• A l’abri de ton coeur, je n’avais pas vue le changement des couleurs.
    Je m’éveille après tant de mois caché bien à l’abri d’un coeur aimant.
    Ma destiné s’ouvre de nouveau devant mes yeux bien éveillés.
    Que d’attente dans les coeurs, que d’amour dans les regards.
    Pourquoi alors ce sentiment de vide et d’inquiétude!
    Qui donc à fait de l’abri des coeurs un monde de non repos?
    Ou se situe le bois joli ou printemps aimant et folie jolie étaient ensemble
    et vivaient en douce et longue harmonie… Qui! Mais qui?
    Oh,je voie,
    de nouveau tu es là, toi dont le nom même me glace d’effroi.
    Cruel est ton regard posé là sur moi, tu veux m’entraîner
    tu veux m’enchaîner à toi et me garder pour de très long mois dans la
    froidure de ton coeur. Las, je n’y peux rien…De grâce ne nous puni pas.
    Laisse nous pour un très courts instant la joie de vivre, et, alors nous
    viendront vers toi, et, lentement doucement de nouveau nos coeurs
    s’endormiront pour te laisser libre, enfin. A l’abri de ton coeur ,amour
    de printemps, j’ai laissé mes fleurs  s’ouvrirent et vivre en douce harmonie.
    Mais le passage du temps reste présent, à lui maintenant de joué avec le vent.
    Triste sera nos journées, mais seulement pour un temps, car de nouveau
    après l’automne et son frère l’hiver, moi le printemps et ma soeur été, nous serons
    de nouveau avec vous.
    y.L
    photo de josé, l’arbre qui prie.
    dsc0051.jpg

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  • Quand le vent souffle au dessus de ma tête,
    quand la pluie tambourine sous le toit,
    quand le silence soudain s’installe…
    Mon coeur sombre dans la peur.
    Vivace image, sombre souvenir,
    tout se mélange…
    Quand le vent souffle au-dessus de ma tête,
    Quand la pluie tambourine sous le toit,
    Quand le silence soudain s’installe…
    Quand gronde le ciel, tout se mélange.
    Mon coeur s’affole, La peur revient.
    Pourtant de quoi donc pourrais-je avoir peur?
    Un vieux souvenir de l’enfance, suis-je seule
    à vivre cela?
    Y-L

    Pensées.

     

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  • Les mots.
    De la dureté des mots, naît parfois le renouveau.
    les mots jetés à la face, sont souvent cruels...
    Ils ne cherchent alors qu'à blessés la personne qui les reçois;
    mais, les mots peuvent être juste...( parfois)
    et être le reflet de la vérité!
    Les mots nous servent aussi à dire notre joie,
    à exprimés notre Amitié, notre tendresse,et,
    surtout notre Amour avec un grand A.
    Si les mots jetés sur la trame blanche et noire
    d'une feuille de papier font pleurer, ou sourire...
    C'est qu'ils auront touché le coeur de celui ou celle qui les lit.
    Quoi de plus doux pour un auteur de bons mots
    que l'   aveux d'un moment heureux, d'un partage,
    passé à lire ces mots là...
    Les mots, ne sont que des mots;
    ils ne sont que le petit reflet de celui ou de celle
    qui les jette sur la trame
    blanche et noir d'un petit cahier.

    Les mots.

    Y-L
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  • Ton regard plonge dans mes yeux,

    je ne sais ce qu'ils te disent,

    mais, tu me scrute alors...et ces yeux gris bleus rient...
    Tu m'avoue que tu me désire.
    Mais que vois-tu donc dans mes chairs flasques!
    Quel est donc ce déclic qui se fait en toi?
    Quand je vois tes yeux qui se plissent,tes lèvres devenir sourire...
    Je sais que tu pense à moi, d'une manière différente.
    Tu me désire encore et je ne peux te comprendre.
    Ce corps mort, qui ne veut pas répondre à tes avances,
    ces plats et ces creux,
    ces débordements de gros, tout cela tu devrais le fuir...
    Mais non, tu me gardes en toi presque comme au
    premier jour.
    Pourtant, j'ai tant changé, il reste quelque chose
    en moi et tu le sais.
    C'est l'Amour que je te porte.
    Et pourtant, je ne te comprends pas.
    Cette goutte de miel qui au début de sa vie,
    ta offert le chemin de sa rose...
    doux désirs, délicate folie...
    cette goutte là avec sa petite rose,
    a bien changé, elle a perdue de sa beauté.
    Elle s'est flétrie au cours de cette vie, son parfum
    a perdu de sa volupté,  de sa fragrance .
    Une vieille rose qui perd ses pétales
    ils se détachent, tombent tout flétris.
    Pourtant tu arrose encore son coeur
    Et tu le comble de baisers.
    Tu m'aimes et j'en reste encore toute étonnée.
    A toi, pour le temps qu'il nous est accordé
     et plus si ce temps 
    ,nous laisse la liberté de nous cachés
    Pour mieux nous aimer
    Pour aujourd'hui, pour demain
    Pour ce qu'il nous reste
    Pour ce partage
    Je te le dis moi aussi.
    Je t'aime-toi mon Mari.
    Y-L

    Je te le dis moi aussi.

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  • Tu te lèves beau dans l’horizon du ciel,
    Soleil vivant, qui vis depuis l’origine…
    Tu as rempli tout pays de ta beauté.
    Toi qui est Râ, tu les soumets tout entiers.
    Tu les lies de ton amour.
    Tu es loin, mais tes rayons sont sur la terre.
    Tu es sur le visage des hommes,
    Et l’on ne connaît pas tes venues.
    Quand tu reposes à l’Occident sous l’horizon,
    La terre est dans ton ombre
    Semblable à celle de la mort.
    Les hommes dorment dans leurs maisons,
    Leurs têtes sont couvertes, leurs narines obstruées,
    Aucun oeil ne voit un autre. On vole aux dormeurs
    Tous leurs biens qu’ils ont mis sous leur tête
    Sans qu’ils s’en aperçoivent.
    Tout lion sort de sa tanière,
    Et toute bête venimeuse mord. Il fait noir,
    La terre est dans le silence,
    Celui qui a fait les êtres se repose dans son horizon.
    A l’aube tu resplendis dans l’Horizon…
    Dans le jour, tu chasses le noir…
    Les deux pays s’éveillent en fête,
    Les hommes se lèvent sur leurs pieds,
    Leurs bras s’ouvrent pour adorer ton lever.
    La terre entière fait son ouvrage.
    Tout bétail est heureux de sa provende;
    Les arbres et les plantes verdoient,
    Et les oiseaux s’envolent dans leurs nids;
    Leurs ailes s’ouvrent, adorant ton âme.
    à suivre.

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  • Et sur cette joue, et au-dessus de ce front, si doux, si calmes, bien qu'éloquents, les sourires vainqueurs, les teintes qui rougeoient.
    Et parlent des jours adonnés à la beauté, Un esprit en paix avec tout en dessous, un coeur dont l'amour est  innocent!
    (1788-1824.)

    Lord Byron.

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  • " Gloris que dans mon coeur
    J'ai si longtemps servie
    Et que ma passion montre
    à tous l'univers
    Ne veux-tu pas changer le
    destin de ma vie
    Et donner de beaux jours
    à mes derniers hivers...
    Ce n'est pas d'aujourd'hui
    que je suis ta conquête
    Huit lustres ont suivi le
    jour que tu me pris
    Et j'ai fidèlement aimé ta
    belle tête
    Sous des cheveux châtains
    et sous des cheveux gris."

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