•  En fin de compte, je fus accepter et même honorer.J'aurai cru la chose plus difficile, mais il est vrai que j'avais une taille de plus que le plus grand des Loups de la meute et de chaque meute.
    Il fut défini ce qui suit...chaque clan se devait de me rendre compte toute les lunes.S'il y avait un conflit; il se réglerait entre les chefs de meute, voir entre ceux qui avaient enfrin les règles de la meute.
    En dernier ressort, c'est moi qui déciderait du bannissement ou de la mise à mort.Un rappel douloureux des anciennes meutes- mais qui n'avait plus cours aujourd'hui...on ne tu plus les Loups, on les chasse hors le territoire.
    La neige arriva vite et il fallut chasser plus loin que d'habitude. Chacun devait ramener une proie pour pouvoir nourrir tous le monde.
    Cet hiver là ce passa bien, très peu de mort parmi nous quelques uns dans les meutes des Basses-Terres.
    Mais l'hiver prochain serai mieux préparé...à l'avenir nous ferons des réserves comme le font les deux pattes,   les fourmis , les écureuils, les marmottes et bien d'autres encore. Le printemps arriva...mon père tomba malade de la fièvre, il mourut peu de temps après les premières feuilles.
    J'étais donc le chef de meute et je devais me trouver une compagne ( bien que mon comba finale ne se soit pas finit). Je cherchais son odeur, mais je ne pouvais la trouver.
    Frustré au plus haut point, je m'entretins avec une Louve qui était resté avec elle pendant deux années.
    Elle me regarda venir à elle, ses yeux pétillant de malice, car elle savait très bien que je ne venais pas pour elle.
    "-Dis moi Lanka mère de bien des fils et mère de bien des filles, dis moi donc as tu vu la Dorée depuis la dernière chasse?
    Je ne la voie nulle part, j'aimerai lui parler.
    Peux tu me dire ou je pourrai la voir?
    - Ah! Mon chef...je suis comme toi  très inquiète pour la petite...un Loup lui tourne autour depuis plusieurs mois déjà. elle l'a toujours repoussé, mais comme toi...je ne l'ai pas vue depuis votre dernière chasse.
    --Ou va t-elle quand elle veut être seule? ma colère me faisait trembler.

    -
    -Tu le sais bien,non? Ne l'as-tu pas vu en rêve!
    Ecarquillant les yeux de stupeur je dis bêtement...Louve qui te l'a dit?
    -Oh! chef, elle bien sûr, c'est Briseduvent qui me l'a dit. Elle allait exprès au bord d'une belle rivière pour apercevoir ton reflet dans l'eau. Elle ne sait pas que c'est toi, le Loup qu'elle voyait, pour elle tu devras redevenir Blankâlika chef...sinon elle ne voudra jamais te reconnaître comme son chef. A toi de voir!
    - Merci, merci Lanka, je vais voir à la grande rivière si elle y est.
    -+ Prends garde mon chef, ce Rainclair à la dent dure et la force d'un ours, il est arrogant et surtout...il se croit plus évolué que nous tous et c'est Briseduvent qu'il veut. Elle est de sa parenté, alors les liens sont plus fort pour lui.
    -Je vois Lanka, je vois, c'est donc lui, mon ennemi! C'est avec lui que doit se finir mon aventure? Bien...bien! Merci Lanka, dis à Torki de veiller sur la meute pendant mon absence, je vais revenir avec Briseduvent...je t'en fais la promesse.
    -Oh je te croie, j'ai confiance en toi, toi notre vaillant roi Blankâlika, Loup Blanc Solitaire.
    - Ne dis rien aux autres vieille Louve avec trop de cervelle...
     Retroussant mes babines, langue sortie, je lui lançais un regard de mise en garde, alors elle éclata de rire et me dit: " chef ton secret, n'est un secret que pour les hommes, pas pour nous les Loups ou pour tes amis. Nous reconnaissons en toi le Loup Solitaire, c'est notre légende à nous...les Loups.
    Et je vis dans ses yeux doré la fierté. D'un claquement de langue je partis poursuivis par le rire plein d'amour de Lanka. Alors une joie immense envahit mon coeur et gonfla mon poitrail. Je redevins le  Loup au poil blanc à la démarche du fauve ...et pour qui ne me connaissait pas, le velours de mes pattes qui ne faisait aucun bruit, j'étais le fantôme blanc des Basses et Hautes-Terres. Le gardien  des contrées du royaume du roi et de la reine de la Montagne Sacrée.
    Fier, je suis fier, mais en ce moment mon coeur saigne. J'ai reconnu l'odeur du sang, alors, je suis la trace-regardant prudemment ou je mettais mes pattes. Le sang était frais, cela m'inquiéta, je poussais un hurlement de rage, d'une rage incommensurable.
    Mes yeux devinrent blanc, là...j'étais en colère, une colère froide, lucide mais froide. Alors je parcourus le reste du chemin en martelant de mes pattes le sol qui menait à la grande rivière.
    Les feuilles vertes des arbres dans laquelle se jouaient les rayons du soleil apaisèrent un peu mon coeur-Une forme dorée allongée sur le bord de l'ea raviva ma haine, d'un seul bond puissant; je fus près d'elle. La plaie était profonde, son oreille droite saignait aussi, un morceau de chair pendait. Encore un peu et sa babine droite aurai été arracher.
    La folie gagna mon esprit, un tourbillon de haine me poussa à chercher l'odeur de celui qui avait commis cet acte de lâcheté envers mon aimé.
    Pour ne pas la laissée seule je poussais un feulement plutôt qu'un cri, mais presque aussitôt Lanka fut là avec plusieurs vieilles Louves.
    D'un regard elles comprirent et d'un bond je partis à la vitesse de l'éclair.Le sang de Briseduvent me guidait, la distance me sembla bien courte, elle m'avait emmenée vers l'ancienne grotte.
    Alors je sus, il était mon dernier adversaire...le dernier avant que je sois  le vrai roi des meutes.Donc... ce serait ici que le combat final allait s'engager! Je perçus son odeur d'homme, c'est donc ça! il voulait un combat d'homme...bien si c'était ce qu'il voulait...il l'aurait. Je devins un homme puissant, mes yeux blanc devaient être atroce à suporter, car mon adversaire ne voulait à aucun prix les croisés.
    -"tu as voulu me ravir ma compagne, tu l'as blessée gravement, tu sens le sang de mon aimée ( cela dit d'une voix dure, éraillée par la haine) regarde moi Rainclair... c'est un ordre!

