•  Aujourd’hui est un grand jour. Je dirai plutôt un grand soir.
    Je suis assise là, ce soir sur mon petit banc et je l’attends.
    Je sais… selon l’ histoire que tant que ton coeur est enfant, tu peux l’apercevoir le grand Vaisseau Blanc. Or, ivoire, blanc, une multitude de couleurs qui enchante nos coeurs d’enfants.
    C’est vrai, je suis grand(e) maintenant mais, qu’importe.
    J’ai l’espoir de l’apercevoir encore une fois ce soir.
    La légende du Grand Vaisseau Blanc remonte aussi loin dans mon esprit que la lune qui brille sur nos tête. Pour le voir, il fallait être sage et honnête.
    Beaucoup d’enfants étaient pleins d’espoirs et peu étaient déçus. Il est magique, magnifique de la proue à la poupe, de l’or,de l’ivoire, un blanc éblouissant sous la lumière doré de la lune.
    La tête de proue est une merveille, un aigle majestueux semble vouloir fendre la nuit. La tête blanche et noir, l’oeil couloir du bon chocolat chaud du soir.
    Les plumes d’un noir presque bleutés semblent être la pour la beauté du vaisseau, mais ses plumes là sont magique. Qui touche une plume un cadeau lui est offert, une vraie bataille s’engage alors, parmi les rires les hourras, les j’en veux encore… Ce soir assise sur mon petit banc, je me mets à rêver au temps ou passant par ici il s’arrêtait.
    Flamboyant dans la lueur magique de la lune, la splendeur de ses flancs, sa grandeur nous faisant frissonné d’attente. Joie, bonheur tout cela il l’apportait avec lui bien cacher dans son ventre bondé.
    Les grands comme les petits chérissaient ce tendre moment. Cette nuit est la nuit de l’enfance et j’ose y croire encore. Pour l’amour des coeurs d’enfants, j’attends la venu du Grand Vaisseau Blanc.
    Y-L

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  •  

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    Le musé était fermé.
    En cela ce n’était pas un scoop. Ena était déjà au courant. Ces soient disant amies lui avaient donné rendez-vous vers 21 heures à l’arrière du musé. Elles savaient que les gardiens sortaient à tour de rôle pour fumé une cigarette et que parmi eux il y avait un fumeur de pipe, cela lui prenait plus de temps pour savourer sa petite fumette. Les filles avaient tout chronométrer  et cela plusieurs soir de suite afin d’être sûre qu’il n’y avait pas de changement parmi les gardiens. Le

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  •  

    Je pars à l’aveuglette:
    Un chemin qui s’étend sur plusieurs kilomètres, m’offre ma déstiné.
    Je fouille a travers les failles des arbustes, afin de mieux voir ce qui tout d’un coup …
    se  mets à gronder après  moi! Je prends un long bâton!! Je tends l’oreille, et je parle assez haut,
    pour faire fuir mes, ou mon,  soient disant agresseurs.
    Ce n’est qu’un petit furet , qui s’en doute c’est échapper d’une cage mal fermer.
    Je le chasse  en faisant beaucoup de bruit avec mon bâton. Il s’enfuit, je continue
    ma route…

