des Abymes, blancs et rouges, ceux généreux et colorés de Montmeillan. Le vin de Thonon,  Le Féternes ( près d'Evian), l'Ayse ( près de Bonneville).
    Et notons que seules les années très chaudes donnent en Savoie, des récoltes de bonne qualité. 1934, 1937, 1945, 1947.


     Vins puissants dont le Cap Corse est le plus goûté. Mais signalons aussi le Patrimonio et les vins de Sartène.

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  • Le continent antarctique a été aperçu pour la première fois, en 1819, par le navigateur russe Fabian Bellingshausen. Après que l’Américain Nathaniel Palmer y eut débarqué en 1821, il ne suscita plus, pendant plusieurs décennies, que l’intérêt de quelques savant et… de nombreux baleiniers qui croisaient dans les parages. Au début de notre siècle, les missions d’exploration se multiplièrent; c’est alors que commença la tragique course au Pôle Sud. En 1909, sir Ernest Shackleton échoua à 200 kilomètres du but. Cinq ans plus tard, son navire fut broyé par les glaces; on le sauva de justesse avec son équipage, mais il périt en 1921, au cours d’une troisième tentative. Entre-temps, le Pôle Sud avait été atteint par le Norvègien Amundsen, le 14 décembre 1911, un mois avant l’Anglais Scott. Ce dernier devait périr de froid et  d’épuisement, avec tous ses compagnons, lors du voyage de retour du pôle vers la côte antarctique.

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  • En 1973, des chercheurs canadiens, parmi lesquels Brian Josephson qui vient d’obtenir le prix Nobel de physique, sont réunis à Toronto sous l’égide de l’Institut de recherches en parapsychologie New Horizon Research Foundation. Leur mission: inventer de toutes pièces un personnage… et le  » convoquer » par les méthodes spirites. Les  chercheurs imaginent donc un personnage qu’ils prénomment Philip. Ils lui inventent une vie: Philip est un aristocrate anglais du XIIe siècle, joueur et très endetté, ayant dilapidé la fortune de son épouse, une bigote à l’esprit étroit qu’il trompe par ailleurs avec une jolie bohémienne. Le groupe attribue à Philip un physique, un caractère, des manies…
    puis commence à se réunir en séances spirites hebdomadaires pour communiquer avec lui. Philip se manifeste un soir de 1974. Comme tout fantôme qui se respecte il signale sa présence par des coups vigoureux frappés sur la table, et donne son accord quand on lui propose de répondre  » oui » par un coup et  » non » par deux coups, aux questions posées.
    Philip revient  pendant plusieurs mois et répond aux questions, en particulier celles concernant son passé.  » Si quelques membres étaient absents, ses manifestations faiblissaient, allant jusqu’à disparaître. Lorsque le quorum n’était pas atteint. Au fil des séances, il s’enhardit et se mit  déplacer la table un peu partout  de manière fantaisiste et désordonnée » raconte le généticien George Owen,
    l’un des  » inventeurs » de Philip, qui assure par ailleurs que toutes les manifestations correspondaient aux observations rapportées dans les séances spirites. Philip, premier  » fantôme de laboratoire », et devenu une icône de la  » psi ».

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  • Le lion dans sa tête avait une entreprise:
    il tient conseil de guerre, envoya ses prévôts;
    Fit avertir les animaux.
    Tous furent du dessein, chacun selon sa guise:
    L’éléphant devait sur son dos
    Porter l’attirail nécessaire,
    Et combattre à son ordinaire;
    L’ours s’apprêter pour les assauts;
    Le renard, ménager de secrètes pratiques;
    Et le singe, amuser l’ennemi par ses tours.
    Renvoyez, dit quelqu’un, les ânes, qui sont lourds,
    Et les lièvres, sujets à des terreurs paniques.
    Point du tout, dit le roi; je les veux employer:
    Notre troupe sans eux ne serait pas complète:
    L’âne effraira les gens, nous servant de trompette,
    Et le lièvre pourra nous servir de courrier.
     » Le monarque prudent et sage
    De ses moindres sujets sait tirer quelque usage
    Et connaît les divers talents.
    Il n’est rien d’inutile aux personnes de sens. »

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  •  En Alaska, lors d’une course de traineaux, le vainqueur fut Léonard Seppala, le héros qui , au péril de sa vie, couvrit 130 miles ( environ 210 kilomètres) en 12 heures 42 minutes, pour porter à Nome, ou sévissait la diphtérie, le sérum sauveur. Il avait avec lui son courageux compagnon, Bonzo. 1928.emoticone

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