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  • Oh! Le grand aurai suffit, il se proposa même pour cela, mais Erquel devait mettre au monde leur premier et je ne voulais pas séparer l'immense Aiglon de sa compagne. Elle en fut ravie et me câlina du mieux qu'elle le pu vue son état...que de souvenirs.
    le lendemain aux premiers rayons du soleil, mon voyage du retour commença. Pendu dans mon harnais au cou de Freguel, je soupirais de joie; mais après quelques heures de voyage ma douleur fut t'elle que Freguel ordonna une halte.
    Amquel et freguel discutèrent pendant que je pris un peu de repos allongé sur un lit de branches fraîchement cueillit, puis ils vinrent me voir et voici ce qu'il fut décider:
    _ Ecoutes nous Loup Solitaire, si nous continuons ainsi, le voyage durera des mois et tu perdras tes forces. Nous pensons qu'il vaut mieux te porter dans nos bras comme un enfant, si tu n'y voie pas d'offense.
    Nous nous relaierons plusieurs fois le long du voyage et ainsi nous pouvons te certifier que tu seras chez toi dans deux ou trois jours.
    La décision t'appartient.
    - Je suis un Loup et en tant que tel, il est difficile pour mon orgueil de me voir traiter en enfant, mais j'admets le bien et la sagesse de vos propos.
    J'accepte avec joie je vous l'avoue de voyager différemment. Merci à vous deux pour le mal que vous vous donnez pour un Loup.
    -Ah! Tu n'es pas un simple Loup, mon ami me  dit Freguel...Amquel argua lui aussi ce fait.
    Ta bravoure à sauver de multiples personnes ...et a rendu le sourire à notre Princesse.Le royaume entier t'en est reconnaissant.
    Nous connaissons les pertes de ton clan, nous compatissons à cela, notre coeur déborde d'amour pour vous Blankâlika Loup Solitaire.
    Ne pouvant répondre , je fermais les yeux et ils m'emportèrent chacun leur tour dans leur bras puissant; deux jours après j'étais de retour dans ma montagne.
    Là, m'attendait la vieille Louve et quelques amis.
    Il me fut révéler que je devais resté à l'abri pendant plusieurs mois afin de retrouver toutes mes forces et que ceux qui étaient présent allaient s'occuper de mes besoins.
    Ce que je devais faire, c'est être patient, de rester allongé, de prendre du repos et mes forces reviendraient.
    Je fus bien obligé d'accepter car je n'étais pas en mesure de soulever ma propre tête, alors pour ce qui est du reste de mon propre corps-hein!
    Loup orgueilleux, je dus prendre sur moi et accepter mon sort, car j'aurai une lourde tâche à accomplir par la suite et ce jusqu'à la fin de ma vie.
    Pour le respect et la bravoure de mes meutes. Le temps de la guérison arriva. Etais-je encore ce jeune Loup insousciant  qui vadrouillait par mont et par vaux! Non... j'étais un être nouveau, Louve reprit le chemin de sa propre meute et mes autres amis reprirent eux aussi leur vie. Ils m'avaient servi durant ces longs mois, leur mission accomplit; ils se devaient de reprendre le cours de leur existence... ainsi le veut la mère nature. Je restais encore quelques jours, écoutant dans le bruit des feuilles d'automne une chanson vieille comme le monde.
    La guerre n'était pas tout à fait finis, mais elle ne concernait plus pour l'instant et notre territoire était bien loin pour en subir les conséquences...mais la légende était déjà dans tous les coeurs et gravée dans la roche par des hommes qui avaient fuit sur ordre de la Princesse afin d'aller peuplée une contrée nouvelle.
    Avec eux, ils emportèrent l'histoire d'un Loup fabuleux, qui a prêter ses forces vitales ainsi que la force vive de ses propres clans ( ou meutes) pour aider la Princesse à vaincre les mages noirs.