    La mer de loin me tend sa douce main, en forme de vague.
    Elle semble si calme après toute sa force déversée.
    Je me laisse tentée, je ne peux y résister….
    Alors je parcours lentement la belle esplanade, et tout en rêvant
    mes pas me portent vers le chemin pentu.
    Ce chemin, a une histoire d’amour si forte si belle que de ne pas la contée serait sacrilège.
    « deux hommes s’étaient épris d’une bien jeune- oui  d’une  bien  jeune fille du collège de Normoutiers.
    Chaque jour c’était à qui lui offrirait les plus belles roses, ou les plus belles  orchidées.
    La chambre de la douce fut bientôt un champ de foire et la jeunette décida avec ses amies du collège
    de faire dans sa chambre une espèce de vente à domicile. les prix étaient fixés sur chaque objet,
    le premier qui faisait monter le prix l’emportait.  C’était dans la chambrette rire de plus en plus fou,
    au fur et a mesure les beaux cadeaux disparaissaient sans que la jeune, jeune fille ne s’en rende compte.
    Elle avait tout vendue, même le collier de sa grand-mère auquel elle tenait énormément.
    Tout  était partis,  il ne resta rien , ceux qui lui avaient donner un coup de main, allaient faire la même chose pour eux.
    Et ainsi de suite, sans oublié l’idée follement fantastique de se prêter les fringues quand on en avait besoin.
    Oh! ma gade robe pensa t-elle  aussitôt. Mais une idée avait été lancer à deux cent personnes en mêmes temps,
    c’était bien difficile de revenir en arrière. Les deux amoureux arrivèrent deux heures plus tard et quand elle les fit enter,
    leur regard se tournèrent vers les emplacement, ou logiquement devaient se trouver les présents,
    dans un grand éclat de rire elle leur expliqua la situation. Le premier la toisa de haut en bas, et sans dire un seul mot, il sortit.
    Le deuxième lui s’approcha de Néssa et lui dit: tout ce que tu as vendu, tout tu m’entends, ce qui me revient, tu vas tous me retrouvés,
    tu as pour cela 10 jour et pas un de plus. Néssa fut stupéfaite du ton qu’il employa pour lui ordonnée de retrouver des babioles!
    Le lendemain, il était là, devant l’arche, il la regardait fixement et lui fit comprendre que les jours filaient très vite.
    On ne retrouva jamais Néssa, mais le collier de la grand-mère remonta un jour à  la surface il y a de cela 10 ans.
    La petite a un regard étrange, mais nous sommes habitués maintenant. Elle aime nager des heures et des heures.
    Une vieille mégère aurait dit, que la petite avait été protégée par l’amour et l’esprit de sa grand-mère et par l’esprit de sa mère.
    Nessa grandit et elle part bientôt pour Chicago, il paraît qu’il y a un formidable espoir pour elle.
    Oui, mais qui la protégera? Un seul pendentif autour de son cou gracile. Un beau camé une femme au sourire emplit de douceur,
    veilles  sur elle pour l’éternité, les grandes aventure de Néssa venait de commencer. Quand à ceux qui s’en prennent à elle!
    Un espèce de fléau leur tombe dessus. cela donne à réfléchir, pourtant je vais être à ses côté pendant la rentrée.
    Et nous aurons plein de cour ensemble. Et, nous aurons plein de fous  rire.
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    Y-L

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  •  Marie-Lou a vingt-trois ans. Pas une beauté, mais un charme fou. Rousse long cheveux qui tombent sur sa magnifique chute de rein, yeux noisette pétillant de malice.


    Un tour de taille qui mérite qu’on se retourne sur elle. Bien souvent d’ailleurs elle entend certains commentaires plus qu’appréciateur sur elle.

     

    Mais Marie-Lou n’en tient pas conte, son coeur est déjà pris. en sortant du train qui la ramener de la campagne, ou elle avait passé dix jours merveilleux chez sa grand-mère maternelle; elle s’était senti observer.

    Pour une fois et elle ne comprend pas bien ce processus là; elle s’était retourné et avait cherché le regard qui l’observer. Cela faisait déjà six mois. Comme le temps passe vite, elle se souvenait de ce jour là, de l’incroyable attrait qu’elle avait senti pour lui.

     

    Lui, oh lui… La trentaine, bien dans son corps, sur de lui. Un regard de loup, froid et pourtant si chaud à la fois. Grand? Non pas vraiment,mais assez pour Marie-Lou. 1 mètre 85. Cheveux noir aile de corbeau avec un je ne sais quoi d’asiatique dans sa façon de se mouvoir, dans la fente de ses yeux couleur d’or.

     

    Il était venu vers elle, lentement, un léger sourire aux lèvres. Un carnassier , voila la première idée que Marie-Lou eut de lui. Tellement sur de lui que s’en était intolérable.

     

      Dans un élan de lucidité Marie-Lou avait voulue se détourner de lui, prête à partir vers son taxi qui l’attendait de cela elle en était sûre, puisqu’elle l’avait retenue avant de partir de chez sa grand-mère. Mais, un geste de sa main, comme une invitation à venir vers lui et tout était dit.


    Là devant elle, il se présenta:  » Bonjour mademoiselle, je m’appelle Séy-li. Quand je vous ai vu descendre de ce train, vous n’allez pas le croire… mais mon coeur s’est mit à battre beaucoup plus vite. J’ai , je crois, rencontré celle qui pourrait être comme on le dit souvent… mon âme soeur ».

