• La Reine  de glace.De son regard de glace, elle me fixe.
    Habillée de blanc laiteux, nimbée de cette étrange lueur bleuté;
    la Reine ne sait pas que je tremble de peur.
    Ne jamais lui montrait nos faiblesses.
    Elle se déplace légèrement,
    le frou frou de sa longue robe blanche fait crissée la glace.
    Son souffle laisse échappé une longue volute de fumée.
    Ainsi, elle me fait pensé à ce dragon de légende,
    devenu furieux à la mort de sa compagne et fou de haine,
    lorsqu'il cru que son fils était mort lui-aussi.
    Je tremble, de froid? de peur? De haine?
    Mon coeur ne le sait plus,
    mon esprit est en veil depuis ce jour douloureux
    ou la jeune princesse Milyandra devint reine à l'âge tendre
    ou le jeu et les amourettes font des jeunes princesse de jolies femmes à aimer.
    Notre princesse n'eut pas cette chance.
    Alors qu'elle était encore à cet âge tendre...
    un odieux complot... une traîtrise suprême, un attentat infâme...

    Lors d'une chasse à l'ours, les deux souverains trouvèrent la mort,
    la reine eut pour sa fille une pensée si forte que parait-il...
    l'enfant qui au même moment jouait avec ses amis,
    tomba, et fut saisie de soubresauts extrêmes...
    son amie la plus intime ne sut que faire pour l'aider.
    Orelion
    son mage et conseiller fut le seul à pouvoir la soustraire à cet ultime message.
    Mais quand la jeune princesse revint à elle,
    Orelion sut que plus jamai elle ne serait la même. La glace s'était installé en son sein et la haine féroce y avait trouver sa place.
    Noyés dans l'immense rivière souterraine de l'Imdin,
    les corps des souverrains ne furent pas retrouvés.
    Cela ajouta à la peine de la jeune souveraine.
    Ne pouvant étanché sa douleur sur le lieu de repos ternel de ses parents,
    son coeur ne pouvait trouvé le repos.
    Orelion sut appaisé par les drogues et les mots la dureté de coeur de notre reine,
    mais cela ne dura pas.
    Quand enfin on retrouva au matin d'un printemps tardif deux corps enlacés...
    que les funérailles
    et autres modalités de respects dû aux rois et reines furent accomplis;
    la reine redevint de glace et les recherches furent plus intenses.
    Orelion lui-même se sacrifia afin de trouver une piste.
    De jeune mage, il devint de part l'intensité de sa quète dans la grotte du savoir,
    le plus âgé et le plus sage des hommes de la vallée.
    Son sacrifice ne fut pas vain, car de sa longue quète sortit deux royaumes ,
    deux enemis et des deux  un nom,
    un seul fut rejeté par trois fois...Irladîm.
    Je suis le porteur du message et je puis vous le dire.
    La reine, de son regard de glace me foudroya.
    La guerre est déclaré, je ne serais pas du voyage.
    Mon coeur de Dragon va s'arrêter.
    Y-L
     
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  • C'était un matin, un matin de brume et d'ennui.
    Tu n'étais pas là, tu avais disparu...alors.
    je me suis assise et j'ai allumé cette bougie,
    celle que tu semblais craindre, celle qui trônait
     au milieu de cette vieille table.
    Avant que de craqué l'allumette, j'ai regardé
    autour de moi...
    Je n'ai rien vue, si ce n'est cette froidure qui
    semblait grandir.
    De gros nuage moutonnaient dans le ciel et
    quelques éclairs voulaient les percés.
    J'avais froid, je n'aime pas le froid, je n'aime
    pas le noir, tu le sais bien...
    Alors mon allumette sembla pour un très
    court instant faire fuir le sombre de la pièce.
    Mais...
    Ce n'était pas suffisant, alors j'ai allumé ta bougie,
    puis je me suis assise sur ta chaise...et j'ai regardé
    la flamme dansait lentement.
    Un petit nuage gris cendre semblait vouloir s'échappé
    de la bougie.
    J'étais là près d'elle et soudain...
    Ce fut le néant.
    à suivre.

    La Bougie.