    A ce moment de l'histoire; un seul mage noir est en vie, les aigles royaux ,les animaux, les hommes, les arbres, le recherche. Un jour, il sera là et ce jour là le Loup Solitaire brisera la pierre rouge sang et le Prince sera libéré, un mariage aura lieu et de belles fêtes un peu partout dans le royaume seront célébrés.
    Une nouvelle légende sera ajoutée à l'ancienne...ce qui permettra de dire plus tard, beaucoup plus tard que ces légendes ne sont en fait que des mythes et si vous croisez en chemin Un loup Blanc énorme aux yeux bleu, n'ayez pas de crainte...mais, si ses yeux sont rouge sombre, fuyait loin de sa tanière.
    Il ne vous chassera pas, car il attend quelqu'un de bien spécial... n'allez pas chercher le rêve de gloire pour vous, ou pour votre famille, car se  ne serait que plainte et gémissement. Il vous détruiraient tous et sans aucun remord...n'allez pas dans l'antre du Loup Blanc à tache noir sur le poitrail, laissez le vivre le temps qu'il lui reste.
    Je suis sur sa trace-sachez-le, je suis sur sa trace et il le sait.
    L'automne c'est déjà l'automne et là je dois me hâter, car les mâles  de ma meute se mettront bientôt en quête d'une compagne, mes parents sont trop vieux pour assumer  encore une année
    Mère n'aurai pas de petits et père ne pourrai vaincre les jeunes mâles avides de prendre sa place.Tout à coup ma fureur flamba dans ma poitrine. Un peu de haine s'insinua dans mon esprit, je ne voulais pas que mes parents subissent l'humiliation...cela je ne le supporterais pas,il n'en était pas question.
    Filant comme le vent, je courrais sans fatigue avec mon corps puissant plein de vigueur et beaucoup de ruse en moi.A la fin de la semaine, j'étais en vu de notre nouvelle grotte, celle ou j'aurai du travailler avec mon père , à l'aider dans ses choix et à me chercher une future compagne.
    Mes rêves me l'avaient montré, je la connaissais et je me languissais soudain d'elle. Je l'entendais qui au bord d'un ruisseau m'appelait doucement...puis avec sa douce voix elle chantait la chanson du Loup Solitaire qui reviendrait de guerre pour épousé une Louve du clan.
    Elle se demandait qui cela serait, avait-elle une chance?
    Alors une ombre sombre menaçante arrivait derrière elle et elle oursettait( l'ours le lui avait appris, un bruit bizarre , qui faisait fuir les autres) de colère, tançant vertement l'intrus , grondant après lui...mais jour après jour il se faisait plus présent et il attendait qu'elle soit seule pour l'importunée.
    Le le lendemain de ce rêve plein de menace, je fus là à attendre dans ce qui restait des buissons. peu de chose il est vrai, mais ma couleur se mariait  très bien avec le peu, puis je tendis l'oreille et je la vis venir.
    Belle, très belle et son odeur me rendit fou, elle se lava les pattes, la queue, la tête, se mordilla à divers endroits signe de possible puces ou d'épines! Puis, elle regarda dans l'eau et chanta sa chanson, mais cette fois elle me nomma moi...Blankâlika Loup Blanc solitaire. Elle m'appelait de ses voeux, sa chanson se  termina sur une note aigüe car l'ombre était revenue, plus présente que jamais, il voulu lui sauter à la gorge pour la forcer à l'accouplement.
    Alors me levant je poussais un long très long hurlement de colère...faisant un rapide bond de côté le Loup me chercha, puis ses yeux perdirent leurs éclats, fanfaron ou doutant de ce qu'il voyait, il se cabra...émit un sourd grondement babines retroussées à l'extrême tension, oreilles couchées, poil hérissé; puis il avança vers moi.
    J'en fis autant, je surplombais une roche, j'abaissais mon regard vers lui et là...je ne sus pas excactement ce qui se passa, mais le Loup disparut presque aussitôt.

