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Par osebo-moaka le 28 Juin 2013 à 15:14Ah qu'il était doux ce temps,
ou enfants on aimaient à se
vautrés dans les champs emplits
de bleuets et de coquelicots.
Cette senteur d'été,
ce parfum si particulier
ou fleurs et bourdons sont unis
en une belle symphonnie, en un
ballet gracieux, ou le beau se sublime
à lui seul.
Ah! qu'il était doux ce temps d'avant,
ce temps de l'enfant.
Y-L
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Par osebo-moaka le 28 Juin 2013 à 15:51
Les Africains croient en une notion difficile à traduire, qu'ils appellent ubuntu ou botho.Cela décrit l'essence de l'être humain. On sait quand c'est présent. On sait quand c'est absent. C'est une question d'humanité, de douceur, d'hospitalité, c'est se donner du mal pour les autres, c'est être vulnérable. Cela englobe la compasssion comme la sévérité. C'est reconnaître que notre humanité et intrinsèquement liée à celle des autres, car nous ne pouvons être humains qu'ensemble.
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Par osebo-moaka le 28 Juin 2013 à 16:11
( 1883-1931)
L'Amour qui ne se renouvelle
pas chaque jour devient une
habitude et se transforme
en
esclavage.
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Par osebo-moaka le 1 Juillet 2013 à 18:20
Mon coeur est sourd.
j'entends au loin
le bruit sourd et long
du tambour.
Ma tête est vide,
mon coeur est lourd.
Pas un jour ne passe
sans que ton souvenir
ne fasse surface.
Ou est tu, toi qui
un jour m'avais dit...
cet amour que je te donne
sera pour toujours!
Ma tête est vide,
mon coeur est sourd.
Vide de tout
Je sens si fort ton absence
que mon âme se fait violence.
Ma tête est vide
Et
Mon coeur reste lourd.
Y-L
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Par osebo-moaka le 5 Juillet 2013 à 16:30
Petite rime.
La note est de mise,
Bien comprise et entendue...
Sujet de méprise,
remise en place accepté.
La note est de mise,
Le sujet s'est mépris,
Que ne pointe pas le mépris.
Y-L
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Par osebo-moaka le 5 Juillet 2013 à 16:39Assise sur la dune,
je me prête au farce du vent,
l'envie de le forcer à me laissé tranquille,
me fait doucement sourire.
Cheveux dans la bouche, chapeau par terre,
rien ne sert de le remettre,
car de nouveau il quittera ma tête.
Le vent , canaille, émet des sons que nos
oreilles perçoivent, il fouette le sable violament,
le sable crisse, il frappe les herbes folles,
elles se touchent, se frottent
et ajoutent leur son au sable blanc.
Il se calme,
semble me caresser de sa douce puissance,
puis,
fou de joie, il reprend son jeu.
Il est si jeune parfois.
Y-L
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Par osebo-moaka le 6 Juillet 2013 à 22:30
Je t'aime, pas seulement pour ce que tu es,
mais pour ce que je suis quand je suis avec toi.
Je t'aime, pas seulement pour ce que tu as fait de toi,
mais pour ce que tu es en train de faire de moi.
Je t'aime, parce que tu as fait beaucoup plus
que ce que n'importe quelle foi aurait pu faire
pour me rendre bon, beaucoup plus que ce que le destin
aurait pu faire pour me rendre heureux.
Tu l'as fait sans un geste, sans un mot, sans un signe.
Tu l'as fait en étant toi-même, tout simplement.
C'est peut-être ce qu'on appelle un ami, après tout.
Roy Croft.
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