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  •  Un pari…
    Un pari stupide, jeu sans conséquence pour ceux qui l’avance… mais cruel pour ceux qui doivent le vivre. Nous vivons dans une petite bourgade au fin fond de la vieille Louisiane.

    Là presque tout le monde se connaît. Il n’y a pas de nouvelle qui ne circule avant que l’intéresser ne soit au courant. Une vieille maison appartenant à Madame Gouik, sert de restaurant, voir d’hôtel quand il arrive que les hommes soient un peu trop éméchés pour rentrer chez eux, sachant bien que les femmes  seront là pour les accueillir les bras ouverts et la poële à la main.


    Elle en a vu la vieille Madame Gouik… pourtant, elle ne semble pas vieillir comme les autres. Tous ceux de son âge sont soit partis pour un soit disant monde meilleurs… ou sont presque grabataires. Trois sont restés en plus ou moins bonne forme et là encore… il y a à dire. Madame Gouik et les trois autres vont sur leur cent vingt-et une années.


    Jane Philippe et George , deux frères et une soeur suivent la vieille de quelques années. Il faut dire que, lorsqu’il étaient jeune, ils étaient toujours ensemble ces quatre là. Les plus mauvais de tous, c’étaient eux. La violence eux, les objets qui disparaissaient eux, bref, bien souvent eux. On en a profiter bien sûr et divers choses leur ont été attribuer.

     


    Il y a pourtant un fait bien sombre qui reste attaché à cette petite bande de galopins. A l’époque, les quatre gamins étaient de vrais casse-cou. Mais ce n’était pas eux qui s’était retrouvé avec une jambe cassée ou un bras, une épaule luxée… Le pauvre Jacques Lewis lui est rester paralyser . Pourtant, d’après les dire des enfants, il ne s’est rien passé de vraiment dangereux.

     

     

    Dix gamins le diable au corps, lâché dans la nature après la moisson; au moment ou tous le monde est épuisé d’un labeur éreintant ou les hommes et les femmes ne souhaitent qu’une seule chose, un peu  de repos être tranquille. Alors, les gamins pouvaient s’en donner à coeur joie et ils ne s’en privaient pas.

    On avait retrouvé Jacques étendu dans l’ancien prés d’Alphonse Miquieuc, un vieux londonien venu se perdre en Louisiane et croyant pouvoir profiter des gens peu instruits. Il avait dû revoir ses principes et ravaler ses airs. Le docteur Klouc l’avait bien souvent soigné pour ses plaies et bosses; mais, à force, il avait compris et était devenu un membre accepter par la communauté, mais bon, il ne trouva jamais de femme.


    Quand il mourut sa ferme et ses terres sont revenues à la communauté, mais pas le prés qui était lui aller savoir pourquoi léguer aux enfants . Une farce de vieux sans aucun doute! Cela à fait bavé bien plus d’une langue. Mais toujours est-il que le près est aux gosses… C’est toujours là qu’ils se retrouvaient après leurs corvées et après la messe du dimanche et là aussi ou il se passait de bien étrange chose.

    Mais ce n’est pas encore le moment d’en parlé… Pour tout dire la bourgade n’était pas bien grande, mais comme les terres étaient assez loin les unes des autres, les gens aimaient pavoisés sur l’étendue de telle ou telle parcelle ou du rendement d’un tel et surtout de la poisse qu’avait la famille Ganec.


    Deux garçons et une fille. Des jumeaux qui étaient né un soir de pleine lune, le docteur était trop loin pour venir et c’était la vieille mama Menbé qui avait aidé Madame Ganec à mettre au monde ses garçons. Deux heures de travail et les voila tout beaux tout gluants et plein de sang, criant à poumons ouverts.

     

     

    La mère avait quitté le lit deux jours plus tard fraîche comme une rose. Elle avait beaucoup de lait alors qu’elle était maigre à faire peur. Le mari Monsieur Ganec Martin était du plus beau rouge carotte que l’on ait vu de vie d’homme. Grand, sec, rude avec ses ouvriers, mais juste en ce qui concerne l’argent. Aucune dette dans cette famille.