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  •  

    Notre voyage de noce s’était passé d’une des plus agréable façon,
    d’un lieu à l’autre la beauté des endroits me comblait de plaisir.
    Un soir Eric me dit:
     » Chérie demain je t’emmène chez une vieille amie que tu aimeras de suite si tu ne fais pas attention à ses petites manies.
    - » Oh Eric, je serais ravie de rencontrer une de tes connaissances,
    tu as si peu de famille et encore moins d’amis.
    Ce sera vraiment un grand honneur ».
    ,
    Nous venions de tourner le chemin qui nous mènerais chez Violette,
    quand mon coeur fit un bond dans ma poitrine,
    une espèce de saut comme s’il voulait s’éloigner de moi,
    drôle
    aquarelleannecy1800.jpgd’impression.
    une belle maison digne d’une aquarelle
    . Puis nous fûmes inviter à entré et une jeune fille nous servi un rapide repas,
    nous signalant que violette était absente cette nuit,
    qu’il valait mieux dormir et éviter de se promener dans le jardin ou dans la forêt
    et que d’abords la porte sera fermée à clé,
    et que cette clé nikial l’emportait avec elle;
    ce qu’elle fit d’ailleurs, nous fûmes seul Eric et moi,
    pour encore une très douce et langoureuse nuit d’amour,
    ben,non, on ne sortit pas et même si le bruit nous gèna un peu,
    Eric me le fit très vite oublié.
    Comblé l’un comme l’autre le sommeil nous pris dans les bras l’un de l’autre
    enlacée ...
    nous étions enlacée, doux bonheur.
    Quand avec notre charmante hôtesse,
    nous prîmes place sur ses délicieux sofa couleur yellow comme elle aimait à le
    dire en souriant; nous étions alors certains d’avoir le droit de boire son incroyable sirop à base de cocoa.
    ( on lui en à demander la composition, mais à part le sucre l’eau et le citron,
    l’autre ingrédient magique ne nous fût pas communiquer, voyez le genre!)
    .Nous venions de nous lever, jeune marié, rien je vous l’avoue ( en rougissant tout de même) ne nous attendait,
    sauf notre charmante hôtesse violette.Ravie de nous savoir éveillés elle nous avait préparé un délicieux petit déjeuné à base de sirop de cocoa, (d’un bon jus celui -là de pomme, d’un thé et d’un bon café pour Erirc mon époux).
    Et d’une platée de pancakes; de loin la radio mise en sourdine me fit frissonné, une étrange musique passé sur les ondes. Violette me regardant avec fixité sembla sortir de sa transe et alla éteindre le poste avec vigueur.
    Lorsqu’elle se tourna vers moi, son regard était dur, froid, pourquoi? Eric ne sembla pas perturber  par le changement de personnalité de Violette; il me serra juste la main, geste rassurant. Je bus mon thé, pris un pancake un peu trop cuit,
    puis je goûté au fameux sirop, bon, je le déconseille, même si votre hôtesse est très compétente.Notre départ était fixé pour 15 heures,heures local, alors Violette nous invita à visité sa grande propriété. La journée était belle,
    mais un châle  sur mes épaules me rendis le sourire, Eric pensa à moi à ce moment là, j’en suis sûr maintenant. Avec joie il sortit comme un jeune homme ivre et il se dirigea vers le jardin qui lui se trouvait près d’une grande forêt.
    Un avion nous survola, signe que l’aéroport n’était pas bien loin, mais le sourire de violette me glaça les os.Sur une grande plaque juste repeinte d’une peinture ancienne, on pouvait lire ceci: sous cette plaque, repose les os de Sir Edouard III du nom, rejeté par les siens.
    Que Dieu lui prête vie.Amen.Eric devint blanc comme le torchon que tenait dans ses mains fines violette. Puis il sembla sourire, et…il tomba sans qu’ un souffle ne sorte de sa bouche.
    -Violette éclata de rire, un rire atroce, mauvais mais plein de joie mélangée.
    Aujourd’hui je suis libre, le dernier des Edouard est mort.
    -Edouard quel EDOUARD, MON EPOUX SE NOMME ERIC DE VILLEFAIS.
    -Ma pauvre petite,il vous a fait croire cela!
    -Quoi! Que m’a t-il fait croire?, je ne comprends plus rien, que dois-je faire?
    -Oh mon enfant, vous aussi vous êtes libre, plus rien ne vous attache à votre fantôme. Désormais, vous êtes femme libre de vivre une vraie vie, alors profitez en
    .-Femme libre?
    femme de fantôme! quel fantôme, cette femme est folle à lier.
    Elle allait le lui dire:
    quand se retournant elle se rendit compte que plus rien n’existait en cet endroit! Plus de vieille maison avec son escalier de bois, plus de fleurs dans les petites balconnières,plus d’allées menant au vieux jardin, plus de puits avec sa margelle, au fond juste une immense forêt qui commença à lui faire peur. Un bruit la fit sursauter.
    Eric venait lui apporté un verre de sirop glacée.
    -Oh mon amour, tu t’es encore endormie , et le soleil est plutôt fort en cette saison.
    Violette de loin les surveiller et son sourire faisait peur, vraiment très peur.

