• «  » L’arbre est un noeud de rêves. C’est aussi un être aux prises avec les quatre éléments: la terre, l’air, l’eau et le feu. Il se bat. Il faut donc rêver l’arbre dans son combat, lui soutirer les confidences: il faut faire parler ce muet. Il faut se mettre dans sa peau et se laisser envahir.

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  • Oui, me direz-vous et alors!
    Eh bien, voila…Mon amie me fuit.
    Pourquoi, me direz-vous? Et là je le sais bien et je m’en vais vous le raconter.
    Bref, il y a quelques semaines, oui déjà…je suis tombée malade…ça m’arrive
    plus vite que vous ne pouvez le croire ce truc là, donc j’appelle mon amie
    et je lui dit:
    Mimi je suis malade ne viens pas me voir, je ne veux pas te
    refilé ce que j’ai
    . ( parce qu’en plus de coincée, j’avais une moitié de grippette)
    ça part d’un bon sentiment.
    non!



    Elle me répond:
    « -ah bon! t’es malade, ben moi aussi
    -Ah, c’est grave ce que tu as je lui demande…
    -Non, comme toi sûrement…
    Là j’avoue je reste un peu confuse
    ( et comme un rien me confusoit ( oui ça
    se dit pas…)


    Je répond: – Dis Mimi tu te fiche de moi là?
    - Pas plus que ça qu’elle répond…
    -Y a quoi comme problème, je demande?
    -Oh! rien, juste que je voulais sortir et que tu me fais faut bond.
    -Euh, je suis malade, en fait je coince là, je peux pas sortir moi…
    - toi ,toi, toi toujours toi répond t-elle, et moi tu y penses,à moi
    tu penses à moi toi!


    Confuse et oui, un peu plus, j’essaie de parlementé, difficile au tel
    - »écoutes Mimi je l’ai pas fait exprès, je peux même pas garder mon bébiz
    pour te dire que je coince vraiment, la balade on la fera plus tard
    et si tu es malade,il vaut mieux évité de sortir,non!
    -Oh, pas grave va,tu comprends pas, d’ailleurs tu comprends jamais.
    La dessus elle raccroche .



    Bon quelques jours passent et je décide d’appeler.
    J’attends et soudain le téléphone se met sur:
    -boite à messages…laissez
    votre message je  vous rappellerez plus tard.
    Bien, je laisse mon p’tit mot et j’attends…trois jours après.
    Elle m’appelle et me sert une excuse un peu bizarre.
    -J’avais du travail en retard ,j’en ai profité puisque tu n’es pas venue.
    Tu comprends,j’ai des clients et il fallait que je rende mon travail



    (bis répétita,ça n’avance pas plus que ça…)
    Bon pas grave en soi
    pas besoin de long discourt pour comprendre que l’eau dans le gaz est là.
    Difficile quand votre amie est en plus un membre sans le vouloir de votre
    famille…



    les enfants parfois nous mettent dans des situations  à risque.
    Bon, c’est la vie avec ses complitures( oui ça se dit pas) et ses blessures
    il faut savoir jonglé , pas jongleuse du tout -Moi. Oui Mimi, Moi.
    Tu as raison mon amie il y a du Moi, partout.
    Bises Mimi.
    Y-L

     

    Lettre à une amie...

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  • Dans mon monde, qui voudrait y vivre
    Qui pourrai survivre à cela,sans cesse
    sur le qui-vive, jamais en repos.


    Dans ce monde de barge, je ne vois pas
    ce qui m’attire et pourtant tel le papillon
    de nuit qui attiré par la lumière vient y
    brûlés ses ailes,



    je suis identique,tout

    ce qui vit,tout ce qui brille,tout cela
    accroche mon esprit, en mouvement
    incessant,il faut que j’écrive…



    Dans mon monde à moi, le plus insignifiant
    des mots devient une image, une aventure
    que je me dois de transcrire, sinon cela reste
    et perturbe ma journée.



    Là en ce moment

    même …
    un petit bruit là-haut et voila
    à travers le clavier dans ma tête j’entends
    déjà se mettre en place l’histoire d’une petite
    souris et de ses soeurs surveillées par un
    gros chat…



    Je ne me repose pas…
    Dans mon monde à moi, il y a trop de chose…
    Voila…la folie me guette…
    y-l
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  • Le rugby à VII, ami du XV. L’idée est venue d’un apprenti boucher écossais dont le club, en 1883,  n’avait plus un sou en caisse. Pour le sauver, il organisa un tournoi avec divers équipes d’un nouveau jeu de rugby, le Short Game.