     

    0h! la messe du dimanche qui suivit les relevailles de Madame Ganec, le curé avait dit quelques mots de plus au sujet du malin qui aime à faire des farces les nuits de pleines lune et que l’on attendait avec impatience de voir la couleur des yeux des garçons; puis il avait ajouté que pour le baptême, il faudrait prendre des dispositions assez rapidement.

    Car les jumeaux étaient souvent fragiles, pensez en 1920, c’était pas très courant dans la région!  Toutes les vieilles femmes se plaisaient à le dire: » jumeaux nouveaux, four fermer pour toujours. » Et pourtant, les jumeaux étaient d’un beau blond comme les blés quand ils sont mûrs pour la moisson.

     

    Leurs yeux gris acier étaient bien difficile à regarder, mais, ils y en avaient d’autres comme eux, alors, on oublia les dires et les bêtises des vieux. Quand trois ans plus tard Madame Ganec tomba enceinte, le docteur la suivit avec beaucoup d’attention. Neuf mois plus tard, elle donnait le jour à une belle petite fille brune comme le pain et aux yeux noir comme le charbon .

     


    Et comme pour les jumeaux, elle se releva bien vite , retourna au travail avec son mari et les ouvriers. Pas uns ne dit mot, pas même le curé, mais, les vieilles femmes elles, elles ne s’en privèrent pas. Six mois plus tard, trois vieilles femmes moururent d’une infection très étrange et le curé devint aveugle.


    Emonide Ganec devint alors pour beaucoup un genre de sorcière très dangereuse et qu’il ne fallait surtout pas contrarier. Là encore ils se trompaient, même si Emonide cueillait ses herbes à des heures pas possible et certaines seulement les jours de pleine lune… ce que dira t-elle:  – aucun de ses ouvriers ne s’est jamais plein  des remèdes qu’elle leur faisait quand malade plus que chien,
    elle parvenait à les remettre debout au bout de deux jours, frais et dispos; comme pour elle est sa propre famille! C’est vrai Emonide avait un secret, secret qui fut découvert bien plus tard par une petite fille de treize ans. Mais je vais encore trop vite.
    Y-L

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  • Le vieil arbre se meurt.
    Passant à la nuit tombée, je t’ai entendu.
    Ta longue complainte esseulé à enfin trouver
    oreille pour t’écouter. Tu te souviens de ces
    années ou grandissant à l’abri de tes deux
    frères, les pieds baignant  dans l’eau nourricière.
    Voyant les petits animaux vivre autour de nous et
    surtout tu te souviens de ces nombreuses vies croisés.
    Tu en as connu des hommes et des enfants qui passant
    près de toi riaient bien souvent ou encore, d’autres
    moments, plus dur, ou le vieil homme seul creusant à
    tes pieds, cherchant quelques racines pour se nourrir.
    Tu te souviens du vieux Léon, du Fernand, du Bertrand
    et de bien d’autres encore.
    Le vieil arbre se meurt.
    Et pour cet hiver encore, il va comme ses frères dormir
    d’un long sommeil pleins de souvenirs. Rêvera t-il du
    renouveau? Ou pense t-il déjà à l’homme qui de sa
    tronçonneuse lui ravira le peu de vie qui lui reste?
    Non! Il me l’a dit. Il pensera à ceux qui vivent encore
    en lui et il leur donnera tout ce qui lui reste afin
    qu’eux au moins, passent cet hiver qui sera bien long
    et froid.
    Le vieil arbre se meurt.
    Mais digne, il protège ses ami(es). Il chante sa chanson.
    Il énnonce ses souvenirs et nous sommes bien peu à pouvoir
    encore les comprendre, les entendre, chante mon ami, ta vie
    tu l’as bien remplit.
    Le vieil arbre se meurt.
    Y-L
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  •  

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    Je suis né là ou aucun d’entre vous n’a pu voir le jour. J’ai vécu dans un endroit ou aucun d’entre vous n’a jamais mis les pieds. J’ai rencontré beaucoup d’hommes et de femmes.

    J’ai vu des hommes fort et très méchants ils détruisaient tout sur leurs passage. Un jour ou allant voir le grand-prêtre, je pris le sentier de la Mesmsra…Une chose affreuse se passa.
    La Mesmsra allait avoir un petit. Personne ne voulait lui procuré de l’aide, moi je suis un homme je n’ai pas le droit de l’approcher. Je reste sur place car la nature y est très belle.