     

    viens donc sous le vieux chêne y prendre le frais.
    Violette nous prépare un lapin aux pruneaux et au vin blanc…
    Blanche, Manuella se tenant au bras de son époux se dit que
    le cauchemar avait un reflet avec sa réalité.
    -Tu sais chérie il y a dans cette maison

    ,une pièce ou personne ne doit aller,
    tu comprends n’est ce pas?
    -Tu veux dire une pièce particulière genre souvenir à ne pas dérangés?
    -Oh Manuella je savais que tu comprendrais, viens,violette nous fait signe,
    le repas est prêt, nous partirons dès demain ma douce, c’est promis.
    .Mais jamais Manuella ne prit l’avion,
    elle trouva la pièce et que pensez vous de cela!
    ilya4ans2678408.jpg
    Y-L

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  •  

    Croc d'Acier.

    La vieille Louve se sent bien seule, les nombreux petits de la meute ne sont pas les siens
    Blessée lors de la dernière chasse, elle se voit obligée  de rester à la grotte en surveillance avec de jeunes Louves et loupiots, pour l'aider. Une Louve de six étés, bien trop  petite pour la grande chasse et surtout...petite Louve est vraiment petite, la taille d'un jeune chien- l'un de ceux qui vivent avec les hommes rouges. Elle reste une gène pour la meute.
    Petite Louve aime être avec Croc d'Acier; après tout... elle fait partie de sa propre descendance, cela crée des liens.
    ------
    Les dernières années ont étés bonnes et la meute s'est agrandit de plusieurs petits, presque trois portées se trouvent en ce moment même dans la grande grotte sous l'oeil vigilent des vieilles...
    celles qui n'ont que l'apparence du loup qu'elles étaient. Oui... La meute est grande et en cette fin de saison, il faudra que le clan aille loin, très loin pour chasser.Les rivalités sont fortes dans cette contrée ou la nature a toujours le dernier mot.
    Vieille Louve le sait bien, c'est pour cela qu'elle a plusieurs cache. Elle ne mange pas frais, mais elle mange.
    ------
    Sans cela elle serait morte depuis quelques lune. Petite Louve a bien vue que sa grande soeur avait le ventre plat mais pas de maigreur alarmante. Quelle belle Louve...Petite Louve aimait cette vieille femelle et Croc d'Acier le lui rendait bien.
    -----
    La fin de l'hiver se termine enfin.

    Pourtant la chose que  découvrit un soir Croc d'Acier, irrita tant son odorat que petite Louve lui en voulut longtemps.
    C'était par une nuit noire ou le ciel était plombé, pas d'étoile mère, pas d'étoiles soeurs, pas de vent...pourtant Croc d'Acier se leva et fit comprendre à Petite Louve que celle-ci ne devait pas la suivre.
    Reniflant et relevant les babines montrant ainsi ses crocs Petite Louve montra sa colère-peur à sa grande soeur. Mais implacable celle-ci se ramassa sur elle-même babines et crocs luisant, oeil furieux, pelage du cou hérissé et grondements féroce; fut la réponse de Croc d'Acier.
    Alors, Petite Louve s'inclina  elle ne pouvait faire plus- Grande Louve était au-dessus d'elle.
    ----
    La découverte.