     


    Marie-Lou aurai voulut rire, lui dire que ce qu’il lui raconté n’était que bobards. Mais, c’était trop tard. Il la raccompagna jusqu’à son taxi, et avant que de fermé la portière il lui demanda son numéro de téléphone. Marie-Lou lui donna une de ses cartes de visites et le taxi la ramena un quart d’heure plus tard chez elle.

     

    Perdue dans ses pensées le chauffeur dû lui dire trois fois qu’elle était arrivé. Elle paya et laissa un bon pourboire . Avec force remerciement le chauffeur lui descendit ses bagages du coffre et repartit pour une autre course. Devant sa petite résidence Marie-Lou n’en crut pas ses yeux.

     

    Il était assis sur le capot d’une superbe voiture noire, aussi noire que l’était son chauffeur. Mais cela, Marie-Lou le découvrirait bien plus tard. Pendant un an ce fut l’amour fou.

     

     

    En fait il ne se passa absolument rien, un amour foudroyant mais platonique. Marie-Lou était aux anges car elle ne voulait pas de ces amourettes sans lendemain. Et Séy-Li était parfait en tout. Il l’emmena dans des endroits d’un chic incroyable, là ou le champagne n’avait pas de prix et ou les gens dépensaient en une soirée le salaire de Marie-Lou.

     

    Séy-Li s’aperçut que cela embarrassé celle qu’il convoitait, alors il changea de technique. De luxueux il passa à simple, un couché de soleil au bord de la mer à Cabourg.

     

     

    De longue promenade bras dessus bras dessous en forêt. Visites de châteaux et pique-nique improvisé, tous cela amena Marie-Lou à voir en Séy-Li l’homme idéal. Quand il la demanda en mariage, sa réponse était toute prête. Ce fut un oui plein de passion qui sortit de sa bouche.



    Séy-Li s’occupa de tout, rien n’était trop beau pour son aimée. Jusqu’à retenir une suite dans un endroit de rêve, perdu au fond d’une belle et étrange vallée, puis d’un voyage vers les îles lointaines.Tout cela fut mis sur la table en guise de cadeau de mariage. Grand-mère était folle de joie. Enfin sa petite dernière était marié.

     


    Sa magnifique robe blanche, brillante au soleil comme si une multitude de diamants la composait. Un voile d’une finesse et d’une réalisation inconnue d’elle. Et pourtant en dentelle elle si connaissait; mais là elle fut surprise de ne pas reconnaître ces points si fins, comme si une araignée l’avait tissée.Une année complète d’un bonheur incroyable voir indécent.

     

     

    Ses amies lui disait d’en profité car cela ne durait jamais au-delà de l’année écoulée. Pour Marie-Lou le rêve continua six mois de plus. Puis un soir Séy-Li rentra accompagné de deux femmes et de trois enfants. Pas d’explication, rien. Quand Marie-Lou voulut en savoir plus, une des femmes lui sauta dessus comme une furie, et lui donna tant de coup que Marie-Lou s’évanouit.



    Elle reprit conscience à l’hôpital ou un interne de service lui recommanda de ne pas bouger. Marie-Lou avait plusieurs cotes de cassées et des hématomes digne d’un film d’horreur. Elle passa deux semaines à l’hôpital et pas un seul jour Séy-Li ne vint la voir.

     


    Si le téléphone sonnait c’était souvent sa grand-mère qui était au bout du fil ou l’une de ses amies. Personne ne comprenait ce qui c’était passé.

     


    Quand Luc ami de Marie-Lou avait voulu voir Séy-Li, trois personnes l’avait raccompagné à la porte avec force et menace en prime. Marie-Lou garda quelques séquelles de sa rencontre avec cette femme qu’elle ne connaissait pas. Mais elle avait aussi un formidable trésor qui grandissait en elle.

     


    Deux semaines après sa sortie, Marie-Lou reçut un courrier. Celui-ci lui était bien adressé. On lui demandait de bien vouloir passé à l’ambassade de Chine pour un entretien privé. Chose que Marie-Lou accepta, mais avec une demande de sécurité pour elle.

     

    Elle fut reçue avec  beaucoup de d’honneur… l’homme qui lui parla ce jour là était chinois, il ne parlait pas le français c’était donc une traductrice française qui faisait la conversation avec Marie-Lou. Toutes les questions que lui posa la traductrice avait pour sujet Séy-Li. Marie-Lou répondit du mieux qu’elle le put. Puis l’homme la fixa de ses yeux noir et d’un geste très éloquent lui fit comprendre qu’elle devait fuir.