     


    Jamais je n’ai eu froid dans cette petite vallée. Les chevaux paissaient sans attache, les porcs n’étaient pas d’horrible  cochon sale est méchant, les oiseaux vivaient là en famille complète et sans bagarre.
    Les arbres étaient pleins de fruits, près à  être ramassé. Mais Mesmsra n’était pas en état pour faire cela. Je le fis, sans jamais m’approcher de sa maison de bois.

    Elle savait que j’étais là, car j’avais mon repas tous les jours, les mois passèrent, puis un soir, alors que j’aurai dû être chez moi, j’étais resté car une jument allait  avoir son petit. Quand c’est comme ça, on reste tout le temps voulus et on s’occupe comme on peut.
    J’allais m’endormir quand un son sourd et long vint titillés mes oreilles. Pas une juments ça que je me dis: de nouveau le son, plus fort plus sourd, comme si celui ou celle qui souffrait ne voulait pas que cela se sache.


    Intrigué je m’avançais vers le bâtiment de bois ou la jument devait mettre bas. son petit ne devait venir au jour que demain dans la soirée…mais on sait jamais avec les animaux. 
    Longeant le bâtiment je vis à travers un trou la belle ménaléé jambe tendue, frissonnante, ruant parfois, le travail irait plus vite cette fois. Elle me regarda de cet air bravache qu’elle avait parfois, cet air de dire…laisse moi l’homme tu m’ennuie, va voir plus loin.
    Oui! c’est ce qu’elle avait l’air de me dire.
    Mais ce n’était pas elle qui faisait ce bruit . Il était  plus fort maintenant. Je me dis que j’avais rien à faire ici, et, que devais partir et le plus vite possible. Mais quand on aime les bêtes on se refait pas.Je me dirigeais vers les bois alentour, car la maison de Mesmsra était caché par la forêt de Lingfantg, une très grande et forte forêt.


    La plus grande de toute la contrée, merveilleuse de beauté, verte toute l’année…un régal pour tous, si on la connaît bien. La beauté de l’endroit faisait frémir les visiteurs, mais ils avaient peur de Mesmsra, ce qui lui permit de garder cet endroit pour elle seule. Pourtant c’était un mensonge et nous sommes plusieurs à connaître le secret de la Mesmsra.


    En passant derrière sa maison j’entendis un cris plus fort. OHHHH! me dis-je ! C’est elle qui va mettre bas, et il n’y a personne pour l’aider, une femme dans son état à besoin d’aide, que dois-je faire?
    Une voix mordante me dit:" Approche toi homme, tu es le seul et j’ai besoin de ton aide ». Sans mentir, vous me connaissez, je suis pas un trouillard, ben, là, j’aurai pu prendre mes jambe à mon cou que je l’aurai fait. Mais c’était impossible, elle m’attira à elle, me demandait pas comment j’en sais strictement rien ! Et si je l’apprends j’vous direz rien du tout…

     

     


    J’entrai dans sa douce maison, elle était petite mais si propre,La clarté du petit soir la faisait ressemblé à une douce chaumine ou il fait si bon le soir. Elle sentait si bon , les roseaux fraîchement coupés et les  fleurs  odorantes coupées et séchées. Un bonheur de sentir ça, alors que les cochons étaient presque à la porte.
    Je fermais cette porte,un pour les odeurs, deux j’aime pas les cochons, ils sont très intelligents, mais aussi très envahissant . Et puis la dame avait besoin de calme. Oh ma dame comme vous êtes belle! Dou provient cette étrange lueur?

     


    -Janeson, viens près de moi, viens là, plus près… Janeson, c’est moi… Hein! vous le saviez non?
    -Non! mais si vous le dîtes m’dame… bon !  Alors je m’approche et inquiet je lui demande ce qu’elle me  veut… Ma dame, que voulez vous que Janeson fasse pour vous?