    Celle-ci s'éloigna dans la noirceur de la nuit.Malgré la faim qui  fait grondé  son ventre... Grande Louve s' avance  à petits pas trottant vers le vieil arbre.
    L'odeur y est très forte, de petits bruits s'échappent d'un tas de vieilles feuilles mortes. Grande Louve s'approche doucement...gueule ouverte... pour échappé à l'odeur immonde qui assaille son nez, elle marche de côté. Quand elle voit que le tas bouge plus, elle gronde, tête en bas et pattes écartées...bondira t-elle? Fuira t-elle?
    -----
    Quelque chose l'intrigue et ce n'est pas l'odeur, pas cette puanteur... non...il y a dans ce tas un petit quelque chose de spécial.
    Alors elle se relève, toujours sur ses gardes, elle ose mettre son fin nez dans le tas et d'un vigoureux coup de truffe...elle l' écarta .
    D'un bond de côté elle s'éloigne de là, gueule ouverte, langue pendante, nez complètement dégoûté, elle se frotte vigoureusement le nez dans l'herbe humide, et pousse de petits gémissements elle éternue avec force, mais l'odeur persiste.
    Pourtant Louve a réussi, du tas de feuilles maintenant écartées elle voit une petite chose blanche. Un petit d'homme! Intriguée...elle revient vers la chose et sans se  pressée vraiment...elle regarde.
    -----
    Son coeur de Louve palpite si fort dans  sa poitrine, que faire?
    La chose se met alors à remuer et un petit son plaintif se fait entendre.
    Vivante! La chose est vivante. Un coup de croc bien plantée et l'histoire est terminée...mais le coeur de Louve palpite si vite, si vite.
    ------
    Elle n'a plus de petit et n'en aura plus- son trou dans la grotte est si vide. Elle sait aussi que la faim gronde dans la grotte, les loupiots ont faims, ils sont affamés, les vieux Loups aussi. La meute a beau faire, elle revient souvent avec peu de gibier...L'hiver se termine , et les souris,musaraignes, les mulots, lapereaux et autres commencent à sortir, mais il faut de la vigueur pour les attrapés.
    -----
    Louve n'en a plus beaucoup et le chef! que dira le chef si Louve apporte ce petit là? Un nouveau coup de truffe et le petit émet un nouveau cri de protestation cette fois-là...il a froid, il a faim, il veut de la chaleur, Louve perçoit tous cela dans ce petit cri. Puis...il cri plus fort, il a sentit lui aussi une présence, il appelle, Grande Louve sourit langue pendante en tortillon...Elle cherche a  prendre cette chose afin de le débarrassé du haillon qui l'habille et qui pue.
    Elle tire sur le linge qui en se déroulant montre une chair rose-blanche...parce que l'enfant, car c'en est un hurle à plein poumons.
    ----
    L'odeur est effarante et pour un Loup c'est pire encore. Louve voit qu'à un certain endroit la chair et rouge vif. Des crottes collent encore, alors Louve s'approche, se positionne et lance un jet d'urine sur les fesses du petit.
    L'enfant se calme un peu car la chaleur,l'a pour un court instant réchauffer- mais cela ne durera pas.
    -----
    Pour Louve l'urine sert à laver un peu et à changer légèrement l'odeur. Mais, elle n'en a pas assez et comment faire pour ramener ce petit être à la grotte? Louve tourne et tourne autour de l'enfant, il s'est remis à pleurer et ce son énerve Louve.
    Elle gronde doucement, puis elle s'approche et s'approche encore.
    L'enfant perçoit la chaleur, l'odeur ne lui est pas familière,mais il sent que c'est sa survie qui se trouve non loin de lui.
    Il geint doucement étire ses bras et regarde avec feu ces yeux d'or qui le suive. Il grelotte car Louve l'a mis à nu, il grelotte et geint;il ne sait faire que cela tout en fixant ses prunelles qui ne lui font pas peur.
    ----

     Sans doute cette capacité de l'enfant à ne ressentir aucune peur, l'a t-elle sauvé, peu le savent.
    -----
    Petite Louve à suivit sa grande -soeur. De loin elle a vu celle-ci s'approcher du vieil arbre, elle a suivit de son regard d'or les mouvements étranges de sa grande-soeur. Elle a entendue ses grondements, ses instants de perplexités, sa peur aussi. Puis, elle a sentit la détermination dans  le coeur de Grande-Louve  alors... Petite-Louve s'est approché doucement de l'endroit, assise non loin de là elle a perçut la puanteur ,puis... les cris-gémissement, elle a vue le jet d'urine et son petit coeur de Louve a comprit que cette chose qui puait   aurai le droit de vivre. Alors elle s'approcha et son regard accrocha celui de Croc d'acier et celle-ci accepta sa petite soeur à ses côtés.
    -----
    La légende de l'enfant et des deux Louves,à longtemps parcourue les monts et les vallées.
    Il paraîtrait qu'une Vieille Louve  et une  autre plus petite auraient sauvé un enfant que des parents indignes auraient abandonné un soir de nuit noire.
    Ils auraient choisit l'endroit avec grand soin, sachant qu'en fin d'hiver les Loups sont affamés. L'enfant de presque deux ans serait né difforme, et que ce serait à cause de cette difformité excessive qu'ils l'auraient drogué, emmitouflé dans un vieux draps,puis laissé sous un tas de vieilles feuilles humides, se disant en eux-mêmes que le froid encore mordant le tuerait et que les Loups feraient le reste.