     


    Ainsi Marie-lou devint Angélique et elle se retrouva en Louisiane. Là elle vécut des jours heureux avec sa fille Manaé, et elles vivent encore là-bas. Marie-Lou ( Angélique se remaria avec un chauffeur de taxi).

     


    Elle sut beaucoup plus tard que Séy-Li était un trafiquant notoire de drogue, un assassin à la solde de la filière de Chine. elle appris aussi qu’il fut exécuté par l’un de ses hommes parce qu’il ne l’avait pas tuée comme s’était convenue.

     

    Dans le coeur de Marie-Lou brille une flamme et cette flamme y brûle pour Séy-Li.
    Y-L

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  •  En me promenant ce soir, j’ai pensé à cela… une petite histoire toute simple, je vous la conte.
    Ils étaient cinq, cinq adorables petites boules de poil, toutes trouvèrent une personne à aimer sauf une. C’est son histoire.
    L’ogre était de retour, dans sa petite tête la petite boule ne pouvait vraiment se souvenir, pourtant, elle se souvenait. L’odeur déjà, une odeur qui plaisait à la boule de poil, mais l’ogre lui faisait peur, alors elle geignait et se blottissait dans les pattes de sa mère.
    La belle et adorable Ginger se mettait alors à grondé sourdement l’air de dire: attention, c’est à moi… Puis l’ogre revint, mais pas seul.
    Il y avait avec lui un petit bout de fille, ça sentait la fille,bon, hum…La petite boule de poil regardait les yeux grands ouverts vers la petite fille, mais la petite fille ne voulait pas s’approcher de la petite boule. Alors, de nouveau l’ogre repartit, mais, il emmena  avec lui la petite fille qui sentait bon.
    Quelques  jours passèrent, du moins c’est ainsi que le ressentit la petite boule. Puis l’ogre revint et avec lui la petite fille; alors avec effort la petite boule se mit à geindre doucement, gniii gniii gniiii. La petite fille se mit à rire, mais elle n’approcha pas… de nouveau le son gnii gnii gnii, un grand éclat de rire fusa de la bouche de la petite fille.

    Avec grande prudence elle s’approcha, l’ogre  s’approcha aussi, alors boule de poil eut peur et se musa dans les pattes de sa mère qui gronda un peu.
    Maîtresse dit:
    Ginger tu te tais… maman arrêta de grondé, des bras potelés essayèrent de saisir boule de poil qui se raidit afin d’aider la petite fille à la prendre dans ses petits bras. Puis! boum… Un cri, Ameline tu n’as rien? Pas un cri de la part d’Ameline, juste de la pluie sur son visage rond.

    Alors boule de poil lécha les perles d’eau qui coulaient des joues d’Ameline. Boule de poil fit un drôle de bruit genre grffnnn ( langage chien: pas bon ça) puis elle éternua. Ameline éclata d’un rire tonitruant tout en ayant les joues pleine de larmes.chamiel, chamiel, veux chamiel. Boule de poil comprit que cela s’adressait à elle, alors de ses trois pattes et avec sa gueule de travers elle alla aussi vite que possible se blottir dans les bras potelés d’Ameline qui la saisissant du mieux qu’elle le pouvait lui fit plein de câlin. Chamiel fit la fête en léchant la figure et les perles de larmes d’Ameline.

    Bon dit l’ogre de sa grosse voix, je crois qu’Ameline à choisit la petite boule de poil, je la prends pour ma petite fille. Elle sera heureuse maintenant avec sa chamiel.
    Maîtresse répondit:
    vous ne pourrez trouvé mieux pour votre petite fille, vous verrez, elles se sont trouvées toutes les deux, n’ayez pas de regret, chamiel vivra très bien comme elle est.
    Chamiel regarda sa mère et pigna un peu l’air de dire au revoir maman, j’ai trouvé ma maîtresse moi aussi; et, Ginger, poussa un gros soupir. Chamiel et Ameline était inséparable, chamiel aida à sa manière Ameline à progressé dans sa vie de tous les jours; et Ameline aima chamiel comme elle était. Les parents d’Ameline durent partir quelques jours et il fut impossible d’emmener chamiel qui à sept ans allait avoir des bébés. Alors Ginger et Maîtresse vinrent pour surveiller et prendre soin d’Ameline qui ne voulait pas partir.
    Quatre jours plus tard, trois boule de poil dont une grise avec une patte abimée et une gueule de travers virent le jour.
    Et, comme pour la première fois Ameline éclata de rire et des perles de joies tombèrent de ses yeux, bien que très petit, boule de poil gris vint pour sentir l’odeur particulière et elle fit gnii gnii gnii. Chamiel était fière, sa portée donnerait à son amie à sa maîtresse une autre raison d’être heureuse. Ameline grandissait, mais comme son visage ne changeait pas que ses petits yeux restaient pareils et que toujours le sourire était sur sa bouche, les enfants en avait peur.