    - Janeson, les petits arrivent et tu le sais il faut qu’ils viennent au monde maintenant…-  »
    Mais Ma dame je suis un homme et ce sera pêché si nous faisons cela? Un cri plus fort, un visage palissant sous la douleur un souffle rauque …et  Janeson se trouve près de la femme qui souffre, il ne réfléchit plus pour lui à ce stade là, une pouliche ou une femme c’est du pareil au même. Il fit chauffer de l’eau, pris du linge propre dans l’armoire.

     

    Il mis par terre une grosse couverture avec un gros oreiller, puis il enleva ses bottes qui étaient très sale. Il se lava bien les mains, avec un gros savon à l’odeur des champs fraîchement coupés. Il souleva la dame, un poids plume se dit -il
    -. Ma dame je vas m’occuper bien de vous, z’en faites pas d’accord!
    – « Je n’ai pas peur Janeson, je savais depuis plus de cent ans que ce serait toi qui mettrais mes deux fils aux monde ».


    Janeson tiqua un peu, mais les femmes disent n’importe quoi dans ses moments là . Puis, elle lui sourit, un sourire si beau, si tendre qu’il oublia ces paroles. Deux heures plus tard, des cris  d’enfants et le cri d’une femme retentit dans la maison.


    La vie venait de gagné sur la mort. Les petits vivaient sous la menace des anciens mages." Janeson, tu dois savoir que mon nom est Ambredanielle, tu me connaitras désormais sous ce nom et tu feras en sortes que tout les villages me connaissent et connaissent ma force.  A partir d’aujourd’hui tu es un homme libre, et si tu le veux tu auras femme et enfants".

     


    Libre de ses mouvements Janeson, s’en alla conté dans tout les villages  qu’il connaissait la renommée d’une  douce sorcière qui vivait dans le bois qui était interdit à tous les hommes. Ambredanielle  s’est son nom, elle viendra si les hommes de bien ont besoin de sa force, pas avant.


    Ne commettez pas la folie de vouloir la défier car ses deux fils sont reconnus comme demi-dieu. On ne lutte pas contre un demi-dieu. Surtout s’ils sont deux, hein!  A partir de ce jour là la  légende d’ambredanielle grandit dans le coeur des peuples du levant, du couchant, du nord, et du sud. l’avenir était entre les mains d’une fée, d’un ange, d’une sorcière…
    peu pourrons dire qu’ils l’on vue, mais ceux là, ils ne l’oublieront jamais.

     

    Ambredanielle avait ce jour là mis sa tranquillité de côté, car elle savait que dans peu de temps, les hommes crieront  de désespoir.Ses fils ont encore le temps de grandir et les petits de ménaléé aussi, ils seraient les chevaux de guerre des hommes de force.Bientôt…
    Y-L 
     

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  •  

    Aux pieds d’un chêne je me suis étendue. Le soleil de ses rayons faisant miroités dans les branches de cet arbre majestueux tout un balaie étrange et enchanté. Me sentant libre de dormir, je laissai  à  cet arbre majestueux le soin de me protégeait. Une torpeur bientôt envahit mes membres et doucement le souffle lent je m’endormis

    La beauté du lieu, le charme de ce coin de campagne, le son titillant et zézéyant des insectes et des oiseaux vivant dans l’arbre m’emportèrent bien loin. Je me vis légère comme une libellule bleue, douce demoiselle et je parcourue cent lieux.

    Je virevoltais de droite et de gauche sans aucune contrainte, les autres animaux et insectes me chantèrent la complainte de l’arbre millénaire. Avec passion j’écoutais, vibrante et à l’unisson de tous ceux qui aimait cet arbre majestueux.

    Un danger pourtant le guettait et avec ce danger , tout les animaux et insectes en ressentaient les effets. Quoi! Comment! Pourquoi! Ils me racontèrent tout et c’est bien tristement que je m’éveillais de ce sommeil doux et étrange. Me levant je l’entourais de mes bras, ô, ils n’en faisaient pas le tour; et les bourdonnements,zézéments reprirent de plus belle

    .Lui parlant tous bas, je lui exprimais mon désaroie… que faire pour t’aider toi compagnon de  tant de vie? Un écriteau posé à même le sol et bien difficile à voir me donna la réponse. Ici vit l’arbre de la liberté, chéri et aimé pendant de nombreuses années; il se meurt et pour la sécurité de tous,il doit être coupé.