    Et c'est là qu'entre en scène la vieille Louve et son amie. Elles auraient aller savoir comment ramené cette chose à la grande grotte, se seraient battues contre les autres, et qu'en fin de compte...La Louve dominante aurait accepté l'enfant comme sien.
    ----
    L'enfant fut accepté par la meute...il fut nourri et aimé durant toutes les années qu'il vécut avec les Loups.
    Quand Croc d'Acier ( vieille Louve) mourut, il pleura à chaudes larmes, et il paraît que les hommes  auraient entendu dans la nuit un cri déchirant mêlé  à celui des loups.
    Quand il mourut à son tour, la meute hurla  des nuits entières. Le corps fut découvert à la lisière du bois, les bûcherons quand ils le virent, blanc crème étendu nu... eurent peur, vraiment peur. Mais, Liars, courageux gaillards de vingt ans, prit dans ses bras le corps et tremblant de peur à la vue du cadavre, le ramena au village, les autres bûcherons le suivant comme en processions.
    ---
    Il paraît...mais là...ce ne sont que divagation de vieille femme
    ...il paraît que des loups montèrent une sorte de garde sur une tombe fraîchement creusé au pied d'un très vieil arbre. Et de nos jours, certains soirs, il y a des lueurs à l'endroit ou l'arbre se meurt.
    Rumeur!
    Y-L 

    Croc d'Acier.

     

     

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  •  Quand le printemps revient, je prends toujours le même chemin. J’aime voir la nature changée petit à petit. Entendre mes compagnons de l’année dernière, ils sont de retour. Voir les petites fleurs doucement s’éveillaient. De sentir la différence de l’air et là je me rends compte que tel arbuste, ou tel arbre, ne reverdira plus.


    Je suis une solitaire et je pense l’être depuis ma petite enfance… en vieillissant on s’oblige à être plus sociable, à être présente pour ceux qui désirent notre présence. Mais, chassez le naturel, il revient au galop. Les heures passaient à rêvassé , sont pour moi havre de paix. J’y vois la lumière que j’aime, j’entends les son qui me sont cher…
    je perçois la nature en éveil, cela me rassure; cela m’apaise.



    J’ai donc repris mes petites balades et je sais que depuis deux jours au moins, on me suit. L’intrus porte sur lui une très forte odeur et quelque chose de malsain le suit. Avec mon bâton de marche, je continue ma balade, un courant d’air chasse les odeurs malodorantes.


    La nature est si belle. Aujourd’hui, je repart sur le sentier qui me mènera vers la forêt. Hier je ne suis pas sortie, du moins, je n’ai pas fait une grande balade; et, le coin n’était pas aussi beau… on a ses habitudes.
    J’ai pris une besace et dedans il y a des pansements, un peu de désinfectant, un baume de ma confection, fait de plantes médicinales; qui apaise les fortes douleurs et qui aide les plaies à cicatrisés.



    La nature a encore changée. Le léger brouillard de ce matin s’est envolé et les faibles rayons du soleil éclairent le chemin. Je vois au loin la petite patte d’oie… c’est à cet endroit que je bifurque pour rejoindre plus bas le chemin de terre qui me ramènera chez moi. Un petit assaut d’énergie me reprend, je suis fatiguée aujourd’hui. L’odeur, c’est l’odeur qui me prend au nez et qui m’indique. à suivre.