    Grâce à Chamiel et à à à! Mignarde, voila comment Ameline appela sa deuxième boule de poil, future compagne pour l’avenir d’Ameline.

    Ameline.

    Ameline a  ce que l’on nomme la trisomie 21, Chamiel et Mignarde ne voient en Ameline et dans les yeux d’Ameline  que l’Amour,l’Amour profond qu’il y a dans son coeur. Chamiel vécut très longtemps, presque 18 ans, puis elle s’endormit, laissant à Mignarde le soin de veillé sur sa maîtresse, Mignarde porte en elle un cadeau pour Ameline, l’ogre à bien vieillit lui aussi, mais il a toujours autant d’amour dans le coeur pour son bébé chéri Ameline.

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  •  Je suis une descendante par ma lignée ancienne, de Shet 1er du nom; le « honni ». A chaque génération né un être différent que l’on se doit de surveiller. Mais il arrive que cette surveillance au fils des siècles, ce relâche et que certains de ces êtres ai pu vivre à leur façon et de la malédiction qui s’attache à leur pas. Pour beaucoup la mort était la rédemption, mais dans l’histoire de notre famille, nous eûmes quelques uns de ces êtres qui devinrent illustre de part leur façon de vivre avec les autres. Je suis la dernière de ma lignée, mais je m’apprête à enfanté et je le sais déjà, celui qui vient est un être à part. Son destin il le liera à un jeune garçon du village; et ce garçon sera son gardien. Comment vivront-ils cette histoire? Et comment survivront-ils? Là est l’histoire que je vais vous conté, mais avant vous devez me connaître, moi, Wicania, sorcière-guérisseuse du village( je ne peux vous le nommé sans trahir le secret de ma famille), mais en lisant vous pourrez, j’en suis sûre reconnaître ce village perdu. J’ai appris beaucoup de chose au cours de ma longue vie. Je suis toujours vivante, et mon fils aussi… Des siècles se sont écoulés, certains avec lenteur d’autres avec une rapidité extraordinaire. De bronze, de fer, la guerre a été un terrain facile pour mon art, et pour la survie de mon fils. Ce temps que nous vivons aujourd’hui et calme; alors je peux vous racontez une partie de ma vie, et, une partie de la vie de mon fils. Je commencerais donc par le début de ma vie. ( afin que vous compreniez qui je suis, et de comprendre la naissance de l’être qui allait venir bien plus tard) Quelques semaines avant sa naissance, les trois cercles m’aidèrent à supporter le poids de celui qui allait naître. Je savais que ce serai difficile, car il serai en partie de moi, et en partie de l’autre… L’autre, face sombre et hostile à la vie. Pourquoi avais-je fais ce voyage, je me le demande encore aujourd’hui. Après touts ces siècles difficiles, toutes ces vies disparues, après tant de souffrance.(2) J’ai souvent dit que j’aimais mon peuple et qu’il me le rendait bien… J’ai dû bien souvent disparaître pour attendre que la génération qui  m’avait connue disparaisse. Puis, je revenais. Je m’installais dans une petite maison, faite la plupart du temps avec tout ce que je pouvais trouvé, comme le bois, les briques. Je me suis même fait un jour une maison de paille avec de la bouse de vache mélangé. Cela éloigna certains curieux, je peux vous le dire. Mais, pour d’autres ce fut un bel exemple de simplicité et, ils firent comme moi. Ce village dura longtemps et je pouvais y vivre avec bonheur, car les êtres qui y vivaient, avaient en eux le désir de me voir y vivre. Ils leur importaient peu que je sois de génération en génération avec eux, trois pour être exact. Mais à la fin de la troisième génération, Hilfur me jugea impure. Une nouvelle façon de pensée venait de voir le jour et Hilfur y adhéré avec beaucoup de vigueur et de ferveur. Alors je disparue de nouveau de mon village et me cachais dans une forêt verdoyante, qui avait une bonne influence sur mon état d’être mise à part. Elle me garda dans la bonté. Mais pour les hommes elle était sacrée, c’est pour cela qu’il me fut si facile d’y vivre en paix et cachée. Mais, dans tous siècle, il y a un homme ou une femme ( c’est plus rare, je dois le dire) qui a un courage au dessus de tous les autres et qui prend un malin plaisir à le montrer. Des voyageurs de vie, ou encore, des héros, c’est ainsi qu’on les nommer. L’un d’entre eux était farouche et son plus cher désir était de mettre à bas la légende de la fée, sorcière, elfe, ou farfadet de la forêt.(3) Alors il s’activa avec vaillance pour pouvoir démontrer à son peuple, car il en était le chef, que cette légende n’existait pas. Brume, brouillard, pluie torrentielles, vents violents, rien ne l’arrêta. Donc, je me montrai à lui. Il déboucha d’un sentier qui menait à la source ou j’allais puisé de l’eau et y faire mes ablutions. Elle était douce sur ma peau presque chaude.  Le soleil dardait ses rayons derrière moi, ma co
    à suivre