    Voila donc ce que la multitudes de vie vivant près de lui  voulait me faire comprendre! Armé de mon seul désir de lui venir en aide j’allais trouvé le fermier et lui exposait le fond de ma pensée. Il me reçu avec cordialité et je compris qu’au fond de lui l’arbre avait une grande place.


    Car, le père de son père et ainsi de suite avait vécu à ses pieds et  avait vécus mille et une aventure. Que faire me demanda ce brave homme les larmes perlant aux coins de ses yeux délavés?Je n’ai pas la réponse à cela lui répondis-je… Mais peut être qu’en le faisant vivre par l’image, ou en photo, vous pourriez le faire vivre encore plusieurs années!

    Oh! comme c’est étrange me dit-il, voyez-vous mon fils m’a dit la même chose il y a des années de ça. Alors pourquoi ne pas l’avoir fait? Ben, on s’est fâché tout les deux alors… Hum… pourquoi ne pas renoué avec lui? Hé! c’est à lui de s’excuser, il m’a dit de bien vilaine chose si vous voulez savoir… Et cela vaut le fait d’en être privé?


    Ca vous marquez un point, m’en va l’appeler. Ce qu’il fit il n’y a pas de doute, car l’arbre aux mille vie et encore ici aujourd’hui. Cela vaut bien un conte non!
    tnchenemillenaire.jpg

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  •  

    Joliet était un petit garçon de deux ans environs; petit, trapu Ses yeux en amandes ont  la couleur des jeunes violettes, lorsqu’elles commencent doucement à se faner La rondeur de son visage en faisait un petit diablotin plein de malice Il a le rire facile Ses cheveux couleur de feu et sa petite bouche couleur cerise donnait aux gens du village l’envie de le bercé, de le cajolé.


    Mais rapide comme l’éclair, joliet sait évité les pièges de tous ceux qui le voulait. Une fois il n’avait pas été assez rapide et sa grand-mère Amandine l’avait attrapé. Des baisers, des baisers, elle en voulait plein, de  bon coeur il lui  en avait donné. Mais, il avait aussi compris que s’il voulait vivre tranquille, il devait évité ceux de sa famille, qui l’aimait de trop. Joliet savait qu’il avait un rendez-vous; c’était à lui …cette année était la sienne. C’est lui qui irait dans la profonde forêt de l’Hyenv et c’était à lui de trouvé la clairière enchantée. Il devait y arriver pour le bien-être de son petit peuple.


    Contrairement à ce que pense les villageois, Joliet, n’est pas un petit garçon ordinaire. Il a été choisit par le Roi de l’Etoile et il doit accomplir et tracé le chemin qui  amènera les fées et elles pourront alors faire la ronde. Elles inviteront la lune et le soleil, les étoiles, le ciel et ces merveilles. Et , elles danseront et suivant la façon de dansée des fées, le village pourra se reposé.

    Mais, si les fées ne dansent pas dans le sens qu’il faut; le village entier sera en danger. Oui mais voila… cette année c’est a Joliet que la force fut donné, malgré son jeune âge, sa petite taille, sera-t-il assez fort pour vaincre les éléments qui se mettront aux travers de son chemin? Le parcours sera long et difficile. Sa mère comprendra-elle qu’il doit partir seul dans la vieille forêt du Bois Doré?


    Il  a un mois pour y parvenir. Son petit coeur bât à grand coup dans sa petite poitrine. Il regarde et il garde en lui tous ce qui se passe dans son village. Pépé Terrieux s’est cassé la jambe en voulant courir après son vieux chien qui a fait demi-tour et a fait chuté pépé.

    Mémé Terrieux a tempêter toute la journée et la pluie est venue et elle a tout mouillée. Enfermant tous le monde dans la maison, mémé Terrieux  refuse que quiconque sorte, tant que la pluie ne sera pas finie. Joliet regarde cela, les yeux grand ouvert, sachant que ce soir il partira quand tout le monde dormira, Dame Fauvette l’aidera. Ainsi commence l’aventure du jeune Joliet. à suivre.
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