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  •  Petit vieux chargée par le poids des ans, cheminant dans la forêt sa hotte de toile pleine de bois pour la cheminée. Après un très long moment, il se dirigea vers sa demeure faite de rondins de vieux bois, de mousse et de chaume. Marchant d’un bon pas,malgré son âge, il portait sa charge sans se plaindre.
    Un vieux loup tout maigre le regarda les yeux pleins d’espoirs. Oh! Te voila donc mon vieil ami, encore un hiver qui s’annonce bien dur pour ta meute non? Le loup semblait comprendre les paroles du vieil homme, il le suivit tout en bougeant ses oreilles au son de la voix du veux bonhomme.
    Soudain, l’homme s’arrêta et tendit son bras vers le loup; celui ci ce tapi dans les ronces . Une ombre froide s’approcha.Oh-là! Qui vient en cette nuit d’hiver pour effrayer les enfants de coeur?- Moi vieux père, ce n’est que moi et mon gros manteau de lierre…
    Voyons! Pourquoi donc t’affubler de la sorte? Tu effraie nos pauvres amis de la forêt… – Ce n’était pas pour faire peur aux animaux, mais pour les grands dadais qui t’attende au détour de la trouée. Oh, oh, oh! que voila une douce et belle façon de me prévenir de ce coup fourré.
    Merci homme des bois, tu peux de nouveau t’endormir, c’est à mon tour de livré les coups de bois à ceux qui se montrent méchants. Dès demain je serais prêt pour livrer aux autres les nombreuses fabrications que tes doigts noueux ont façonnés, ils raviront le petits coeur des enfants de nos contrés. Dors amis, dors,pour toi il est temps du repos, pour moi vient le temps des cadeaux.
    – Bien, vieux bonhommes de noel, je pars le coeur en liesse, ravi que tu prennes la relève. Ainsi,le vieux bonhomme des bois retrouva sa vieille hotte toute faite de bois et de nombreuses choses se trouvaient à l’intérieur… prêtent à débordées tant elle était pleine.
    Ohlà! tu m’as bien eue …Oh Oh Oh rit-il de bon coeur. Voila ma charge bien légère, mais qui m’aidera à tout emmener? A peine ces mots franchissaient-il sa bouche, qu’un éclair bleu traversa le ciel, la neige tomba à gros flocons et devant les yeux ébahi du vieil homme,
    un immense traineaux étincelant se posa devant lui. Sa hotte alla aussitôt se plaçait dans le traineaux et les beaux yeux bleu du vieux père se mirent à brillés.
    Oh Oh Oh! Que voila un bon traineau, il monta à son bord et d’un mouvement fluide il s’envola dans le ciel, la neige blanche continua à tombé, le large sillon du traineau fit dans le ciel un magnifique arc-en-ciel. Et c’est ainsi que la nuit de noel débuta par ce cri venant du ciel…Oh Oh Oh! Le vieux loup rapporta ce soir là un bon gros bout de viande et la meute chanta accompagnant le rire du père de noel.
    YL
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  •  Une plume d’un bleu nacré est tomber. Quel animal peut donc posséder cette merveille? Ou se cache t-il cet oiseau sans égal? Une deuxième plumes tomba, un enfant sage les ramassa pour en faire un trésor. Il les plaça dans un bel endroit là ou les rayons déclinants du soleil venaient les frappés; l’enfant entrevit alors les merveilles qui y étaient cachés.
    Sans mot dire, il partit  de nouveau à la chasse aux plumes. Dans une petite clairière il découvrit une pauvre petite chose grelottante, affamé et piaulant de joie à sa vue. Sans réfléchir, l’enfant le prit et le déposa dans la chaleur de sa chemise.
    Oh joie! Oh bonheur suprême! une douce mélodie emplit les oreilles de l’enfant et le chant mélodieux en son esprit devint mot; l’oiseau continua ainsi jusqu’à ce que l’enfant connaisse tout de lui. Heureux celui-ci rentra chez lui et déposa son petit fardeau dans un de ses tiroirs ou les pulls les plus chauds y avaient trouvés leurs places.  Pour nourrir l’oiseau, l’enfant chercha des fruits, de l’eau, des graines, puis il revint vers son trésor. Mais, à la place se tenait un immense oiseau aux mille et une couleur.Le regard éperdu d’amour l’enfant le fixa.
    Il le regarda ne comprenant pas pourquoi il ne prenait pas son essor . Les plumes plus belles les unes que les autres le fascinait, de la tête à la queue, leurs beautés étaient extraordinaire. La queue… L’enfant comprit. Au bout de la queue, il y avait un trou, oh si petit ce trou et pourtant!Le coeur chavirant l’enfant comprit que l’oiseau ne lui appartenait pas, pas plus que son trésor, alors  opinant de la tête il lui rendit ses deux plumes. De ce jour, l’enfant fit des rêves d’une grande beauté.
    Il devint conteur et dans chaque village, à l’été venu, il racontait les fables les plus belles qui soient. Aucunes personnes ne pouvaient échappés aux rêves de bonheur que le conteur faisait naître en eux. Pourtant un jour, le conteur disparut…
    et un enfant trouva une plume deux plumes et l’histoire recommença.
    Et toi? As-tu trouvé une plume? Deux plumes?
    Un trésor caché se trouve dans ton coeur,
    à toi de le trouvé…
    Y.L'oiseau de feu. dans conte pour enfants sages 30eaaba0-293x300L.

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