    Il divisa les équipes en deux, réduisit le temps du jeu et proposa un spectacle avec plusieurs matchs en une seule journée. Il obtint un certain succès. De nos jours, le rugby à VII se pratique plus largement sur le globe que son grand frère à XV.

     

    Le Kenya et le Canada ont de bonnes équipes qui rivalisent avec les meilleures comme les Fidji ou la Nouvelle-Zélande. Il est possible de pratiquer l’un et l’autre sport, le VII se révélant assez intéressant techniquement pour les joueurs de Xv.

    Tout va plus vite. Généralement, les mi-temps durent un quart d’heure. Les équipes s’affrontent sur un terrain normal selon des règles très proches de celle du XV. De grands joueurs ont fait partie de leur équipe nationale à VII comme à XV: Olivier Magne, George Gregan ou Jonah Lomu, par exemple.

    En France, les joueurs du VII sont plutôt des spécialistes, même si des professionnels à XV peuvent y jouer. Un circuit mondial d’une dizaine d’étapes sur tous les continents se déroule chaque année. La Mel-rose Cup. Le Pays de Galles est le tenant du titre 2009.

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  • L’origine du mot Calepin, vient de  » Ambrogio Calepino », du nom du créateur d’un dictionnaire latin-italien publié en 1502. Cet ouvrage fut communément appelé Calepin, nom donné par la suite au petit carnet .

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  • Dans les années bissextiles, les Romains, au lieu d’ajouter un 29 e jour au mois de février, intercalaient un jour supplémentaire entre le 24 et le 25 février.Pour eux, le 24 février était die sexto ante Kalendas Martias, c’est à dire  » le sixième jour avant les calendes de Mars » ( les calendes étaient le 1 er jour du mois); le jour intercalé était appelé die bis sexto ante Kalendas Martias,  » encore une fois le sixième jour avant les calendes de Mars ». C’est de bis sexto que dérive  » bissextile ».

     

    En 1582, lorsque l’avance du calendrier sur l’année solaire eut atteint dix jours, le pape Grégoire XIII, suivant le projet de l’astronome Christophorus Clavius, réforma le calendrier julien et imposa le calendrier grégorien.

    Tout d’abord, pour éliminer les dix jours qui s’étaient accumulés, il fut décidé que le jeudi 4 octobre 1582 serait immédiatement suivi du vendredi 15 octobre 1582; cela entraîna quelques protestations violentes de certaines personnes qui crurent que le pape avait supprimé dix jours de leur vie!

    Il fut ensuite établi que les années divisibles par 4 ( comme les années 1984,1988,1992, etc) allaient être bissextiles, avec une règle particulière pour les années marquant une fin de siècle: parmi celles-ci seraient bissextiles celles dont le nombre de centaines est divisible par 4.

    L’année 1900, par exemple, n’a pas été bissextile car 19 n’est pas divisible par 4; l’année 2000 est une année bissextile puisque 20 est divisible par 4. Ce calendrier n’est pas parfait, mais le décalage est minime: trois jours d’avance tous les dix mille ans!

    Le calendrier grégorien fut proposé pendant une période de divisions religieuses. Alors qu’en Italie, en Espagne, au Portugal et en France la réforme fut acceptée, dans les pays protestants et orthodoxes, elle eut du mal à s’imposer.

    Elle fut adoptée en 1584 par l’Autriche, la Pologne, l’Allemagne catholique, en 1587 par la Hongrie, en 1700 par  l’Allemagne protestante, en 1752 par l’Angleterre, en 1873 par le Japon, en 1912 par la Chine, en 1923 par l’URSS. Depuis, tous les pays ont adopté le calendrier grégorien pour les usages civils.

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  • En France, c’est seulement depuis 1564 que nous nous présentons nos voeux le 1er janvier. Car le début de l’année est affaire de conventions et de repères. En l’an 46 avant notre ère, Jules César décida que le 1 er janvier serait le jour de l’an.


    Mais la Gaule ne plia pas et nos ancêtres continuèrent pendant des siècles à fêter la nouvelle année à des dates qui ont beaucoup varié au fil du temps. Aux VIe siècle et VIIe siècles, de nombreuses provinces françaises célébraient le jour de l’an le 1 er mars. Sous Charlemagne, l’année commençait  noël. Du temps des rois capétiens, l’année débutait le jour de Pâques.


    Les généalogistes des rois de France devaient donc jongler avec les dates en fonction des lieux pour raconter l’histoire, car auparavant le début de l’année variait selon les provinces: à Lyon, c’était le 25 décembre, à Vienne, le 25 mars… En 1564, le roi Charles IX publia un édit qui fixa le début de l’année au 1 er janvier sur tout le territoire.

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