    Wicania

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  •  

    Le regard perdu dans le lointain, vide de toutes expressions, John quarante ans se sentait fatigué. L’année avait été très difficile. Le travail à la banque n’était plus aussi satisfaisant. La nouvelle conseillère, petite brunette souriante, des fossettes aux joues, des yeux pétillants de malice; un rire cristalin et une voix douce.Un peu replète, mais son charme efface ces petits défauts et les gens ne se focalisent pas sur ce genre de détail. tout aller bien… puis Coraline avait commencé à lui tourné autour- à venir dans son bureau pour soit disant discuté d’un cas particulier ou encore pour savoir comment lui s’y prendrait avec la famille Javert

    - au sujet de leur prêt.- Une maison- non mais tu te rends compte? Ces gens veulent s’acheter une maison… un salaire, trois gosses, un dépassement des 33% et ils veulent emprunté plus pour tout englober dans leur crédit! Tu en dis quoi, toi John? John se sent pris au piège, il l’a sentit venir petit à petit, Bernard Gers lui avait dit… mais en blaguant que la nouvelle le prendrait bien pour son quatre heures et John avait bien  ri de cette boutade et haussant ses  larges épaules, il avait répondu qu’il était déjà pris et ce depuis plus de 10 ans…alors qu’elle chasse ailleurs.

    Mais, Bernard l’avait encore prévenu, ce genre de nana ne renonce pas facilement et bien souvent pour elle, cela devenait une obsession. John avait sourit car demain il partait avec son amour en vacance, là il avait fait fort… leur destination la Corse avec un grand C. C’est Pascal qui allait être surpris depuis le temps qu’il rêve de cette île magnifique. Un rêve de gosse, car ses parents, ses grands-parents sont d’origine corse. Ils sont venus en France comme ils disent dans les années après guerre – car ils crevaient de faim sur l’île et puis le temps a passé et ils sont resté ici en France.

    L’odeur de la Corse leur manque, le son de la Corse, la vibration de la terre Corse leur manque. Mais plus que tout… Aujourd’hui c’est les sous qui manquent. Puis les grands-parents étaient morts sur le sol de France et pas les moyens de les rapatrier là-bas sur leur terre. les parents de John avait promis de mettre de l’argent de côté pour renvoyer les vieux chez eux. Mais, ce rêve là ne se réalisera pas, le père de Pascal vient de mourir d’un cancer du poumons.

    Avec tous les frais d’hospitalisations, puis l’enterrement, il ne reste presque plus rien pour la mère de Pascal, sauf l’argent mis de côté depuis des années pour les vieux. Alors, Pascal a conseillé à sa mère ( Marie-Catherine) de garder cet argent pour elle. De vendre la grande maison et le jardin , de se trouvé pour elle un endroit ou vivre heureuse.

     

    Alors, Marie-Catherine lui avait dit:  » Mon fils, je parts avec ton père en Corse et je resterai là-bas. Après tout, j’ai encore ma famille qui vit sur le sol de nos ancêtres « . Et c’est ce qu’elle fit Laissant son fils en lui disant que s’il venait en Corse, il ne devait pas dire qu’il n’était  pas un homme, sinon la famille serait outré et il ne devait pas venir avec son homme non plus. « Les pitchounettes de là-bas sont belles mon fils ». Maman avait-il dit en souriant

    à suivre?

     

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